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Incipit de la Peste de Camus

Commentaire de texte : Incipit de la Peste de Camus. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  29 Mai 2018  •  Commentaire de texte  •  2 033 Mots (9 Pages)  •  1 168 Vues

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(Présent d'actualité –-> présent d'énonciation = vérité générale

présent de narration subtitué au passé simple pour rendre les actions plus vivante  )

Français

Incipit de la Peste

En  quoi cet extrait est il un incipit annoçant un présage  funeste ? 

-Cadre spatial.. :L'histoire ce passe sur une ville appelé Oran , cette ville est bien réelle et est la 2eme ville d'Algérie et une des plus importante du Magreb. C'est une ville portuaire de la méditeranné au N-O de l'Algérie. Elle subira la domination arabe puis espagnol et enfin française. C'est en 1831 que la ville/pays devient une colonie française. Oran est situé à 432km de la capital d'Alge.

-Cadre temporel... :indication flou l2 « 194... » Cette indication reste imprécise et est en contradiction avec le terme « chronique » l1. En effet une chronique doit en général situer l'histoire précisement dans le temps, etre objective, neutre. La chronologie dans cette extrait suit le déroulement des 4 saisons : du primptemps à l'hiver. Ces saisons représentent la trame temporel du réçit, qui commence le 16 avril ….. et se termine un matin de février.

La peste s'ouvre sur une référence explicite au type d'écriture romanesque : une chronique

-narrateur –-> personnage il est à l'intérieur de l'histoire comme l'indique les adj possessifs : « notre petite ville »l21    « nos concitoyen »ll24 « on y meurt » + déterminant possessifs : nos;notre /on

+présence du narrateur personnage , le docteur Rieux par son ironie grace à l'emploie d'adverde tels que : « naturellement » ; « raisonablements » ; « beaucoup » …

-Personnages : Sont cités les femmes, les hommes, des jeunes, des vieux, les vendeurs, boulomanes... =classe de personnes. Aucune présence d'identification précise de pers.

-Thème : Description d'une ville singulière, Oran

-Discours descriptif dominant  l'auteur à recours au présent de l'indicatif  (narratif) pour décrire la ville et la vie des habitant d'Oran.

-L'incipit à pour fonction de présenter le cadre spatio-temporelle ; les pers ; l'intrigue. Cet incipit ce charge  d'aiguiser la curiosité du lecteur.

 

Termes désignant la ville : Oran, une ville ordinaire, une préfecture française, notre petite ville.

 Ville déroutante sans différence notoire de saison. Ville en manque : sans pigeon, sans jardin … négation appuiyant ce manque « ni battement d'aile, ni froissement de feuille ... » décrite comme une ville presue ordinaire , il ressort de cette présentation que la ville d'oran est défini par le manque , la privation et l'abscence par de nombreuses négations «  ni, sans, ne, seulement pas, ne plus »=péjoratif

Quel est la figure de style utilisé lors de la répétition de sans et la négation ni ? Comment se caractérise l'été, l'automne et le primptemps ?;

C'est l'Anaphore = répétition de mots  ( ni, sans ) ; / été= chaleur insupportable avec des volets fermé pour garder de la fraicheur ; l'automne ; exés d'eau, pluie entrainant de la boue ; Quand au primptemps,  il garde un aspect commercial,  par l'emplois de « petits vendeurs » les fleurs ne poussent pas à Oran. Ville sans couleurs

La ville semble ne pas présenter de point positifs, elle est loin d'être acceuillante.

Cette description donne l'impression que la ville d'Oran repousse la vie ( ni battement d'aile, ni froissement ; sans pigeons, sans jardin …) Oran est monochrome et seul le climat permet de voir l'évolution des saisons.

Quel est  l'occupation principal des oranais ? Quels sont les termes qui indiques que la vie des habitants d'oran est faite d'ennuie et d'habitude ? Rappelez la priorité des oranais.La narrateur adère il à ce mode de vie ? Qu'indique l'utilisation et la répétition du pronom indéfinis 'on ' ?

Leur priorité est le travail centré sur le commerce, par l'expression « faire des affaires » .

 L'argent est l'ultime finalitée de leur existence comme le montre l'adverbe de temps  « toujours pour s'enrichir ».  

-l'ennuie et lhabitude sont 2 termes largement représenté dans le dernier paragraphe. Expression  «  on s't ennuie » ; « habitudes » lontrer le qutidiens «  à heure fixe » + « se promène sur le même boulevard » + «  ils se mettent à leur baco, »

Camus insiste sur le caractère routinier. La vie des oranais pourait apparaître comme bien remplis par l'expression «  du meme air frénétique et abscent »  mais elle est en réalité faite d'ennuie et d'habitude.

Le pronom ind « on » définis aussi les hab c'est une généralisation qui permet de montrer que les habitants sont pris dans leurs enssemble, ce sont eux qui vont vivre les événement tragique qui vont souffrir et finir par le surmonter = histoire collective.

I-Un incipit singulier....

a- Par son cadre spatio-temporel...

b-Par une description de la ville...

c-Par une description du quotidiens des Oranais.

11-Un narrateur témoin des événements...

a-Par le statut du narrateur..

b- Par un narrateur qui se montre critique

c-Par une représentation conforme des conditions collectives humaines.

Commentaire analytique

La peste  écrit en 1947 de Camus fait partie de ces romans marqués par cette guerre et par les sentiments nés de l'aburdité,  ce sentiment qui surgit quand on s'aperçoit que l'environnement que l'on croit solide, immuable, peut s'écrouler comme un simple jeu de cartes et que l'on ressent de façon trop aigue cette vérité toute simple que les hommes meurent et ne sont pas heureux. Dans cet incipit, un narrateur  anonyme  décrit Oran, décors dans lequel l'intrigue entière se déroulera ….

En quoi cette extrait est un incipt annonciateur d'un présage funeste ?

Pour cela, nous décortiquerons l'extrait pour en définir sa singularité ainsi que le rôle particulier  de témoin qu'occupe le narrateur.

      

              La particularité de cet incipit s'exprime par différents procédés. Tout d'abord, l'histoire se déroule à Oran préfecture française d'Algérie, une ville bien réelle  faisant partie des plus importantes du Magreb.  Ensuite, nous avons à faire à un  cadre temporel quant à lui très flou : l2 « 194... » Cette indication reste imprécise et est en contradiction avec le terme « chronique » l1. En effet une chronique doit en général situer l'histoire précisement dans le temps, etre objective et neutre. La chronologie dans cette extrait suit le déroulement des 4 saisons : du primptemps à l'hiver. Ces saisons représentent la trame temporel du réçit.

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