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Le tournant du réalisme autour de 1850


TD : Le tournant du réalisme autour de 1850
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Par   •  14 Octobre 2021  •  TD  •  775 Mots (4 Pages)  •  370 Vues

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Le tournant du réalisme autour de 1850


Révolution qui va amener à la deuxième république

Phénomène important, transformation des institutions autour de l’art, elle fut controlée par le Salon par exemple, au milieu de 19 elle vont être remises en question, on a une automatisation de l’art, plus de poids dans les acteurs privés, modernisme ou avant garde. Modernisme: Tendance artistique à adhérer à sa propre époque et va même anticiper le futur, attitude qui à tendance à se concentrer sur le médium, dire que une peinture est une peinture.

Les avants gardes, signification venant du sens militaire, avant dans le champ de bataille, idée d’une minorité qui est en avance sur les autres mais qui s’expose au danger, sous entendu politique, sont souvent constitués autour d’un manifeste

La remise en cause des règles académiques avant 1850 avec le courant du romantisme, notamment avec le choix des sujets, sujets de la vie quotidienne, Géricault ou Delacroix, on avait une idéologie qui favorisait le dessin par rapport à la couleur, et le sujet était souvent biblique. À l’inverse au romantisme on va privilégier des sujets réalistes, contemporains, voire cachés. La notion de beauté est mise de coté pour valoriser le sujet.

1848 révolution qui va amener au suffrage universel masculin. Population grandissante exode rural, chemins de fer, artistes peuvent voyager.

Origines du réalisme en peinture

Réalisme, courbet a été la prémisse de ce mode de représentation, mais plus tôt d’autres exemples, comme piéter Brueghel l’ancien, au pays bas on a la peinture de genre qui représente la vie quotidienne. Ou Goya repris par Manet des années plus tard.

Gustave Courbet né en 1819, vient de Ornans, va faire sensation au Salon par les sujets choisis, et ses formats d’habituel choisis pour la peinture d’histoire plutôt énormes.

1851: Un enterrement à Ornans , de format gigantesque, dont le sujet est un banal enterrement d’un village provincial. Paysage social, ce qui choque, c’est la pure représentation de la laideur non idéalisée, presque caricatural. Les choix chromatiques de Courbet vont aussi choquer et pris en dérision dans des caricatures. L’absence de suggestion de mouvement va être caricaturé, refus de pratiquer une rhétorique par les gestes, comme dans les scènes bibliques où on force le spectateur à être dans la scène,

1855: L’atelier du peintre, Allégorie réelle déterminante une phase de sept années de ma vie artistique, peinture qui ne va pas glorifier la société et ses avancements comme attendu à l’exposition universelle, mais il s’auto représente avec ses connaissances, il va être refusé, et crée son bâtiment nommé le bâtiment du réalisme .

Le sujet, il peint un paysage de son coin natal à Ornans, à droite il est accompagné de’une modèle, un petit garçon regardant l’oeuvre, le regarder idéal selon courbet, de manière naïve, sans éducation et prérecquis, à droite ses , à gauche Baudelaire, ses fréquentations. Il regroupe toutes les catégories de représentations, donc montre sa polyvalence, portraitiste, peintre de paysage, de scènes de genre, d’allégories. Mécène , Alfred Bruyas, qui finance Courbet dans

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