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L'école des femmes, Molière

Dissertation : L'école des femmes, Molière. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  7 Mars 2019  •  Dissertation  •  3 605 Mots (15 Pages)  •  880 Vues

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Le théâtre au XVII siècle est dominé par l’esthétique du théâtre classique, qui impose aux dramaturges d’instruire et de plaire. L’instruction se fait travers la délivrance d’un message moral, et les théâtres sont toujours écrit en vers, avec un vocabulaire riche et élégant. Cependant, ce genre de théâtre est très codé notamment avec des règles très précises. Les 3 plus importantes sont la vraisemblance, la bienséance et la règle des 3 unités. La vraisemblance implique que le spectateur croit voir la réalité en regardant la pièce. La bienséance proscrit toute scène pouvant être choquante ou violente. Enfin, la règle des 3 unités : l’unité d’action, l’unité de temps et l’unité de lieu. Cette règle permet au dramaturge de rendre l’action plus vraisemblable pour le spectateur.

L’unité d’action proscrit toute intrigue secondaire afin de simplifier l’intrigue principale et de se concentrer sur le sujet central de la pièce.

L’unité de temps impose que la durée de la représentation théâtrale doit coïncider avec la durée de l’action représentée. Ainsi, à la différence des autres pièces de théâtre où les événements pouvaient s’étendre sur plusieurs jours, les pièces classiques n’excèdent pas les vingt-quatre heures. Cette règle permet d’éviter l’invraisemblance.

Enfin, l’unité de lieu contraint que l’action doive se dérouler en un lieu unique.

Le théâtre au XVII siècle est dominé par l’esthétique du théâtre classique, qui impose aux dramaturges d’instruire et de plaire. L’instruction se fait travers la délivrance d’un message moral, et les théâtres sont toujours écrit en vers, avec un vocabulaire riche et élégant. Cependant, ce genre de théâtre est très codé notamment avec des règles très précises. Les 3 plus importantes sont la vraisemblance, la bienséance et la règle des 3 unités. La vraisemblance implique que le spectateur croit voir la réalité en regardant la pièce. La bienséance proscrit toute scène pouvant être choquante ou violente. Enfin, la règle des 3 unités : l’unité d’action, l’unité de temps et l’unité de lieu. Cette règle permet au dramaturge de rendre l’action plus vraisemblable pour le spectateur.

L’unité d’action proscrit toute intrigue secondaire afin de simplifier l’intrigue principale et de se concentrer sur le sujet central de la pièce.

L’unité de temps impose que la durée de la représentation théâtrale doit coïncider avec la durée de l’action représentée. Ainsi, à la différence des autres pièces de théâtre où les événements pouvaient s’étendre sur plusieurs jours, les pièces classiques n’excèdent pas les vingt-quatre heures. Cette règle permet d’éviter l’invraisemblance.

Enfin, l’unité de lieu contraint que l’action doive se dérouler en un lieu unique.

Le théâtre au XVII siècle est dominé par l’esthétique du théâtre classique, qui impose aux dramaturges d’instruire et de plaire. L’instruction se fait travers la délivrance d’un message moral, et les théâtres sont toujours écrit en vers, avec un vocabulaire riche et élégant. Cependant, ce genre de théâtre est très codé notamment avec des règles très précises. Les 3 plus importantes sont la vraisemblance, la bienséance et la règle des 3 unités. La vraisemblance implique que le spectateur croit voir la réalité en regardant la pièce. La bienséance proscrit toute scène pouvant être choquante ou violente. Enfin, la règle des 3 unités : l’unité d’action, l’unité de temps et l’unité de lieu. Cette règle permet au dramaturge de rendre l’action plus vraisemblable pour le spectateur.

L’unité d’action proscrit toute intrigue secondaire afin de simplifier l’intrigue principale et de se concentrer sur le sujet central de la pièce.

L’unité de temps impose que la durée de la représentation théâtrale doit coïncider avec la durée de l’action représentée. Ainsi, à la différence des autres pièces de théâtre où les événements pouvaient s’étendre sur plusieurs jours, les pièces classiques n’excèdent pas les vingt-quatre heures. Cette règle permet d’éviter l’invraisemblance.

Enfin, l’unité de lieu contraint que l’action doive se dérouler en un lieu unique.

Le théâtre au XVII siècle est dominé par l’esthétique du théâtre classique, qui impose aux dramaturges d’instruire et de plaire. L’instruction se fait travers la délivrance d’un message moral, et les théâtres sont toujours écrit en vers, avec un vocabulaire riche et élégant. Cependant, ce genre de théâtre est très codé notamment avec des règles très précises. Les 3 plus importantes sont la vraisemblance, la bienséance et la règle des 3 unités. La vraisemblance implique que le spectateur croit voir la réalité en regardant la pièce. La bienséance proscrit toute scène pouvant être choquante ou violente. Enfin, la règle des 3 unités : l’unité d’action, l’unité de temps et l’unité de lieu. Cette règle permet au dramaturge de rendre l’action plus vraisemblable pour le spectateur.

L’unité d’action proscrit toute intrigue secondaire afin de simplifier l’intrigue principale et de se concentrer sur le sujet central de la pièce.

L’unité de temps impose que la durée de la représentation théâtrale doit coïncider avec la durée de l’action représentée. Ainsi, à la différence des autres pièces de théâtre où les événements pouvaient s’étendre sur plusieurs jours, les pièces classiques n’excèdent pas les vingt-quatre heures. Cette règle permet d’éviter l’invraisemblance.

Enfin, l’unité de lieu contraint que l’action doive se dérouler en un lieu unique.

Le théâtre au XVII siècle est dominé par l’esthétique du théâtre classique, qui impose aux dramaturges d’instruire et de plaire. L’instruction se fait travers la délivrance d’un message moral, et les théâtres sont toujours écrit en vers, avec un vocabulaire riche et élégant. Cependant, ce genre de théâtre est très codé notamment avec des règles très précises. Les 3 plus importantes sont la vraisemblance, la bienséance et la règle des 3 unités. La vraisemblance implique que le spectateur croit voir la réalité en regardant la pièce. La bienséance proscrit toute scène pouvant être choquante ou violente. Enfin, la règle des 3 unités : l’unité d’action, l’unité de temps et l’unité de lieu. Cette règle permet au dramaturge de rendre l’action plus vraisemblable pour le spectateur.

L’unité d’action proscrit

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