L’identité

Philosophie

L’identité

I/ «La pensée est un attribut qui m’appartient, elle seule ne peut être détachée de moi»  DESCARTES

L’identité définit et distingue une chose d’une personne, ce qu’il fait qu’elle est singulière et unique, cette singularité ne fonctionne pas en dehors du monde.

L’identité d’un être c’est ce qu’il fait qu’il est lui(même mais je ne suis jamais seule(1) mais je ne suis jamais la même(2))

Se pose alors la question de ce qui est permanent a travers le temps.

Descartes est un philosophe du 17e siècle.Il fait partir des penseurs qui vont faire parvenir la science moderne

Il veut affirmer cette nouvelle science:il se dit que pour faire de la science correctement il faut faire  de la métaphysique

métaphysique= C’est une partie de la philosophie.Mais tout les philosophes ne sont pas des métaphysiciens.

Les métaphysiciens sont ceux qui vont chercher les principes premiers des choses au-delà de l’expérience sensible (connaissances?du monde?)

Ils s’opposent aux philosophes empiristes.C’est a dire qu’ils pensent que tout vient de la sensation.

Platon veut montrer que ce que je sens n’est pas le réel.

Donc la métaphysique a été importante pour de nombreux philosophe.

Descartes qui a pour but de refonder la science se dit qu’il faut rétablir la métaphysique.Avant de rétablir la science il se demande si «la connaissance est-elle possible»

Il trouve que le scepticisme est pertinent,que c’est une objection intéressante.

Le sceptique se dit «nous sommes jamais sur de correspondre au réel».

La logique de scepticisme c’est qu’il n’y pas de vérité universelle cad «a chacun sa vérité»

Descartes va utiliser l’arme des sceptique càd le doute donc il se dit doutons de tout.

Le but de Descartes est d’arriver a de la certitude en terme de science

douter=suspendre son jugement

Cependant si je ne fais que douter je ne pourrai pas aboutir a une connaissance

Mais il se rend compte que si l’on peut douter du contenu de sa pensée, on ne peut pas douter du fait que l’on pense .en d’autre terme ce que je pense peut être faux mais il ne peut pas etre faux que je pense au moment que je pense.

Dans le discours de la méthode(«je pense donc je suis») et dans les méditations physique(« je suis donc j’existe ») cette proposition est nécessairement vraie toute les fois ou je la prononce ou l’a pense.

La formule »je pense donc je suis » peut porter a confusion car je peux croire qu’il s’agit de la conclusion d’un raisonnement qui serait :tout ce que l’on pense existe

Ce n’est pas la conclusion d’un raisonnement, c’est une intuition.

La différence entre le raisonnement et l’intuition c’est que le raisonnement suppose un processus explicatif tandis que l’intuition est une forme de connaissance immédiate qui se fait de manière immédiate,il appelle ça une «intuition rationnelle»

Même lorsque j’ai l’impression qu’une chose existe, je m’abstiens de l’affirmer ou de le nier

Pourquoi la connaissance commence par le doute?, l’idée nous vient déjà de Socrate car le doute est la meilleur arme contre le préjugée.

Textes «meditations métaphysique»

Afin que le doute soit systématique, il invente une fiction d’un dieu trompeur qu’il appelle le « malin génie » qui ferait en sorte de le tromper toujours

Il se demande s’il peut être certain d’avoir des attribut corporelle(il entend par « corp »tout ce qui est matière).

« Les attributs de l’âme»

Le terme «âme » était liée a la définition d’Aristote qui est que l’âme est ce qui anime le corps.

Descartes va changer cet utilisation du mot âme

La conscience de soi c’est la saisie de la pensée par elle même

Quand on imagine quelque chose, on lui donne une apparence corporelle.

C’est l’exacte opposé de ce que dit Hume

Hume est un empiriste(penser que tout vient de la sensation)

Pour Hume le moi est une sorte de fiction crée par le langage et la fiction de la société

Ainsi avec Descartes nous comprenons que l’identité d’une personne humaine ne se confond pas avec l’identité d’une personne ou d’un objet car ce que je suis moi présuppose cette capacité a se penser soi même, une interiorité et non une extériorité comme les objets.

II/Le rôle de la memoire dans l’identité personnelle

Lock va s’interesser au rapport au temp

C’est Lock qui se pose cette question : « qu’est qui fais que je demeure moi meme a traver le temp qui passe ?»

La reponse est la memoire que j’ai de mon vécu

Je suis moi car je me souviens d’avoir été moi  

C’est ainsi que perdre la mémoire c’est se perdre soi meme

Avec ce que dit Lock on peut voir la diffférence entre un mémoire artificielle

Notre mémoire est toujours une appropriation de notre vécu et cree une unité entre les différents moment vécu

La memoire est ce que unifie la memoire et le present

(Nous verrons plus tard que la mémoire n’est jamais individuelle)

Cette mémoire personnelle est toujours nourri d’une memoire collective

Quelles conséquences ?

Le fait d’avoir une identité qui m’ai propre produit certaines conséquences

Un sujet se donne son propre sens et ses propres règles, c’est être doté d’autonomie(=se réguler soit même)

Lorsque Kant parle de dignité il dit que celui ci a une valeur en soit meme(absolue)qui s’oppose a la  valeur d’usage d’un objet car elle n’a de sens que par son usage et par son prix

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