Dissertation sur le dilemme moral
Dissertation : Dissertation sur le dilemme moral. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar Marinapku • 28 Mai 2016 • Dissertation • 765 Mots (4 Pages) • 1 685 Vues
Remarques du professeur : Ton développement de troisième partie est intéressant mais il ne faut surtout pas dire que « tout est relatif » (« chacun a ses raisons »). Ce que l’on te demande de faire c’est justement de ne pas en rester à ce constat mais de dépasser l’opposition entre les « pour » et les « contre ». Attention : « humour » est un mot masculin (on dit « un humour satirique » par exemple). Tu as un point de vue très juste mais qu’il faut formuler de manière moins personnelle. Ainsi, la phrase « rire de tout, c’est aussi mépriser tout » peut faire un bon début de troisième partie. Par exemple, « Rire de tout et tout le temps, c’est aussi faire preuve d’indifférence face à la sensibilité et aux convictions d’autrui. S’il faut être capable de faire preuve de sens de l’humour, il faut aussi pouvoir s’arrêter de rire et écouter les points de vue des autres ». Attention surtout aux fautes d’orthographe et aux formulations parfois trop compliquées (ce qui entraine quelques erreurs). Privilégie des formules simples et des phrases plus courtes. Une remarque en particulier : « l’humour » est un mot masculin (on dit par exemple « un humour satirique »). |
L’attaque de Charlie Hebdo a surpris tout le monde et soulève la question suivante fait commencer à réfléchir à ces questions : peut-on rire de tout? La liberté d’expressions a-t-elle des limites? Cela a suicité un débat violent (virulent) dans la société.
Certains croient que l’on peut rire de tout. Pour eux, le droit de rire de tout signifie la liberté d’expression, un droit important pour les hommes. Il n’est pas niable est indéniable que la liberté d’exprimer des opinions doive s’appliquer à tous, y compris à nos adversaires, lequel[a] (?) implique de tolérer les gens dont on juge qu’ils ont tort ou qu’ils font un mauvais usage de leur liberté. On a le droit d’être égoïste, malhonnête, bête ou méchant, tant qu’on n’agresse pas autrui physiquement.
D’autres gens s’opposent à ce qu’on puisse rire de tout. Selon eux, il n’est pas question de la liberté des paroles (cela ne relève pas d’une question de liberté de parole). Il s’agit pourtant (plutôt) d’un phénomène social : le rire dépend de chaque individu et de chaque société. De Du fait des différences individuelles, culturelles ou sociales, on ne rit pas de la même manière et ni des mêmes choses. Par exemple, quand on se moque de vous, est-ce que vous trouvez-vous aussi cela drôle aussi? Pouvez-vous rire de vous-même? Tout ne fait pas rire, donc on ne peut pas rire de tout.
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