Société mécanique et organique

Hugo DM SES N°3

MARCINKOWSKI

1e2

Il existe deux types de solidarité et ils sont bien distingués par Durkheim :

- D’une part la solidarité mécanique qui prend place dans une société traditionnelle ou la plupart des individus sont similaires et perdus dans la masse.

Ils sont autonomes et auto-suffisant, il n’y a donc pas de division du travail ou très peu.

Chaque famille est alors en auto-gestion.

La conscience dominante est collective c'est-à-dire qu’elle dicte les comportements individuels et que les individus se conforment aux attentes du groupe : la valeur dominante est donc le groupe et le respect de la tradition.

Au sein de cette société le droit est répressif et strict : les sanctions sont violentes, en publiques pour montrer l’exemple. Un contrôle social informel est exercé ici, du au regard des autres et à la pression sociale.

-D’autre part la solidarité organique qui est associée à la société moderne à partir de la Révolution industrielle.

Dans cette dernière les individus ont des personnalités individuelles affirmées et sont différents les uns des autres.

Contrairement à la société traditionnelle ici dans la société moderne, la division du travail est forte : chaque individu est spécialisé dans une fonction et dépend des autres.

Pour le reste on dit que la société est organique car comme les organes humains ils sont tous reliés. Au sein de cette société la conscience dominante est individuelle c’est à dire que les individus recherchent le bonheur et l’épanouissement individuel : c’est la valeur dominante.

Ici un droit restitutif qui vise à réparer les fautes et indemniser la victime. Le contrôle social est formel : on s’émancipe du regard des autres et on est d’avantage contraint par la loi.

Le contrôle social informel persiste tout de même dans certains cas.

Nous pouvons donc voir que ces deux types de solidarité sont différents et même opposés

La famille est toujours une instance d’intégration importante comme nous le montre le document suivant : ce dernier est une enquête menée auprès d’un échantillon de 1001 personnes représentatif de la population française âgée de minimum 18 ans.

Nous pouvons voir que pour 91% de ces personnes sont en accord avec le fait que la famille est le premier lieu de solidarité, notamment entre les générations, seulement 9% ne sont pas en accord avec cela.

88% sont également d’accord avec le fait que la famille est un atout pour la paix sociale et favorise le vivre ensemble, 12% ne sont pas d’accord avec cela, ce qui est très peu.

89% pense que la famille est le principal amortisseur social contre 11%.

Tous ces chiffres nous permettent de confirmer le fait que la famille est toujours une instance d’intégration importante.

A l’aide du même document nous allons voir que

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