Méthodologie du commentaire

L’introduction

L’introduction, c’est vraiment une obligation, il faut toujours faire une introduction. Le 1ier jugement se passe sur l’introduction. Dans l’introduction, on dit à notre lecteur dans ce cas je vais dire de cette façon. L’introduction doit toujours être composée de 3 parties :

- Rappel du sujet, (phrase d’attaque) dans cette partie on rappel la demande qui nous donne, expliquer le contexte, s’assurer de pas faire de contre sens, hors sujet

- Expliquer notre problématique, (expliquer l’axe de notre travail). On site le sujet dans son cadre. Dans cette partie on aura besoin de définir les termes importants

- Annoncer le plan, le plan répond à la problématique (pour répondre à ma démarche je vous montrerais dans un 1ier temps …)

Il faut toujours rédiger l’introduction au brouillons car l’introduction ne permet ni faute de syntaxe, d’orthographe, de français, pas de rature non plus. L’introduction donne au lecteur l’envie de lire la suite. Le plan annonce dans l’introduction doit toujours être celui qui sera traité dans le développement. C’est cette partie qu’il faut soigner. Un brouillon doit faire 3 paragraphes du sujet.

La Conclusion

La conclusion compose les dernières lignes du paragraphe, on doit toujours conclure. En générale, la conclusion doit avoir 1, 2, 3 partie mais ya une partie ou on doit répondre à la problématique de rôle de la conclusion c’est dresser le bilan et de montrer que c’est fini. Donner son avis dans la conclusion seulement si on nous demande. Comme l’introduction pas de faute, ni de rature. Introduction et Conclusion, il faut faire preuve de pertinence. Rédiger toujours notre conclusion à l’orale.

La Phrase

La phrase c’est ce qui constitue les paragraphes. La phrase ne doit pas être longue, elle est caractériser au 1ier pas de sa longueur, nuancé par sa ponctuation et … La longueur des phrases est exprimé en mots et c’est avec peu de mots on dit beaucoup de chose à peu de gens. On adapte la longueur de la phrase à mon lecteur. Une phrase doit être lu et mémorisé du lecteur. La longueur des phrases c’est peu 15 mots pour un lecteur peu cultivé, 22 mots pour un lecteur cultivé, 29 mots pour un lecteur rapide et cultivé :

La règle c’est de pas excédé 25 à 30 phrases. Utiliser ces mots de liaison pour relier les mots pour former les phrases. Il faut construire des phrases élémentaires en utilisant l’engrenage, éviter les phrases interrogatives énumératives, et éviter l’enchâssement.

La Ponctuation

Le point : en signe fort, il signifie la fin d’une phrase et le passage d’une autre phrase avec une autre idée.

Les Points de Suspension : il y a 3 points, il précède ces signes sans espace (. - ;) on ne doit pas écrire et … ou etc.… Sa suggère et renforce notre idée.

La virgule : c’est des groupes de mots dans une phrase. Elle fait respirer la phrase.

Le Point Virgule : C’est de séparer deux propositions distinctes par la composition mais même idée des deux propositions se nuance ou se complète.

Les Guillemets : sa encadre une citation, il marche toujours par paire, il permet de citer des mots dans un autre registre de langue, il met les définitions entre guillemets.

Les 2 Points : 3 fonctions, explication, introduire une citation, annoncer une énumération.

Les Parenthèses : sa va séparer une thèse à une phrase incidente, utiliser les parenthèses en nombre restreint pour ne pas nuire le texte.

Le Tiret : peut être employé seul en nombre illimité, l’utiliser quand on rédige mais ne pas mettre beaucoup car notre lecteur peu prendre cela pour un plan détaillé. Si je veux souligner un mot il faut toujours le souligner. Les parenthèses sont atténuer alors les tirets vont souligner. Il peut séparer une phrase avec un tiret au milieu de la phrase.

L’efficacité de l’écrit comme l’oral le dépend des mots. Le mot non visualisable. Ne pas utiliser de mots compliqués pour que le lecteur ne comprenne.

(Voir schéma 1)

Les mots syntaxiques c’est ce qu’il fait les liens dans le temps. Les liens dans l’espace (dans un premier, au Nord, au Sud, à Gauche, à Droite, Etc.…)

Les liens logique, ce sont les liens de cause (puisque grâce à, sous l’effet de).

Les liens de conséquence

Les liens d’opposition (au contraire, à l’inverse, par contre)

Ce sont les mots syntaxiques qui vont alléger notre texte et permettre au lecteur de nous suivre. Il faut utiliser des mots adapté à la cible.

Les mots de la Conclusion, quand on termine un travail il faut l’utiliser pour monter notre fin.

Lun14Jan13

Aristote (-384/-322) c’est le précepteur de celui qui va devenir Alexandre le Grand, et il a fondé sa propre école à Athènes qui va s’appeler le lycée. Aristote a suivi l’enseignement de Platon et c’est avec lui qu’il apprend la rhétorique. Il apprécie la rhétorique pour son utilité, pour Platon la rhétorique n’est plus la science de la persuasion propre c’est un moyen d’argumenter à l’aide de notion commune et d’éléments de preuve rationnelle. Le but c’est de faire admettre des idées à un auditeur, la rhétorique devient une science automne dont la fonction est de communiquer les idées. Aristote va ainsi introduire la dialectique (mise en pratique du jeu rhétorique), ainsi que l’argumentation (l’art de persuader). Le principe de l’argumentation est de connaitre tout les arguments surtout ceux de la partie adverse pour bien défendre une cause. Après Aristote, la rhétorique a continué à se développer … Elle a perdu son but qui est de convaincre. Elle a ainsi perdu son but qui était de plaider et de convaincre et s’est réduit a un … Parler pour ne rien dire ... Claude LEVISTRAUSS quand il parle d’argumenter il dit que c’est un enseignement multiforme priver de toute validité méthodologique : Triste tropique. Cette critique va bien montrer le malaise de cette science qui sclérosé mais aussi les avantages de la rhétorique. On a arrêté la rhétorique dès la première mais c’est un manque, laisse un vide. Après les années 68, on a eu son retour. Les problèmes des activités social et actuelle suppose de recourir à des études

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