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Kant, Critique sur la faculté de juger

Commentaire de texte : Kant, Critique sur la faculté de juger. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  26 Novembre 2016  •  Commentaire de texte  •  444 Mots (2 Pages)  •  1 800 Vues

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Kant, Critique sur la faculté de juger

1) Qu’est-ce qui, selon Kant, est objet d’intérêt ?

Un objet qui répond à des besoins (utile ou nécessaire).

2) Pourquoi alors le jugement de beauté est-il désintéressé ?

Parce qu’on ne juge pas l’objet mais sa représentation. On ne s’appuie pas sur l’utilité ni la nécessité de l’objet. Le plaisir n’est pas concret, ni empirique.

On admet un distinction entre deux plaisir :

Le plaisir inférieur (plaisir sensible, plaisir du corps) déterminé par les caractéristiques objectives d’un objet. Ce plaisir est intéressé puisqu’il satisfait un individu en particulier et de manière relative, selon des conditions déterminées.

Le plaisir supérieur (plaisir contemplatif, plaisir de l’esprit) désintéressé car il ne satisfait pas un individu particulier, mais en droit (logiquement), il pourrait satisfaire tout individu. Il n’est pas relatif aux qualités objectives d’une chose puisqu’il est fondé sur la contemplation esthétique de la forme pure et non pas sur la considération intéressée de l’existence et des qualités d’une chose.

La plupart des plaisirs ne sont pas libres, le seul plaisir libre est le jugement esthétique. Plaisir de l’esprit on laisse l’esprit libre pour juger.

3) Quelles sont les conditions et quelle est la forme d’un jugement d’intérêt (intéressé) ?

Il faut qu’il y ait une requête, un désir ou un besoin et un objet pour y répondre.

Pour faire un jugement d’intérêt, on part d’une idée générale (les qualités objectives correspondent au concept, ex : telle voiture roule vite)

Un jugement d’intérêt est donc un jugement déductif (car il s’appuie sur un concept) qui peut être démonstratif.

4) Quelles sont les conditions et quelle est la forme d’un pur jugement de goût (jugement de beauté) ?

D’après Kant, il n’y a pas de concept de beauté (une règle normative qui ferait autorité sur toutes les expressions possibles de la beauté). Concept plus un jugement libre, et on ferait une déduction pour dire que telle ou telle œuvre est belle. Plus un jugement libre (jeu de l’esprit).

Conditions du jugement de beauté : l’objet de jugement ne doit pas être déterminant. On doit être libre dans la contemplation. L’objet peut être un tableau, un paysage, une action…

L’objet qui ne porte aucune intention : la nature. Donc le jugement le plus pur la nature.

5) En quoi Kant peut-il dire que la deuxième définition est déduite de la première ?

Kant dit d’abord qu’un objet peut être jugé beau si le jugement est fait de manière désintéressée. Si le jugement est désintéressé, il devrait être valable pour tous. Donc le beau est ce qui plaît universellement.

6) Kant parle d’un pur jugement de goût. Que serait un impur jugement de goût ?

Un

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