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Les cellules eucalyptus cleurophyliennes

Fiche de lecture : Les cellules eucalyptus cleurophyliennes. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  11 Octobre 2018  •  Fiche de lecture  •  654 Mots (3 Pages)  •  476 Vues

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Les végétaux comme les algues ou les plantes, autrement dit, les cellules eucaryotes chlorophylliennes ont une structure et un métabolisme bien particuliers caractérisés en deux parties distincts: le catabolisme, permettant d'extraire l'énergie des nutriments, par dégradation des molécules énergétiques (glucides, lipides...) et l'anabolisme, permettant de synthétiser les constituants nécessaires à la structure et au bon fonctionnement des cellules. Que pouvons nous donc en tirer?

La structure des cellules eucaryotes chlorophylliennes est relativement spécifique. En plus de posséder un noyau, propre aux cellules eucaryotes, elle contient également des mitochondries servant à la respiration cellulaire, un appareil de Golgi: organites nécessaires à la fabrication de protéines, une membrane plasmique, du cytoplasme etc… Cette cellule végétale possède aussi des organites appelés plastes ou plus précisément : chloroplastes, ceux-ci sont capable de fixer diverses substances et contiennent également des pigments, dont le plus important est la chlorophylle. De plus, le chloroplaste est capable de capter l'énergie solaire et de la mettre en réserve sous forme d'adénosine-triphosphate (ATP), qui est un pourvoyeur d'énergie chimique nécessaire aux biosynthèses: c’est la photosynthèse. Les vacuoles qu’elles contiennent en sont aussi bien spécifiques, organites délimités par une membrane, ceux-ci sont remplis d’eau ainsi que de diverses molécules tels que des enzymes, ayant principalement un but défensif.

Dans une cellule, de nombreuses réactions chimiques prennent places, celles-ci permettent ainsi la reproduction et la croissance des êtres vivants. Cet ensemble se nomme métabolisme. Celui-ci peut être hétérotrophe ou autotrophe.

Cependant présentement, nous nous intéresserons davantage à l’autotrophie, le métabolisme des cellules eucaryotes chlorophylliennes. Il consiste à fabriquer des molécules organiques à partir de substances minérales uniquement, prélevées dans l’environnement (eau, sels minéraux présents dans la terre, oxygène de l’air).

Lors de ce phénomène chimique, l’alimentation de la cellule se fait tout d’abord par le biais d'absorption d’eau, d’ions minéraux, de dioxyde de carbone ainsi que d’énergie lumineuse. Le métabolisme débute dans les chloroplastes, un organite spécifique des plantes, qui doit sa couleur verte à la chlorophylle qu’ils renferment comme vu précédemment. Ce dernier est sensible aux différentes ondes du spectre lumineux, il est donc capable de capter la lumière, permettant la photosynthèse. Le stroma du chloroplaste est un gel contenant les enzymes nécessaires à la production des molécules organiques (on peut y observer des grains d’amidon). Le chloroplaste renferme un important réseau de membranes internes formant des sacs clos aplatis, les thylakoïdes. C’est dans la membrane des thylakoïdes que sont situés les pigments chlorophylliens. Ceux sont des organites présents dans le cytoplasme des cellules eucaryotes photosynthétiques. Ce phénomène permet ainsi aux cellules eucaryotes chlorophylliennes de fabriquer de l’amidon à partir de CO2 prélevé dans l’air par le biais des feuilles ainsi que des molécules d'H2O prélevées dans le sol. L’amidon est ensuite soit directement utilisé pour la formation

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