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Idées sur Hannah Arendt Qu'est-ce que la liberté dans La Crise de culture

Commentaire de texte : Idées sur Hannah Arendt Qu'est-ce que la liberté dans La Crise de culture. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  24 Mars 2020  •  Commentaire de texte  •  1 798 Mots (8 Pages)  •  1 560 Vues

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THESE= La liberté, alors qu’elle est l’unique essence de la politique permettant un ordre social essentiel à notre société et devrait être un fait de notre vie quotidienne, est bien trop souvent omise dans nos décisions politiques les rendant dénuées de sens.

PB : La liberté n’a pas été connue depuis toujours et dès lors n’est pas un fait quotidien puisqu’une vie politique fonctionne s’il y a une stabilité par la mise en place d’institutions directement à l’encontre de la liberté.

Contradictoire que liberté ne soit pas connu comme un problème en politique alors qu’elle semble poser autant de problèmes dans le texte.

ENJEU= comprendre en quoi alors la liberté n’est pas un fait quotidien de nos sociétés alors qu’elle est l’essence même de la politique et dès lors devenue un vrai problème pour l’ordre social

En quoi la liberté n’est pas un problème mais bien un fait de notre vie quotidienne alors qu’elle semble poser autant de problèmes en politique dont elle est la base puisqu’elle permet un ordre social.

Dit que la liberté est partout dans les questions politiques et d’actions et ainsi un fait quotidien.(rapport liberté politique, son intérêt ?)

Mais la liberté n’est pas la seule préoccupation politique, (pourquoi s’impose-t-elle face aux autres problèmes finalement ?)

Mais surtout la liberté est la seule qui permet une union de l’organisation politique / ordre social et trop souvent nous l’omettons.(

I- En quoi la liberté est partout dans la politique et notre don de l’action, comprendre leur lien, en quoi seules choses

Avant on peut penser que liberté n’a pas été de mise, plus on remonte dans le temps moins il y avait de libertés. Par exemple l’esclavage qui est l’entrave même de la liberté. Le maitre serait libre et l’esclave sans liberté. Seulement un paradoxe persiste dans cette organisation à petite échelle puisque la liberté d’une personne est directement reliée à sa volonté, ou soit sa conscience. Il est important de distinguer une liberté collective et une liberté individuelle. Une collective inclut un rapport de liberté entre plusieurs personnes, elle va directement concerner plusieurs personnes, soit externe à la conscience de chacun. Par exemple la liberté de l’esclave au sens propre est entravée par le rapport de force du maître. Il va instaurer des obligations à son esclave, ainsi les libertés de l’esclave sont limitées voire inexistantes. La liberté de faire ce qu’il veut de sa personne dans l’espace ne fait pas partie de sa vie quotidienne. A l’échelle d’un pays c’est pareil, le but de la politique est d’instaurer des institutions, d’institutionnaliser l’organisation et la gestion du peuple, ainsi de limiter, de canaliser les libertés pour conserver une sorte de contrôle sur le peuple. Ainsi la politique semble être contre la liberté. Seulement il s’agit seulement ici de liberté partagée dans l’espace, avec d’autres individus, c’est une liberté partagée, qui n’est pas propre. En effet, en réfléchissant de même sur les rapports de force concernant les libertés individuelles on considère une conception bien différente. Une liberté individuelle ne concerne que l’individu, une personne est maître de ce qu’il pense, de ce qu’il veut. La liberté individuelle est considérée seulement dès que la personne est dans la capacité de savoir ce qu’il veut, de savoir penser par lui-même. Il est autorisé à penser une liberté d’opinion et d’expression qui est propre à sa volonté et à sa conscience. Dans le cas des esclaves, c’est l’esclave qui fait la plus grande expérience du monde, qui arbore un vécu plus riche que son maître puisqu’il travaille à sa place, il fait tout à sa place. Il a l’occasion de se construire, d’apprendre des choses, d’observer le monde et ainsi de se constituer un vécu, une expérience de vie qui va lui permettre de constituer sa propre pensée, sa propre opinion. Tandis que le maître ne fait rien, les seules choses qui possèdent sont des choses matérielles. Il ne possède pas d’outil pour se construire une pensée, une opinion. Dans ce cas l’esclave est plus libre que le maître. C’est de même à l’échelle d’un pays. La politique cherche souvent à contrôler son peuple de canaliser les libertés, les opinions pour construire une union politique, une unique société et donc un ordre social. Mais la politique dans ce cas se limite aux libertés collectives alors que dans une société humaine l’individu a son importance. L’individu a une opinion, a une liberté individuelle car dans le cas d’une démocratie, c’est l’individu l’acteur de la société, il se construit une expérience et donc il pense par lui-même. Ainsi la politique montre bien une indépendance vis-à-vis de la liberté, elle permet une vie politique. Pour que la politique soit considérée de vivante le peuple doit exercer ses libertés dans la société et permettre de faire traverser une sorte d’énergie spirituelle à travers la société. La politique ne vit que s’il y a de la liberté, et de même dans nos actions. Elles n’ont de sens que s’il y a une certaine volonté derrière, un sens, une action à laquelle on a réfléchi. Seulement de nos jours, la question de la liberté pose de nombreux problèmes puisque la liberté est au cœur de toutes les préoccupations politiques et beaucoup de société vont mal. Une politique qui va mal c’est quand le peuple ne croit plus en la politique d’après Arendt dans Essai sur le totalitarisme. Par exemple la démocratie est l’union des individus, une harmonie, un ordre social conservé. Mais lorsque la population ne croit plus en le gouvernement

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