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CHAPITRE 1 : L’ORGANISATION FONCTIONNELLE DES PLANTES A FLEURS

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Par   •  13 Novembre 2022  •  Cours  •  369 Mots (2 Pages)  •  382 Vues

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CHAPITRE 1 : L’ORGANISATION FONCTIONNELLE DES PLANTES A FLEURS

Introduction : diverses expériences montrent que :

- au niveau racinaire, on a absorption d’eau et de sels

minéraux (ions),

- au niveau de la feuille CHLOROPHYLLIENNE, à la lumière,

on a absorption de CO2 pour la fabrication de matière

organique (amidon par exemple), par PHOTOSYNTHÈSE

ainsi qu’une évapotranspiration

I) LES GRANDES SURFACES D’ECHANGE DE LA PLANTE

A)Les racines (page 168)

Chaque plante possède un réseau de racines très longues et très fines, souvent ramifiées formant une vaste surface d’échange avec le sol.

Près de leur extrémité, les racines sont couvertes de poils absorbants (zone pilifère). Le poil absorbant est une cellule très allongée et à paroi très fine, ce qui optimise l’entrée d’eau et d’ions venant du sol.

Les racines peuvent s’associer au mycélium d’un champignon :

celui-ci forme alors un feutrage ou pénètre à l’intérieur des cellules.

Cette association racine = mycélium se nomme mycorhize. C’est une symbiose : association à bénéfice réciproque.

En effet le champignon se nourrit des MO fabriquées par la plante et celle-ci bénéficie, grâce aux filaments mycéliens du champignon, d’un volume d’exploitation de l’eau et des ions du sol très supérieur à ce qu’il serait sans mycorhize.

Les racines : des organes adaptés à l’absorption de l’eau et des ions minéraux du sol.

B) Les feuilles page 164

Les feuilles forment une grande surface de captation de la

lumière et d’échanges avec l’atmosphère :

- Le parenchyme chlorophyllien, formé de cellules pourvues de

très nombreux chloroplastes, assurent la photosynthèse.

- Les stomates (un stomate = 2 cellules stomatiques entourant

un orifice : l’ostiole), dont le degré d’ouverture dépend des

conditions du milieu, forment des pores dans l’épiderme et

permettent des échanges de gaz (CO2, O2 et H2O) avec

l’atmosphère, tout en limitant les pertes d’eau par évaporation.

II) DES ADAPTATIONS A UN ENVIRONNEMENT CHANGEANT

Selon leur milieu de vie, les plantes présentent des adaptations leur permettant de vivre fixées dans des conditions variables.

Exemples :

- L’oyat des dunes qui présentent de longues feuilles capables de s’enrouler sur elles-mêmes protégeant ainsi les stomates de l’épiderme interne du vent asséchant. La

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