La conscience de ce que nous sommes est-elle un obstacle au bonheur ?
Dissertation : La conscience de ce que nous sommes est-elle un obstacle au bonheur ?. Recherche parmi 299 000+ dissertationsPar shaoitam • 1 Novembre 2018 • Dissertation • 3 482 Mots (14 Pages) • 6 526 Vues
Dissertation philosophique
La conscience de ce que nous sommes est-elle un obstacle au bonheur ?
La conscience : « cum scire » savoir avec, forme de savoir.
L’Homme est capable d’avoir conscience de lui-même, la conscience est tel un miroir qui révèle notre personne
La conscience désigne la perception du monde qui m'entoure et la conscience réfléchie ce sont les écoles si j'ai un 21 entre parenthèses conscience de soi. Elle est propre de l'homme elle peut varier ça intérêt pour rétrograder part de conscience sommeil en conscience la conscience morale et l'instance de jugement du bien et du mal. Il me parle des actions c'est elle qui alimente le remords ou la mauvaise conscience. Le bonheur désigne un état de satisfaction parfaite qui inscrit dans la durée. Figure de l'animalerie de l'enfant de permettre de mettre en évidence la spécificité du bonheur humain. L'enfant jouit d'une chance temporaire ils ne se nn sinon en tu comptes
La réalité la mort etc. Un sujet pensant est doué de conscience lors ne pourrait se satisfaire de ses désirs intérieur de bonheur est contraire à ce qu'il est. Selon un ami de plaisir ne sont pas aussi que chez l'homme c'est la réflexion permet de comprendre la joie qui accompagne plaisir.
Le bonheur est-il dans l'absence de lucidité est donc dans l'ignorance la fuite ne connaît-t-il pas une force supérieure dans une confrontation de l'homme avec la réalité du monde et de sa condition ?
Auteurs: Pascal, Descartes
vivre dans l’ignorance et dans les illusions permet-il d’atteindre le bonheur
Durant le siècle des Lumières, le philosophe Emmanuel Kant affirma que “"Le bonheur est un idéal de l’imagination et non de la raison." Il signifiait par là que la notion de bonheur n’existait seulement dans l’illusion et qu’il demeurait inatteignable. On n’entend aujourd’hui par bonheur un état de satisfa
Souvent confondu avec le plaisir la joie ou le bien-être le bonheur désigne un état durable de satisfaction qui s'oppose à la même heure est à la souffrance alors que le plaisir est bref la joie un pense et que le bien-être désigne l'ensemble des conditions bataille pour cette superbe besoin le bonheur est quant à lui une plénitude tranquille être heureux c'est une manqué de rien.
Le mot bonheur vient du latin Bruno how do you do qui signifie de bonne augure présage savoir il y a donc dans le bonheur une part importante de hasard comme le suggère les expressions porte bonheur ou heureuse rencontre. Mais la chanson me suffit pas dans bonheur il y a bon ce qui indique que sa réalisation dépend de l'obtention d'un bien l'on désire. En ce sens le bonheur aurait un caractère moral, étant relatif à la manière dont on conduit de son existence faite de désirs.
Parce qu'il dépend des circonstances du désir particulier de chacun le bonheur est difficile à définir. C'est pourquoi le désir de bonheur est paradoxal: chaque recherche volontairement son bonheur alors que celui-ci étant partie aléatoire et indéterminée.
Mais le bonheur des Hommes dépend tout d’abord de la conscience de ceux-ci. Aussi La conscience désigne la perception du monde qui m'entoure et la conscience réfléchie les états psychiques internes qui est la conscience de soi. Elle est le propre de l'homme et peut varier s’altérer ou être occultée lors du sommeil par exemple. La conscience morale quant à elle est l'instance de jugement du bien et du mal. Témoin de nos action des actions, c'est elle qui alimente le remords ou la mauvaise conscience.
Dissertation de philosophie
Sujet : La conscience de ce que nous sommes est-elle un obstacle au bonheur ?
Être heureux, c’est d’abord se sentir heureux. La notion de bonheur renvoie avant tout à un certain état de satisfaction. Plus précisément, le bonheur semble devoir se concevoir comme un état de plénitude, c’est-à dire ne manquer de rien. Comment l’homme peut-il parvenir à un tel état ? Un trait spécifique des êtres humains est la conscience. Aussi la conscience désigne la perception du monde qui nous entoure et la conscience réfléchie qui est la conscience de soi nos états psychiques internes. Elle est le propre de l'homme et peut varier, s’altérer ou être occultée lors du sommeil par exemple. La conscience morale quant à elle est l'instance de jugement du bien et du mal. Témoin de nos actions, c'est elle qui alimente les remords ou la mauvaise conscience. Dans la mesure où le bonheur n’est pas seulement l’effet du hasard, mais aussi l’effet de notre perception de soi et du monde, la conscience serait nécessaire pour parvenir plus efficacement à la vie heureuse. Mais prendre conscience de ce que nous sommes c’est aussi prendre conscience de ce que nous ne sommes pas. L’homme qui prend conscience se rend compte de ce qu’il n’est pas, de ce qui lui manque, il se rend compte qu’il est un être soumis à l’emprise du temps et à l’ordre du monde et que tout ce à quoi il tient est également soumis à cette emprise. L’homme prend conscience alors de la fragilité du bonheur, voire de son caractère illusoire. Devons-nous alors considérer qu’il faut s’abstenir de penser pour être heureux ? Le bonheur réside-t-il dans l’insouciance ? Ne faut-il pas penser plutôt que si la conscience constitue un obstacle au bonheur, il s’agit non pas de réfréner sa conscience mais bel et bien de renoncer à la recherche du bonheur ? Autrement dit, si la conscience semble nous empêcher d'être heureux, elle demeure ce sans quoi nous ne sommes pas des hommes. Le bonheur est-il dans l’absence de lucidité, et donc l’ignorance, l'illusion ou la fuite, ou ne connaît-il pas une forme supérieure dans une confrontation consciente avec la réalité du monde et de sa condition ?
En premier lieu, la conscience semble être à première vue la condition du bonheur. Comment ressentir le bonheur si l’on ne peut réfléchir et concevoir cette Idée ?
Tout d’abord seuls les êtres conscients sont heureux. En effet un animal ne peut ressentir le bonheur car la conscience est de l’apanage des hommes. La conscience est le fait de connaître l’intérieur et l’extérieur de soi même, d’en appréhender l’existence et les formes. Du point de vue philosophique du moins il est impossible d’attribuer cette caractéristique aux animaux, ne pouvant éprouver le bonheur mais seulement le plaisir qui correspond à un état émotionnel agréable né spontanément d'une situation donnée, de la satisfaction d'un désir ou de la perspective de cette satisfaction. Hegel a d’ailleurs écrit “Du fait même que l’Homme sait qu’il est un animal, il cesse de l’être”. L’animal éprouve des sensations et possède des perceptions qui dépassent parfois certes les capacités humaines mais celui-ci est le seul capable d’avoir conscience de lui-même. Dans la conscience de soi, la conscience se retourne sur elle-même et prend elle-même pour son objet. Ce n’est pas d’ailleurs un hasard si l’on dit que le miroir réfléchit une image. La conscience est un miroir qui fait entrevoir à l’Homme la perspective du bonheur.
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