CAS DE BLABLACAR

ÉTUDE DE CAS : BLABLACAR

1/ Pour commencer, nous avons vu qu’un agent économique est une personne physique ou morale prenant des décisions qui participe à l'activité économique. En économie, ce sont les ménages, les sociétés financières, les entreprises, les administrations publiques, les institutions sans but lucratif et le reste du monde qui sont qualifier comme étant des agents économique. Dans le cas de BlablaCar, les principaux agents économique reste les ménages, en effet ce sont eux qui influence le chiffre d’affaire de l’entreprise. Nous avons aussi les entreprises comme Google Maps.

2/ BlaBlaCar est une entreprise qui intervient sur le marché du Transport et plus particulièrement le covoiturage courte-distance et longue distance. Elle fonctionne sur le principe du covoiturage, BlaBlaCar propose un service entre usager économe, convivial et responsable grâce à une application sur laquelle nous pouvons chercher des trajets.

3/ BlaBlaCar fait face à une grosse concurrence en termes de covoiturage, t’elle que le géant français SNCF, TGV MAX, TGV OUIGO… Cette entreprise a aussi fait face à une expansion internationale raté sur le plan des revenus, ce qui à créer une phase délicate entre 2015 et 2017. En effet, les «blablanautes» avait été multiplié par dix entre 2013 et 2015 et n’a «que» doublé les deux années suivantes. BlaBlaCar a décidé de réagir en collabarant avec un nouveau moteur de recherche qui permet de multiplier les trajets .

4/ Cet entreprise de covoiturage a décidé de faire un partenariat avec Google pour s’accroître d’avantage grâce à son application Google Maps ou serait afficher l’option BlaBlaCar sur son trajet, cette option ramène directement sur le site avec le trajet près enregistrer. Grâce à leur coopération BlaBlaCar gagnera des usagers dans plusieurs pays.

5/ Le fait de mettre des clients en contact avec des particuliers qui utilisent leurs véhicules privé est anticoncurrentielle, car aucune charge sociale et aucun impôt n’est payé. C’est pour cela que ces économies collaboratives bousculent le jeu de la concurrence, car en effet les taxis et les VTC eux payent des charges et des impôts.

6/ Les externalités négatives de la digitalisation pour ses marchés sont qu'il y a beaucoup moins de barrières pour l'entrée de nouveaux chauffeurs dans ce marché, et, il y a une baisse sur les coûts d’informations pour les usagers. De plus, il y a plus de concurrence avec les autres plateformes de covoiturages. Pour les externalités positives nous pouvons retenir que cet digitalisation permet aux entreprises de covoiturage de se développer à travers le monde. En ajoutant, qu’elle permet aussi de reconfigurer les situations de marchés, aussi bien celui des services que celui du travail.

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