Les angoisses d'Anne de Guilleroy.

Les angoisses d'Anne de Guilleroy.

Introduction:

Ce texte est dans le chapitre 5 de la 2ème partie, cette 2ème partie diffère de la 1ère car elle est pessimiste dû aux événements. Anne est en deuil suite à la mort de sa mère, ce deuil modifie l'humeur d'Anne mais aussi sa vision de la vie. Dans sa lettre page 146, montre que la mort de sa mère est aussi la mort de son enfance.

2ème partie où Annette semble éclipser sa beauté. Il à plein d'éléments qui viennent tourmenter Anne. Comme Olivier, Anne à la hantise du déclin. Ils sont tous les deux rongés par cette obsession. Cette hantise est décrite dans les détails par Maupassant pour que le lecteur ce rende compte.

Cet extrait est la description et l'analyse d'une angoisse de la vieillesse. Cette angoisse est universelle.

Structure : lignes 1 à 21: l'auteur met l'accent sur le deuil. Lignes 22 à 71: sur le vieillissement : 22 à 44: analyse sur le désaccord sur une âme jeune (désir de vivre) et un corps qui vieilli. 45 à 71: hantise de son image.

Problématique : quels sont les moyens mise en oeuvre par auteur pour évoquer avec réalisme l'angoisse du vieillissement?

Axes : I. les origines de l'angoisse

II. les symptômes de l'angoisse

Axe 1:

On voit que ce texte est un texte centré sur la question psychologique qui évalue les émotions du personnage avec un point de vue omniscient pour pouvoir être au plus près du personnage, par exemple : une donné qui fait parti du passé qui est la coquetterie (lignes 2-3). La coquetterie est très important pour Anne de Guilleroy vu que c'est une mondaine, c'est son identité : ligne 2 la coquetterie est comme personnifié. « devantures des boutiques » (ligne 63-64) et « imperceptible miroir » (ligne 69) → renvoie à la coquetterie du personnage."lui" (ligne 3) renvoie à Olivier Bertin, puisque la coquetterie c'est la séduction.

La coquetterie en est aussi question pour Annette : similitudes de toilette » (ligne 9) avant Anne était contente de lui ressembler mais après la mort de sa mère ce n'est plus le cas : à la ligne 6 il y a une opposition entre eux, « avait fait triompher » (ligne 3) c'est un passé composé qui montre que tout est fini.

Anne est obligée de porté le deuil, cela devient sujet d'angoisse. Maupassant nous renseigne de façon réaliste sur les usages du 19ème siècle : on doit portait le deuil pendant 1 an « une année entière ! Un an » (ligne 15), « un an » (1ignes 16, 17, 19) → Cela donne une idée terrifier, on le voit aux phrases exclamatives et une phrase interrogative. Anne est anéantie de devoir porté 1an une tenue en noir. Le deuil est le costume noir décrit en terme péjoratif avec le mot « uniforme noir » à la ligne 4 : l'uniforme qui est une tenue fonctionnel (c'est une métaphore), « vêtements de morts » (ligne 11 avec un groupe nominal), « robe sépulcrale » (ligne 13-14, c'est une métaphore), « gaine de crêpe » qui est un tissu noir (ligne 18-19), « tenue forçat » (ligne 14 qui est une métaphore) et « emprisonnée dans ce noir » (ligne 16) qui est une métaphore filé, vêtements bride ses libertés, et « la torturaient » (ligne 12) c'est un costume de supplice.

L'authentique chagrin d'Anne est sur : ce vêtement lui rappelle le chagrin : « tout l'accablait en même temps » (ligne 1) : le deuil

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