Francais liaisons dangereuses

mettra par la suite de devenir une femme avec de l'assurance et donc de réussir à dominer et gouverner les autres.

3)

Ce discours traduit parfaitement l'orgueil de la Marquise de Merteuil qui se vante tout au long de cet extrait de la puissance de son éloquence et de sa rapidité à maitriser cet atout. Elle met aussi en avant qu'elle ne sait pas fait aider et qu'elle à réussit à développer son intelligence et contrôler ses sentiments « seule ». Elle dit même avoir de nombreux éléments que n'ont pas les hommes même les plus doués. Ceci est une vraie revanche pour la Marquise car à l'époque, la société ne se préoccupe pas des femmes et les hommes ont beaucoup plus d'importance quand il s'agit sciences, de caractère et de conviction.

4)

Pour atteindre à la maitrise de soi, le personnage utilise un manière scientifique. En effet, elle dit qu'elle a « su en profiter pour observer » dans un premier temps, puis ensuite elle applique ce qu'elle a pu voir et noter : « j'essayai guider les miens à mon tour ». On reconnaît donc bien la démarche scientifique de l'observation puis de l'expérimentation. Cependant ce qu'elle observe ne reste que des hypothèses, en effet« l'expérience [lui] a pourtant appris à ne pas [se] fier entièrement ».

5)

On voit bien que la Marquise a le goût de l'étude et qu'elle cherche à « s'instruire ». Ce goût provient de sa volonté d'ascension dans la société car elle sait que sans connaissances et sans référence elle ne pourra pas espérer à de grandes ambitions. Elle précise aussi que « la crainte de l'ennui fit revenir le goût de l'étude », cela montre bien que pour elle les études sont aussi une source de divertissement et de plaisir mais aussi un désir personnel. Sa volonté principale reste néanmoins de prouver aux homme que les femmes sont aussi capable et ont la volonté de s'instruire.

À la ligne 2, observer veut simplement dire qu'elle examine attentivement quelqu'un afin de l'analyser tandis qu'à la ligne 21 il signifie qu'elle fait attention à se conformer aux règles de littérature pour avoir un discours plus fort.

6)

Dans cette lettre, la Marquise de Merteuil apparaît bien être rattaché aux mouvement des lumières, notamment quand elle explique sa démarche scientifique et aussi en combattant les inégalités homme-femme. Néanmoins on voit bien qu'elle ne partage pas et ne diffuse pas ses idées, on peut pour cela cité le « je » qu'elle utilise en permanence alors qu'un homme des lumières utiliserait le pronom personnel « on ». De plus les idées qu'elle défends ne sont pas pour la cause commune mais seulement en son intérêt. C'est bien la qu'on voit que la marquise n'est pas une vraie femme des lumières.

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