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Sujet : Le sourire photographique, ou les révolutions du portrait expressif

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Par   •  8 Avril 2018  •  Analyse sectorielle  •  1 873 Mots (8 Pages)  •  561 Vues

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2017/2018 Licence 2

Introduction aux études visuelles  

Sujet : Le sourire photographique, ou les révolutions du portrait expressif

Aujourd’hui plusieurs moments, quand nous nous prenons en photo en famille ou pour une photo de souvenir ou d’un voyage, inconsciemment notre visage deviens souriant. Depuis quand nous sourions dans une photo? L'expression du sourire est utilisée dans quelle mesure et dans quel objectif dans un contexte historique au moment de la guerre ? Tout d’abord, je vais parler de la photographie portrait sourire, la naissance de photographie sourire et le changement de photographie portrait. Puis de la photographie de guerre. les gens en souriant l’aspect désaccord. En dernier la photographie sourire scandaleuse.

[pic 1]

Ex) Un siècle et dix ans d'évolution de photo d’album de fin d’année d'un lycée américain, réalisée par l’université de Berkeley.

Tout d’abord pour parler de la photo d’identité, auparavant André Eugène Disdéri. Il fut un photographe français, il a beaucoup développé le domaine du portrait photographique. Grâce à sa technique de multi-objectif(il a utilisé 4,ou 8 ou 12 objectif pour une pellicule sur plusieurs photos) la photo était diffusé à une famille classe moyenne. Avant Disdéri, seul la bourgeoisie pouvaient se permettre, financièrement, de faire une photo. Il réduisait le coût de production de chaque photographie donc financèrement plus accessble. Dans ses photos souvent un portrait en pied et avec les objets luxueux, décoration dorée, la chaisse, rideaux somptueux  pour montrer leur richesse et la vie idéalisée. Le but de cette photo portrait c’est  l’ostentation, il n’était pas nécessaire de manifester ses sentiments. La forme vient de carte visite. Et ces sourire peut etre possible vient de la publicité de Kodak. Cet entreprise recomonde une pose souriante. Infulence de publicité universel et commerciaux. L’influence de la durée de production de photo. Pour prendre photo il faullait tenir la même postion pendant longtemps. Le sourire longtemps n’avait pas possible. On avait pas de la référence de la postion on a emprunter la position de la peinture. La posture de peinture portrait était reprise dans la photographie. Kodak nous font un reference de postion, façon de faire, on peut dire que une pratique de photo. Dans les années 1900, le rire semblait réservé aux idiots. Des recherches ont mis en avant le fait que, durant des siècles, le rire était réservé aux clowns. Il existe de nombreuses exceptions à ce postulat d'un rire interdit.

[pic 2]

ex) Charles Lansiaux, « Aspects de Paris pendant la guerre de 1914 »

A l’époque antique , c’était difficile d’avoir une nouvelle de la guerre par les paroles d’une personne en direct soit par la litterature ou la poète. L’invention de photographie, elle permet l’expérience indirecte. Par rapports l’autre genre il est très avantageux étant donné que la photographie peut capturer un moment précisé et vivant, et en plus possible d’avoir les détail figurative. Sans difficulté de la distance de la guerre,  les gens peuvent le reconnaitre.  Au début de XX ème siècle la première guerre mondiale arrivée, dans cette période les photograhes ont pris des scènes de la guerre sur la place. Charles Lansiaux qui est un photographe français n’etait pas la même. Il était à Paris dans les rues de Paris au cours des quotidiens parisien. Dès le 2 août 1914, il entreprend une série qu’il intitule « Aspects de Paris pendant la guerre de 1914 ». Cela n’est pas vraiment la direct de la guerre sur place avec des armes et miltaire pourtant la vie de quotidien est existait, ces aspects peut-étre aussi la scène de la guerre. Ces travaux sont considérés un précieux reportage de Paris.

Roland Barthes, presente les deux modes des caractéristique d’une photographie qui déclenche le sentiment dans son livre « la chambre claire ».

Il définit la conception de Studium :

 « Au-delà des photos qui ne lui disent absolument rien, il existe des photographies pour lesquelles l’auteur éprouve « un affect moyen ». L’auteur nomme cet intérêt d’un mot latin, le « studium ». C’est « l’application à une chose, le goût pour quelqu’un, une sorte d’investissement général, empressé certes, mais sans acuité particulière », une sorte d’intérêt culturel, social, politique. En quelque sorte la nuance du « I like », l’intérêt poli, le désir nonchalant, le champ du « j’aime, je n’aime pas (…) l’intérêt vague, lisse, irresponsable qu’on a pour des gens, des spectacles, des vêtements, des livres, qu’on trouve bien ». C’est aussi la reconnaissance de la culture du photographe, « un contrat passé entre les créateurs et les consommateurs (…) une sorte d’éducation (savoir et politesse) qui me permet de retrouver l’Operator ». La photographie est ainsi fonctionnelle et socialement utile : elle informe, représente, surprend, signifie, donne envie. »

Ensuite, il définit Punctum,

 « Le Punctum, c’est la piqûre, le petit trou, la petite tâche, la petite coupure, mais aussi le coup de dé en latin. C’est le hasard qui, dans une photo à la fois me « point » mais aussi me meurtrit. Il vient souvent de la « coprésence de deux éléments discontinus, hétérogènes en ce qu’ils n’appartenaient pas au même monde (pas besoin d’aller jusqu’au contraste) ». En quelque sorte, cette fois, la nuance du « I love ». »

Selon Studium, c’est une signification générale par rapports au culturel habituel et sociale. C’est un symbole qui est facile à comprendre ou ça peut être l’intention du photographe.

Dans la première photo ci-dessus, il y a des parisiens réunis dans une cadre de photo qui est assez dense. Ils sont peut-être dans une grande place publique ou au cœur de la ville de paris ou un endroit où les gens peuvent se rassembler. Remarquablement on voit quatre garçons au premier plan. Au deuxième plan, il y a des femmes coiffées. En dernier les plus grand hommes qui remplissent le arrière-plan. A gauche les deux garçons avec un béret ont l’air joyeux en souriant tout comme les femmes derrières.

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