Bergson

Nous étudions ici l’extrait d’un texte de Bergson, l’Énergie spirituelle, qui traite de la relation entre le corps et l’âme . Nous parlerons plus précisément de cerveau et de conscience , l’auteur ici veut savoir si la conscience peut être attribué au cerveau. Cependant l’auteur ici nie cette thèse en nous montrant qu’il n’y a seulement relation entre le cerveau et la conscience, ce qui renie donc toute pensées matérialistes et moniste qui restreint la pensée au cerveau.

Tout d’abord nous verrons les avantage de séparer la conscience du cerveau et rejette ainsi toute pensée matérialiste .

Pour débuter l’auteur nous dit que la science dit que « la vie de la conscience est lié a la vie du corps » ce qui pourrait nous faire penser que la conscience est la même chose que le cerveau cependant celui ci rajoute qu’il n’y a que liaisons entres elles, ce qui nous montre que la conscience n’est pas nécessairement réduite au cerveau. L’auteur décrit la conscience comme le mental donc comme spirituel et tout ce qui est lié au cerveau et au corps comme matériel.Lorsque l’auteur sépare le corps et l’âme celui ci nous indique que les deux peuvent ainsi être indépendant mais qu’ils ont tout de même une certaine relation.Lorsque l’auteur nous dis que la conscience et l’âme n’est pas réduite au cerveau l’auteur s’oppose aux thèses qui nous disent que l’âme n’est rien de plus que la matière que l’on retrouve dans notre cerveau.

L’auteur nous dit qu’il allait étudier la science cependant  dans la suite du texte celui ci s’oppose a toute pensée matérialiste ce qui contredit donc l’essence même de la science qui elle jusque là réduisait l’âme au cerveau, ce qui nous laisse donc comprendre qu’il rejette la science sur laquelle il s’appuie.De plus l’auteur nous dit que le fait que l’âme et le corps ne soit pas la même chose n’a jamais été contesté cependant plusieurs philosophe ou bien scientifique nous définit la corrélations entre l’âme et le cerveau de façon uniquement matérielle .

Pour continuer l’auteur nous explique plus précisément la relation entre l’âme et le corps en remettant l’accent sur le fait que l’âme n’est pas l’équivalent du cerveau.

En utilisant « Un vêtement est solidaire du clou auquel il est accroché » l’auteur compare le vêtement a l’âme et le corps au clou. Il compare plus précisément le clou au cerveau. En écrivant « il tombe si l'on arrache le clou ; il oscille si le clou remue »l’auteur nous dit que le cerveau dirige principalement les acte de l’âme car c’est le clou ici qui agit et le vêtement qui subit.

L’auteur nous dit que les actes de notre corps ne sont pas toujours les mêmes que ceux de notre âme

pour ensuite nous dire que le clou et le vêtement ne sont pas la même chose ce qui veut donc dire que l’âme n’est pas réduite au cerveau .

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