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Définitions de CEJM

Lettre type : Définitions de CEJM. Recherche parmi 303 000+ dissertations

Par   •  10 Novembre 2025  •  Lettre type  •  791 Mots (4 Pages)  •  7 Vues

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1.Logique entrepreneuriale : d’après Schumpeter le portait d’un entrepreneur consiste à prendre des risques, d’investir des moyens pour mener des projets économiques dans le but de réaliser des profits et d’assurer le développement de l’entreprise sur le long terme.

2.Logique managériale : selon Peter Drucker, consiste à organiser, planifier et contrôler les ressources de l’entreprise afin d’atteindre des objectifs précis. Le manager ne crée pas forcément un nouveau marché, mais il assure la pérennité et l’efficacité de l’entreprise en structurant son fonctionnement

3. Ces deux logiques sont complémentaires car l’entrepreneur donne naissance à l’entreprise grâce à sa vision et son sens de l’innovation, tandis que le manager garantit sa survie en assurant une gestion stable et efficace.

4. Les 3 types de finalités : Peter Drucker

- finalité économique (une bonne stabilité financière…)

-finalité social (bien être des salarié, formations, promotions…)

-finalité sociétale (respect de la biodiversité…)  

5. RSE : c’est un concept qui intègre volontairement des préoccupations sociale, environnementale et économique à leurs activités commerciales et en relation avec leur partie prenante.

6. Partie prenante : d’après Freeman tout individu ou groupe d’individu qui peut affecter ou être affecté par la réalisation des objectifs de l’entreprise. On distingue les PP primaire et les PP secondaires en fonction de leur importance et de leur degré de priorité pour l’entreprise.

7. La performance d’une entreprise peut être mesurée à travers plusieurs indicateurs. Les indicateurs économiques incluent le chiffre d’affaires, la marge ou la rentabilité. Les indicateurs financiers concernent la trésorerie, la solvabilité ou le ratio d’endettement. Les indicateurs sociaux mesurent par exemple le taux de satisfaction des employés ou le turnover, et les indicateurs environnementaux évaluent l’empreinte carbone ou la consommation d’énergie.

8. Contrat : c’est un accord entre deux ou plusieurs parties qui crée des obligation (écrit ou tactile).

9. Les conditions de validité d’un contrat : Pour qu’un contrat soit valide, trois conditions sont nécessaires : un consentement libre et éclairé, la capacité juridique des parties à contracter, et un objet licite et certain (Code civil, article 1128).

10. L’environnement de l’entreprise comprend deux niveaux. Le macro-environnement, analysé grâce au modèle PESTEL, regroupe les facteurs politiques, économiques, socioculturels, technologiques, environnementaux et légaux qui influencent l’activité. Le micro-environnement désigne les acteurs proches comme les concurrents, les clients, les fournisseurs et les distributeurs.

11.  Le marché est, selon Adam Smith, le lieu réel ou virtuel où se rencontrent l’offre et la demande d’un bien ou d’un service.

12. Pour Schumpeter, l’innovation permet à une entreprise de se différencier de ses concurrents, de conquérir de nouveaux clients et d’augmenter sa productivité.

13. Les politiques économiques : Les États utilisent plusieurs types de politiques économiques. La politique budgétaire agit sur les dépenses et recettes publiques pour stimuler ou freiner l’activité. La politique monétaire, menée par la banque centrale, contrôle la masse monétaire et les taux d’intérêt. Les politiques structurelles visent à améliorer le fonctionnement de l’économie sur le long terme, par exemple en soutenant l’innovation ou la formation.

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