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Cinéma, culture et société

Commentaire d'oeuvre : Cinéma, culture et société. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  22 Novembre 2018  •  Commentaire d'oeuvre  •  1 532 Mots (7 Pages)  •  657 Vues

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Introduction

Le cinéma  n’appartient à personne mais appartient à tout le monde, à tous les âges, à toutes les couches sociales, à toutes les cultures et par là-même à toutes les sociétés .C’est un art dont la nature abolit les limites artistiques et narratives. Le cinéma peut parler de tout avec n’importe quel moyen car c’est  le véritable carrefour des arts du temps, de l’espace et du mouvement .Les images y foisonnent tout comme les sujets traités.

Il n’est pas à montrer au XXIème  siècle que le cinéma fait partie intégrante du quotidien de chaque individu car tout le monde voit des films. C’est une culture universelle qui imprègne les cultures locales de respectives à chaque société.

Le rapport qu’entretient parfois le cinéma avec la société tend à être une interaction essayant de montrer la culture de cette dernière, ces manières de gérer les conflits, de voir le monde, de comprendre ou d’analyser les personnes et. Aussi,  montrer leurs  joies, capturer leurs angoisses, leurs déceptions, leurs souvenirs et leurs devenirs.

Les exposés dans le cadre du séminaire « cinéma : culture et société » animé par Mme Amal Oussikoum essaient de toucher à des phénomènes plus que sociaux : Humains. On cherche la nature humaine dans le temps, l’espace et l’expérience face à soi-même et face à ses semblables, face à son passé  et celui d’autrui, on cherche l’Homme dans la souffrance et la joie, dans sa jeunesse t sa maturité, sa liberté et son emprisonnement, l’amour et la haine, l’abondance  et la pénurie.

 Les quatre exposés présentés traitent de l’espace : la prison, le bidonville  et l’école et du personnage : l’enfant, l’adolescent, le prisonnier, le professeur et le marginal.  

  1. L’univers carcéral : un espace, un thème ciné-génique (Présenté par :MANDOUR Abdennabi et DOUAOU Hicham dans 36 diapositives)
  2. La représentation de l’école au cinéma: Du vécu au cliché-(présenté par BOUCHARI Youssef et BOUZITI Abdelali dans 26 diapositives)
  3. L’enfant au cinéma (préparé par ENNAJIMI Mounia et NOUIJAH Abdeslem dans 24 diapositives)
  4. Les marginaux entre Rêve et chimère (Travail présenté par les étudiantes DAIF Laila et OUAHMANE Fatima dans 52 pages)

On peut faire la synthèse de ces exposés comme suit :

  1. L’espace
  1. L’espace comme univers de conflit
  2. L’espace comme lieu de pédagogie et de réinsertion
  3. L’espace de rêve et l’espace rêvé
  1. Le personnage
  1. Conception d’une période d’âge
  2. Façon de voir le prisonnier, le geôlier, le professeur et le marginal
  3. Une vision personnelle et différente du monde


Présentation du corpus

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  1. L’espace
  1. Un univers de conflit

Là où il y a deux humains il y a conflit ne serait-ce que latent. Les deux lieux traités par les deux exposés sont la prison et l’école dont la nature est une institution dans laquelle se trouve des personnes qui passent un bout de leur temps partiellement ou totalement  ou (quelques heures à l’école ou quelques semaines, mois voire quelques années) .Cela veut dire qu’n est pas libre pendant la période temporelle dans laquelle nous y somme de faire ce qu’on veut ce qui crée les conflits entre les utilisateurs de cet espace

  • prisonnier et gardien dans le film « Le trou » de Jacques  Becker
  • prisonnier et un autre comme dans le cas du film « Un prophète » de Jacques Audiard
  • le prisonnier et le temps le cas du film de Robert Bresson « Un condamné à mort s’est échappé »

Une autre typologie de conflit est celle qui oppose dans le cadre de l’école :

  • élève /élève
  • élève/professeur (Le plus beau métier du monde de Gérard Lauzier)
  • élève face à l’institution (Le cercle des poètes disparus film de Peter Weir) et face à la société et la sévérité de la société (Le cahier de Hanaa Makhmalbaf )
  • le marginal en conflit avec la société représenté par ces deux  films (Slumdog millionaire et Le vrai lieu, la chimère)

  1. Un lieu de pédagogie et de réinsertion

L’école et la prison comme lieux institutionnels jouent un rôle dans la société dans l’insertion initiale et la réinsertion par la suite des personnes incapables de s’intégrer dans le tissu social. Mais l’école dans le film de Gérard Lauzier « Le plus beau métier du monde » présente un cas spécial derrière son existence car elle représente une institution non de pédagogie et d’apprentissage mais surtout de réinsertion car les enfant issus du milieu de l’immigration et des milieux banlieusards sont considérés comme des enfants pas normaux .Ce rôle qui ‘est plu joué et assuré par un autre lieu qui doit réinsérer à savoir la prison. Ainsi, le cinéma se transforme en un moyen pour dénoncer l’échec de deux institutions qui se transforment selon la vision de ces cinéastes en bâtiments, univers de limitation de liberté et pas plus.

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