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Jean-Marie Pelt et Pierre Rabhi, L’altruisme une société de coopération ?

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Par   •  21 Mai 2017  •  Dissertation  •  762 Mots (4 Pages)  •  888 Vues

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Jean-Marie Pelt et Pierre Rabhi

L’altruisme une société de coopération ?

Actuellement, nous avons hérités des terres laissées par nos ancêtres. Depuis, avec l’industrialisation, l’agriculture intensive et j’en passe, notre monde est dans un piteus état. Certains efforts sont faits, mais majoritairement nous faisons des choses pour nous sans forcément penser aux conséquences qu’il peut y avoir.

De nos jours il faut oublier l’individualisme et s’entraider pour pouvoir avoir une vie meilleure.

Nous avons besoin de nous entraider pour pouvoir avancer. Une grande majorité des espèces vivent en société et arrivent à survivre ensembles. Les espèces animales qui luttent individuellement ont été réduite au minimum. La protection mutuelle permet d'atteindre un âge d'or et d'accumuler de l'expérience, ce développement intellectuel et l'évolution positive permettent la survie et la pérennité de l’espèce. Les espèces non sociales, au contraire, sont condamnées à s'éteindre.

Il est donc important que nous coopérions et que nous apportions du bonheur autour de nous pour pouvoir continuer à vivre et vivre heureux.

Deux grands hommes se sont engagés pour le développement de pratiques agricoles prenant en compte l'environnement et qui préservent les ressources naturelles.

Jean Marie Pelt, botaniste-écologiste a fait des constats qui ne sont pas réjouissants. La planète va mal parce que nous la maltraitons depuis trop longtemps.

Pierre Rabhi, lui est un agriculteur bio, romancier et poète français, fondateur du mouvement Colibris.

Ils évoquent tout deux comment, de manière altruiste, nous pouvons changer les choses.

Une Nature Coopérative

Dans la nature, les exemples de coopération et d’altruisme ne manquent pas. Mais, parce que nous voulons être plus fort que la nature, nous commençons seulement à comprendre ces phénomènes et la conséquence de nos actes. Jean Marie Pelt à travers ses études à découvert que le grand arbre nourrit souvent le petit arbre qui est à ses pieds par un réseau de filaments, alors que l’on pensait qu’il lui faisait surtout de l’ombre. Ou encore que

certaines herbes contiennent des radicaux libres qui détournent les herbivores de les brouter, qu’une orchidée ressemble à s’y méprendre à la femelle d’un insecte qui vient la polliniser. Sans parler des bactéries qui sont innombrables et quasi immortelles.

Depuis la disparition des dinosaures, nous devrions pourtant savoir que les plus petits s’en tirent plutôt mieux que les plus gros. Le big Bang a certes tué le Tyrannosaurus Rex, mais il a épargné nos tout petits ancêtres mammifères qui ne mesuraient à l’époque que quelques centimètres.

Des Valeurs Altruistes

Il est donc urgent de changer de culture dans notre rapport avec la nature. Et nous sommes déjà engagés dans ce changement. C’est tout l’enjeu du développement durable qui porte d’abord des valeurs.

La première, c’est la solidarité entre les générations :

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