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Le labourier, Jean-Marie Le Clézio

Commentaire de texte : Le labourier, Jean-Marie Le Clézio. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  18 Décembre 2017  •  Commentaire de texte  •  572 Mots (3 Pages)  •  558 Vues

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Maxime                                                                                      18/10/17

LE LABOURIER                                                                             PSTI2D1

        Jean-Marie Le Clézio nous met en présence d’un contexte urbain dont il souligne les carences

        Tout d’abord J-M-G Le Clézio met en avant par de simple mots le vide des rues dès la première ligne : « les rue vide » puis insiste ensuite avec cette longue phrase : »la ronde les emmènes loin dans la ville puis les ramènes lentement » il continue avec cette phrase simple : « le vide des rue contre le silence des immeuble »(l.11) qui insiste sur le silence lugubre de la ville après le vide physique de la ville l’auteur insiste sur le vide sentimental qui y règne : « un sillon dans le sol indifférent »(l.13) ; « des yeux éteint »(l.17)ou bien encore à la ligne 33 : « les visage immobiles » 

Ensuite le narrateur joue avec les négation les mots à consonance négative pour insister sur l’aveuglement et le vide de la ville comme avec cette répétition de « contre » aux lignes 11 et 12. Il dénonce l’aveuglement des adultes sur l’éducation qu’ils donnent à leurs enfants avec cette phrase « Les adultes ne savent pas » puis celle-ci en guise de confirmation « ils ne veulent pas savoir » et celles-ci en tant qu’explications « ils sont prisonnier » et la suivante « Au dehors […]il n’y a de place que pour les rêves »

Enfin le contraste entre l’intérieur s

ombre des adultes : « ils ne voit pas la lumière cruelle » ; il ne voit pas le ciel. Ils ne voient qu’un seul chose : leur télévision « [qui] font vaciller la lueur bleue sur les visages immobiles ». Selon le narrateur « le ciment a envahi leur chair, à obstruer leurs a artères » contrairement aux enfants/adolescent que « la lumière cruelle […] éblouit », aux quels « l’air chaud met des larmes aux yeux, appuie sur la bouche et sur les narines » ; « dont les cheveux rouges sont tirés par le vent », qui sont « ivre de vitesse et de l’odeur des gaz ». Malheureusement les adultes « n’entendent pas l’appel strident des vélomoteurs » qui est ici une métaphore qui désigne les enfants 

la ville reste malgré tout un lieu de vie si infime quelle soit. Malgré l’ enfermement des gens les enfant joue dans les rue ce qui dynamise l’ensemble

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