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Éthique entre religion et athéisme

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Par   •  17 Décembre 2017  •  Fiche de lecture  •  3 660 Mots (15 Pages)  •  697 Vues

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Éthique entre religion et athéisme

Il y a quelques exemples de valeurs et de comportements que nous accepterons généralement pour tomber sous le concept de l'éthique: d'un autre côté, le mensonge, la tromperie, la cruauté, la cruauté, la cruauté, Intolérance, égoïsme, injustice, bêtise ... Valeurs et comportements nous conviendrons - généralement aussi - qu'ils sont contre ce que nous appelons la morale.

Mais, y a-t-il des mœurs sans religion? Est-ce qu'un athée ou un athée a une morale? Alors, quelle est la référence éthique de l'athée ou non-religieux? Quelle est la source à partir de laquelle la personne matérielle, qui ne croit pas aux mystères, tire ses valeurs et ses principes? L'éthique est-elle aux yeux des athées relatifs ou absolus? S'il ne croit pas à l'autre récit, qu'est-ce qui l'empêche de commettre des crimes et des maux de toutes sortes?

Comme cela, demandez aux croyants des religions qui croient que les religions sont la seule source réelle de l'éthique et fixe définis clairement et ont un sacré de référence fixe, et cet article est une tentative de répondre à ces questions, et d'essayer de clarifier le sens de la morale du point de vue athée individuel athée.

Tout d'abord, il faut d'abord noter le fait évident qu'on ne peut pas dire que l'homme en général - son caractère, son caractère et son comportement - n'est que le produit de sa philosophie, de son idéologie ou de ses croyances religieuses. Le comportement moral et éthique de l'homme découle d'abord de ses gènes, de son mode d'éducation et de ses conditions personnelles, sociales, éducatives, culturelles et économiques, avant qu'il ne découle de sa croyance religieuse. , Que ce soit positivement ou négativement, et la preuve que nous voyons autour de nous, les gens pour créer une excellente de toutes sortes de doctrines intellectuelles et religieuses, et voir aussi des criminels non immoraux de toutes sortes de doctrines intellectuelles et religieuses, il faut souligner qu'il n'y a aucune croyance particulière si embrassé Vchristolk à un ange, Si elle est laissée à devenir un démon ou vice versa, la religion n'est qu'un facteur parmi d'autres qui contribue au dessin de la personnalité humaine.

Le fait que notre discussion est ici limitée à ce seul facteur, il crée une sorte d'écart qui est digne d'attention sur le côté théorique de la question d'une part (par exemple, par rapport au concept religieux de la morale avec le concept de non-religieux ont) et entre le côté scientifique et pratique de la question d'autre part (par rapport à l'éthique de la morale fidèle des athées) Le premier aspect n'est qu'une partie de la deuxième partie et pas la totalité, tout en reconnaissant l'importance de cette partie et son impact à des degrés divers et limitée à d'autres facteurs mentionnés ci-dessus.

Nous allons diviser le sujet en deux parties: Dans la première, nous allons parler de l'éthique d'un point de vue religieux, Znserd une analyse de la morale religieuse que l'on appelle, alors nous allons passer dans la seconde pour discuter de la vision de la morale du point de vue de l'irréligion, et à la fin nous apportera une conclusion de procéder à une comparaison de l'application

Première partie: l'éthique d'un point de vue religieux

Commençons par l'éthique religieuse et demandons le début:

«La morale religieuse est-elle aussi absolue qu'elle le prétend?»

«Est-ce que le bien est bon parce que les dieux l'aiment? Ou est-ce que les dieux l'aiment parce qu'il est bon?

Voici le problème de Yuthifro, dans le dialogue entre Socrate et Uttifro, comme l'a dit Platon:

La première est que «Dieu est la source de bien», Vsasttba pour que Dieu lui-même n'a pas de sens pour le bien ou le mal, et il ne peut pas être jugé sur Dieu comme bon, même si le second, «bon bien en soi», cela signifie que la bonté est un pont aérien logique séparée De Dieu, mais Dieu lui-même le suit et lui est soumis!

La première question qui vient à l'esprit quand on parle de la morale religieuse est: «voir toute religion signifie?» Est l'éthique de l'islam sont les mêmes que l'éthique chrétienne du judaïsme, de la morale et de l'éthique de l'éthique hindoue et bouddhiste et l'éthique du zoroastrisme et l'éthique des baha'is ... etc?

La réponse sera inévitablement négative, mais il est clair que nous parlons de «l'éthique» pour chaque autre sa référence tout à fait, ne sont pas référence musulmane morale est une référence chrétienne elle-même, mais peut-être contradictoires, par exemple, la consommation d'alcool sera considéré comme quelque chose d'immoral pour les musulmans, mais il est pas quand Christian, alors que nous constatons que le divorce est considéré comme moralement inacceptable quand chrétien, mais il est pas musulman, et ainsi de suite, parce que chaque propriétaire d'un autre références de livres de religion et différente revenir, alors que des motifs «absolu» Si vous parlez!

Mais même quand on regarde dans le même religion, nous constatons que les références éthiques varient selon la dénomination et la secte et référence idiosyncrasique, est, par exemple, l'éthique du match musulman sunnite avec l'éthique du musulman chiite? La réponse est non plus, car le mariage par exemple amusant peut être Aokhalakie dans l'œil du musulman sunnite, mais il est tout à fait acceptable du point de vue des musulmans chiites, et de même pour l'application des pieux, frappant soi dans les vacances ... etc, ce qui est acceptable qui n'accepte pas, et si différents référence explicative qui est due aux deux équipes, et poursuivre le phénomène même dans la doctrine religieuse d'un des propriétaires, où nous trouverons des variations dans les références éthiques différentes interprétations, des visions, des interprétations, des mesures et des références, et ainsi de la morale quand salafiste sunnite musulman, par exemple, n'est pas comme quand un mystique musulman sunnite, et de l'éthique pour Hambali, quelque chose au sujet de l'éthique est différent quand Shafei, et ainsi de suite que les exemples"Tu es mon bien-aimé, si tu fais ce que je te commande de faire ..." (Jean 15:15)

«Après ces choses se sont passées que Dieu éprouva Abraham .. Il lui dit: Abraham .. Et il dit: Voici, je .. Il a dit Prends ton fils, ton fils unique que tu aimes Isaac, et aller au pays de Morija, et offert en holocauste sur l'une des montagnes que je vous dis .. Rose début Ibrahim suis ...» (Voyage Composition: 22)

«Quand il arriva avec lui pour chercher dit, mon fils, je vois dans un rêve que je Ozbg voir ce que vous voyez, dit-il, mon père, fais ce que je commandais ...» (Sourate Saffat: 70)

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