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Philosophie La conscience

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Par   •  27 Mars 2019  •  Cours  •  1 853 Mots (8 Pages)  •  467 Vues

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Mercredi 03/10

HISTOIRE DE LA PHILOSOPHIE

socrate est le pere de la philo

II. la philosophie et son rapport aux autres sciences

. Dès son apparition, la philosophie à toujours été liée aux autres sciences au point où elle semblait indissociable.

. Un philosophe est aussi un pratiquant de la totalité des sciences il fallait ete un « touche-tout »

La fie s’intéresse a tous les domaines

.La métaphysique est un arbre dont les feuilles et les branches sont les sciences.                                                          

                           ↘(Physique,mécanique , médecine, morale. Le tout constitue la philosophie)

. Pour Descarte «  toute la fie est comme un arbre dont les racines sont la métaphysique, le tronc est la physique et les branches qui sortent de ce tronc sont toutes les autres sciences qui se réduisent à trois principales, à savoir la médecine, la mécanique et la morale »

. Pendant très longtemps, la métaphysique a été la discipline centrale de l’activité philosophique. Cette discipline spéculative (réflexion purement intellectuelle) se focalisait essentiellement sur notre capacité à analyser et comprendre l’essence des choses c’est à dire tout ce qui échappe à la perception sensible.

. On étudiait les essences, ce qui échappe à notre perception, La métaphysique c’est la spéculation. L’essence serait selon platon une forme d’Etre. On cherche par exemple l’essence de la foudre, on émet des suppositions mais il y a tout de même une certaine rigueur démontrée par Aristote. Vers la moitié du XIXe siècle, il y a eu le mouvement du positivisme logique qui a estimé que la fie était trop spéculative et qu’elle n’avait aucun référent concret. Dès ce mouvement, on à séparé les sciences dures, mécanique, morale… de la philosophie qui ne finalement s’enseignait rien, selon les autres sciences. On n’avait pas besoin de fie pour guérir un corps.

. Il y a eu rupture.Après le siècle des lumière, on a atteint l’air moderne qui se base sur tout ce qui est observable.

. La fie restait métaphysique donc un acte pur de réflexion. On ne peut pas être philosophe si on est pas un peu métaphysicien. La fie a donc pensée a un nouveau moyen de réconciliation, elle à décidé de rendre la méta plus sérieuse donc elle s’est subdivisée en plusieurs domaines d’étude.

. Pour étudier les sciences avec de la fie, on devient épistémologue. La fie s’est étendue dans tout les autres domaines scientifiques. En Grèce antique, il fallait être au moins bon dans trois matières mais aussi garder un corps saint. Socrate était très bon en pugilat.

III. A quoi la fie nous sert-elle aujourd’hui ?

. Il s’agit d’une question pertinente que ce pose bien évidement ceux qui s’initient à la pratique de la fie. Et les réponses à cette question sont multiples d’autant plus que fer est en soit une vertue. En milieux scolaire pas exemple, la pratique de la fie écueuille l’esprit critique des élèves, elle enseigne le contrôle de soit et les préparent au mieux aux aléas de la vie qu’ils vont rencontrer.

.La fie impose une rigueur méthodique dans la réflexion. Un esprit éclairé n’a finalement pas besoin de méthode. La fie insipire aussi en nous des valeurs morales et civiques qui nous rendent meilleurs. Dans la vie en générale, la fie nous permet de rechercher des conditions d’accès au bonheur et à la vie bonne. Donc tout le monde peut devenir fie. C’est pourquoi épicure dit qu’il n’y a pas d’âge pour commencer a fer donc on retient que la fis est une discipline qui amène l’homme à penser par lui même, il devient moins crédule et plus actif dans la quête du savoir et de la vérité.

Vendredi 05/10

Chap 1 La conscience :

        En général, qd on parle de conscience, on évoque en premier l’aspect psychologique de celui-ci. Dans le sens où elle renvoie a une connaissance au sentiments que le sujet éprouve le concernant. Il s’agit de ces états et des actes qu’il pose. Ensuite, il y a aussi une dimension morale de la conscience qui renvoie à notre capacité à formuler des jugements moraux relatif au bien ou au mal. Mais ce qui nous intéresse principalement c’est le rapport que la conscience établie avec le sujet lui même, le monde et la réalité (ou la vérité).

        Quels sont les différents degrés de conscience ?

        La conscience n’est elle propre qu’a l’H ?

        En quoi est elle un élément essentiel de la nature humaine ?

        Si ma conscience me sert intermédiaire entre moi et le monde, comment être certains que le                 monde existe ?

        Est elle en mesure de répondre à toutes les questions que je lui pose ? Ou faut il considéré le                 pouvoir de la conscience comme limité ?

I) Les différents degrés de conscience.

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