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LA : Les grenouilles qui demandent un roi

Commentaire de texte : LA : Les grenouilles qui demandent un roi. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  28 Janvier 2017  •  Commentaire de texte  •  12 058 Mots (49 Pages)  •  1 481 Vues

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LA 1 : Les grenouilles qui demandent un roi 

La fontaine 17 ème siècle →classicisme

se sert d'animaux pour délivrer des morales « placere et docere »

I) Les grenouilles et les différents régimes évoqués par la fable

1) forme d'un discours

- dabord récit, bcp d'actions →grenouilles → personnification

- second passage au discours directe contient la morale

→bcp de pers et des actions collectives et individuelles

2) Changement de régime politique

- Fable qui évolue au rythme des différents régimes :

- démo

- monarchie

- dictature

3) récit des réactions des grenouilles

- lassitude

- protestent, réclament→entraine l'autorité monarchique

- fuient, absence de courage→champs lex de la peur = péjoratif

- instinct grégaire v 19-20 métaphore

- deviennent familières

- nouvelles revendications

→récit structuré sur le mode actions-réactions

II ) Un système d'analogie propice à la leçon politique

1) mise en scène théâtrale

- mise en scène d'animaux qui ressemblent aux hommes dans différentes situations de la vie quotidienne

- succession de scène qui font avancer et donne du rythme

- décor→marais→paris

- 5 sens →hypotypose

- variation de la longueur des vers et du temps

2) Critique des français

- Les grenouilles représente l'Homme en général mais elles apparaissent surtout françaises car râleuses

- constamment dévaluées

- top bêtes pour la démo

- trop familières pour s'adapter à un roi modéré

→ monarchie inévitable en France

3) Caractère didactique

- morale exprimée par Jupin au discours directe→arg d'autorité générale→crédible

- part plus importante que les grenouilles

- diffs enseignements :

- français jamais satisfaits profiteurs

- leçon de relativité tjs mieux tjs pire

- démo dans l'absolue meilleurs régime mais roi autoritaire nécessaire

Le chêne et le roseau

LA 2 : Extrait de pensée, fragment 230

Pascal, philosophe et homme de science du 17 ème. Connu essentiellement pour une œuvre majeure, Les Pensées. S'intéresse à la condition humaine et essaye de concilier science et religion. Considère que l'être humain vit dans une condition difficile et que le seul salut est la foi en Dieu

Quels sont les moyens utilisés par l'auteur pour expliquer la place de l'Homme dans l'univers ?

I) L'architecture du texte

1) Les deux grandes parties de ce texte

- 4 premiers paragraphes traitent de le l'immensité de l'univers de l'infiniment petit à l'infiniment grand et présentent la situation de l'homme entre les deux.

- 2 paragraphes pour l'infiniment grand et 2 pour l'infiniment petit, séparés par une question rhétorique l.24. Structure qui montre  l'Homme est coincé entre les deux infinies.

- Dans les 2 derniers ont retrouve l'enseignement qu'on peut retenir de ce qui précède

→architecture soignée rigoureuse→ressemble à une args scientifiques

 

2) L'infiniment grand et l'infiniment petit

- Dans les deux premiers paragraphes, présences champs lex de l'immensité

- voc scientifique→maîtrise du sujet

- champs lex de l'astronomie →faisait partit des maths, Pascal est dans son élément

- regard scientifique sur la nature + répétition de nature

- Puis dans les deux suivants, champs lex corps humain, champ lex planètes→ montre l'immensité de l'infiniment petit →paradox

- choix des métaphore très importante : sont opposées « cirons »=\= « colosse »→ contraste qui montre la disproportion de l'Homme

II) Les disproportions de l'homme et les objectifs de cette double évocation

1) Les deux disprortions

- La première disproportion: l'Homme face à l'infiniment grand, la nature, le cosmos, l ' espace

- Schéma qui s'appuie :

-sur la vue champs lex

-puis l'imagination

→l'auteur nous guide entre vue et imagination. L'élargissement est progressif et l'immensité dépasse nos sens

- La seconde disproportion : même mouvement mais inversé, « MAIS ». Pour montrer qu'il ya symétrie entre les deux mouvements « aussi étonnant »

- Schéma qui s'appuie :

- vue du corps champs

- A partir l.30 « conceptions » on ne peut plus qu'imaginer

- La progressivité de la plongée vers l'infiniment petit marquée par structure des phrases : mot reviennent avec régularité = aide à comprendre que l'on va vers des réalité de plus en plus petites

2) Objectifs de cette double évocation

- Pascal veut susciter l'admiration : l.39 « merveille » résume le spectacle. Champs lex de l'admiration

- mais aussi la peur avec le champs lex de la peur et de l'angoisse → on voit la force de ce que doit ressentir l lecteur.

- champs lex de l'extrême. Certains mots sont répétés  plusieurs fois

→Pour sortir de cette peur, la solution est la religion

III) L'art d'agréer

1) Une initiative familières

Pour persuader :

- Pascal veut inviter à écouter comme dans discussions entre amis « je ». Il se met à son niveau et s'adapte ( exemple facile ciron, corps humain, ciel…). L'interlocuteur connaît ces exemples = mise en confiance

- invitation tout de même déterminée « je veux » = tournure injonctives «  que » qui marque sa détermination + emploi du subjonctif qui a le même sens que l'impératif

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