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Comment Victor Hugo arrive-t-il à rendre l’araignée et l’ortie touchantes ?

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Par   •  14 Mai 2023  •  Commentaire d'oeuvre  •  1 690 Mots (7 Pages)  •  308 Vues

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     Victor Hugo est un poète, dramaturge, écrivain, romancier et dessinateur romantique du 19ème siècle. Il marque son époque grâce à son œuvre littéraire qui comprend 8 romans, 9 pièces de théâtre ainsi que de nombreux recueils parmi eux se trouves « Les Contemplations ». « Les Contemplation » est un recueil de poèmes, écrit par Victor Hugo et publié en 1856. Il est composé de 158 poèmes rassemblés en six livres. La fable qui nous intéresse se trouve dans le troisième livre intitulé « Les luttes et les rêves » et la fable s’intitule « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie ». Le poème parle du dégout des Hommes envers l’araignée et l’ortie. Victor Hugo écrit que tous les Hommes les détestent et c’est pour ça que lui les aime. Il les décrit comme maudites et donc que personne ne peut les aimer à cause du mal quelle cause à tout le monde, mais malgré cela il écrit que même si elles font du mal au gens elles aussi souffrent du rejet que tout le monde leur porte et donc mériteraient-elles aussi d’être aimées vu que se ne sont pas les seuls à souffrir. Le poème se finit par un espoir pour l’araignée et l’ortie : elles sont méprisées tout le temps donc lorsqu’une personne ne les écrase pas ou à un regard un peu plus doux elles murmurent « Amour »                                                                                                                                              Comment Victor Hugo arrive-t-il à rendre l’araignée et l’ortie touchantes ?                 Nous verrons d’abord comment Victor Hugo décrit la misère qui entoure l’araignée et l’ortie, puis nous verrons l’acharnement des Hommes et enfin nous parlerons de l’empathie que l’auteur souhaite faire passer aux lecteurs.

     Victor Hugo nous décrit la misère de l’araignée et de l’ortie.                                                Il débute en établissent un portrait physique désavantageux. Dans tout le poème, on trouve une multitude d’adjectif péjoratif à destination de l’araignée et de l’ortie comme : « chétives » pour montrer quelles sont faibles et qu’on peut facilement les attaquer, pour renforcer ce sentiment il continue en les décrivant comme des « êtres rampants » pour mettre en évidence leur vulnérabilité grâce la lenteur et l’incapacité à se défendre des « êtres rampants ». Il enchaine en écrivant que ce sont des « plante obscur » pour qu’on les craigne et qu’on n’ait pas envie de s’approcher d’elles, pour amplifier cette peur il ajoute qu’elles sont « maudites » et compare l’ortie à une « couleuvre » pour mettre en avant sa dangerosité, et il compare l’araignée à un « gueux » pour montrer qu’elle est répugnante. Il finit leur portrait physique par dire que l’une est une mauvaise bête et l’autre une mauvaise herbe.                                                                                                                                  Après avoir dressé leur portrait physique Victor Hugo commence leur portrait moral : les mots « morne souhait » et « amour » montre qu’elles sont peu entreprenantes : elles ne demandent seulement qu’à être aimé. Ensuite afin de nous faire comprendre qu’elles sont enchainées : il écrit « triste captives de leur guet-apens » et « dans leur œuvre », cela nous donne l’impression qu’elles sont prisonnières par leur faute alors que « leur œuvre » est sensé les aidées à se nourrir et à rester en vie. On découvre aussi par la suite lorsqu’une personne « oublie de les écraser », elles se sentent aimées cela leurs donnent de l’espoir et nous montre qu’elles sont obligées de compter sur les Hommes pour garder de l’espoir parce qu’elles se sont faites prisonnière elles-mêmes.                                                                                                                        Une fois le portrait physique et moral de l’araignée et de l’ortie terminé. Victor Hugo continue la description de la misère subit par l’araignée et l’ortie, en nous montrant que même le destin n’est pas avec elles. En commençant par écrire « que tout châtie » il nous montre que peu importe leurs actions qu’elles soient bonnes ou bien mauvaises cela se retournera contre elles. Il ajoute « qu’elles sont toutes deux victimes de la sombre nuit » ce qui amplifie leurs malheurs, vus qu’elles sont déjà rejetées par les hommes le jours et qu’elles sont maintenant victimes de la nuit : elles n’ont aucun endroit où se cacher. Tout cela à cause des Hommes qui les piétinent et les rejettent.

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