La Prise De Yorktown
Compte Rendu : La Prise De Yorktown. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar MICLEM • 14 Juin 2015 • 398 Mots (2 Pages) • 1 132 Vues
Vue générale de l'œuvre
Nature du document :
La prise de Yorktown est un tableau peint en 1836 par Louis-Charles-Auguste Couder. Ce tableau mesure 465 cm de hauteur par 543 cm de largeur. La technique utilisée pour le peindre est l’huile sur toile.
Ce tableau est exposé dans la galerie des batailles au musée d’Histoire de France située au premier étage de l'aile du Midi du château de Versailles.
Biographie Louis-Charles Auguste Couder :
Louis-Charles-Auguste Couder est un peintre français, né le 1 avril 1790 à Paris et décédé le 21 juillet 1873 à Paris.
Il fut l’élève de Jean-Baptiste Regnault, peintre académique et néoclassique passionné pour la Révolution ainsi que de Jacques Louis David, peintre membre de l’Académie des Beaux Arts et chef de file de l’école néoclassique.
En 1839, il fut membre de l'Académie des Beaux-Arts et nommé officier de la Légion d'honneur en 1841.
Présentation détaillée de l’œuvre :
La scène se passe le 17 octobre 1781. Elle précède la bataille de Yorktown lorsque Georges Washington, commandant de l’Armée des colons américains et le comte de Rochambeau, lieutenant général à la tête des troupes françaises (environ six mille hommes) envoyées par Le roi Louis XVI, font les dernières préparations et choix stratégiques avant la bataille.
Au premier plan, nous découvrons les restes d’un feu de camp et un homme assis par terre tenant une arme à la main.
Au second plan, on trouve Georges Washington, à sa gauche le marquis de La Fayette, le maréchal Rochambeau (pointant du doigt) et tous les autres généraux rassemblés devant leur tente ornée d’un drapeau Américain et Français.
A l’arrière plan on aperçoit les remparts de Yorktown, trois hommes qui se battent et à gauche le ciel qui est clair et dégagé alors que sur la droite il est noir et chargé.
On observe une diagonale partant de l’homme assis par terre passant par le bras de Rochambeau et par le cavalier en finissant sa course vers la fumée.
Les couleurs dominantes sont le jaune-ocre du sol et des chevaux et le blanc des uniformes et de la tente.
L’effet produit sur le spectateur :
L’effet que le tableau produit sur le spectateur est que le ciel commence à foncer et bientôt devenir noir signe que la bataille approche à grand pas.
Le tableau transcrit bien le message initial du ciel mais le spectateur sait que ce n’est pas conforme à la réalité contrairement au positionnement des généraux qui pourrait l’être
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