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Que pouvons nous affirmer comme savoir véritable ?

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Par   •  30 Avril 2019  •  Dissertation  •  2 376 Mots (10 Pages)  •  602 Vues

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        Nous essayons de comprendre qu’est-ce que le véritable savoir. Ce qui est de l’ordre du savoir est nécessairement vrai et universel pour n’importe quelle référentiel donné. C’est pourquoi, le savoir est à première vue obligatoirement véritable et nécessaire puisqu'il paraît aux yeux de tous comme un savoir. Cette loi s’applique également avec ce qu’on ne sait pas, puisque quand on sait qu’on ne sait pas alors nous possédons un savoir véritable.

Il faut donc réfléchir aux conditions de légitimité de cette question. Nous pouvons appliquer ce questionnement lorsque nous avons eu tort sur quelque chose que l’on croyait être vrai. Ce trouvait dans une situation où ce que l’on pensait être le plus certain s’avère être faux. Lorsque l’on pensait que quelque chose était propre du savoir, et non pas de la croyance, était en réalité fausse. Ce sont ce genre de situation qui justifie le questionnement de base. L’histoire nous prouve que des lois physique et naturels ont étaient révélées fausse si bien que pendant des siècles elles appartenaient à la sphère du savoir pour tous. C’est donc, pour cela que l’on peut se poser la question que savons nous vraiment ? Cependant, il est également véritable que le savoir s'avérant faux est utilisé pour un référentiel donné, il est fonctionnel pour un certain nombre de cas. Il semble donc que rien ne soit certain et que donc tout est réfutable. Il faut néanmoins différencié réfuté et réfutable qui ne veut pas dire faux mais au contraire que la connaissance c’est le réfutable. Il nous ai donc légitime de se poser la question suivante: Que pouvons nous affirmer comme savoir véritable ?

Pour résoudre ce problème il nous faudra étudier le problème sur la pensée et le réel et ensuite réfléchir sur l’impossibilité d’être complètement sceptique. On devrait donc dans un premier temps, justifier pourquoi pouvons être sceptique sur la vérité, que tout ce qui est autour de l’être humain fait part de contingence, rien n’est véritablement. Dans un second temps analyser la pensée des plus dogmatiques qui s'appuie sur le sensible pour définir le savoir et la connaissances. Et dans un dernier temps affirmer la nécessité d’un principe que l’on appelle le vrai, le concept qui fait que ce qui est vrai est vrai. Qu’est-ce qui est alors véritable ?

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        Si nous définissons le savoir comme étant universel et nécessaire, alors nous distinguons le savoir de l’opinion. L’opinion est un concept personnel basés sur nos sens, notre visibilité du monde et non pas sur un référentiel universel. L’opinion est donc un concept contingent, qui peut être comme il peut ne pas être. L’opinion est voué à disparaître puisqu’il ne porte sur aucune notion commune qui est nécessairement vrai pour une infinité de possibilités. On parle donc d’une notion relative qui ne dépend que de la vision personnel, duquel l’opinion provient. Cependant, l’homme à travers les décennies à confondu l’opinion du savoir propre. Ils basaient leurs recherches sur des découvertes personnel qui relevées donc des résultats correct pour un référentiel précis, et n’étais pas valable pour toutes sortes de situation. C’est pour cela que cette opinion qui étaient contingente, à pu être confondu avec le savoir universel est nécessaire. L’opinion est en réalité nécessairement fausse puisqu’il est basé sur un jugements, un faits personnel et est rapporté à des connaissances prétendue universel. Il nous ai donc désormais légitime de comprendre ce que l’on qualifie de savoir véritable, si celui ci ne se base sur l’opinion qui est réalité contingent ? Mais si on ne peut pas qualifier le vrai de l’ordre du sensible et du visible alors rien ne semble certain, tout semble réfutable. Ne suis je pas un objet qui perçoit le monde a travers des lois sensorielle si bien que je n’ai aucune certitude. On pourrait de ce fait s’imaginer être dans une matrice, une réalité virtuelle. L’homme peut faire des rêve réaliste, poussant donc la question de savoir comment savoir si ce que l’on vit est réel ?

        Nous savons désormais que le savoir ne peut pas provenir d’une connaissance sensible, que l’utilisation des sens ne produit en aucun cas du véritable mais de la contingence. En effet, que la sensibilité de l’homme produit par exemple une table qui est voué à ne plus être. Alors qu’est-ce que le savoir ? Hegel prouve lui même que le concept infini est lui même véritable, et éloigner de la réalité. Il nous vient donc de penser aux sciences comme les idées mathématiques et les lois rationnelle qui ont expliquer certaines lois de la natures. On peut donc se demander si il y a une relation entre le monde des idées mathématiques, le monde de la pensée et la réalité ?

        Nous avons cependant des raisons d’être sceptique sur la vérité. Bien que nous avons prouvé que les concepts mathématiques et physiques peuvent définir des lois véritable de la nature et du monde qui nous entoure l’histoire montre que à cause de ces concepts rationnelles des lois ont été prouvé fausse. Nous avons absolument aucune certitude des choses autour de l’être humain et que la science n’a pas la vocation à être universel et nécessaire, a savoir véritablement. Sa seule vocation est un savoir générale. Il faut donc réduire l’ambition de la connaissance, que la connaissance n’a pas vocation à être universel, elle au départ un moyen pour la survie de l’humanité et nous avons donc besoin de loi fonctionnel, de théorie qui marche et que c’est notre seul critère. Par exemple, durant plus de deux siècles le monde de la science est convaincue que l’espace à trois dimension qu’il est identique partout, qu’il ne varie pas et que le temps est uniforme, jusqu’à que le célèbre Einstein démontre que ce propos est faux. Cette démonstration détruit donc l’universalité du propos, puisque c’est vrai que dans un référentiel donné, c’est donc un savoir relatif. Les lois de Newton sont basés sur une description du réel qui est fausse. La loi de Newton est cependant de nos jours encore fonctionnel et est utilisé par plusieurs grand scientifique pour démontrer de nouvelles lois. C’est donc la fonctionnalité du concept qui importe plus que le savoir véritable d’une chose. C’est une pensée que David Hume dans l’Enquête sur l’entendement humain supporte, puisqu’il croît qu’il ne faut pas rechercher la vérité absolue mais ce qui est utile à l’homme en tant voulue. Si l’homme est capable de produire des lois fonctionnel en s’étant fondé sur une description de la réalité qui est fausse alors que sait on vraiment du réel, de ce qui est. Que c’est on vraiment dû générale. On peut donc véritablement rien savoir.

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