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Dissertation sur Montesquieu

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Par   •  24 Novembre 2019  •  Dissertation  •  2 031 Mots (9 Pages)  •  1 934 Vues

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Dissertation – Sujet 1

Montesquieu était un philosophe et écrivain français du XVIIIème siècle en France. Il avait beaucoup voyagé et écrit dans son œuvre « l’esprit des lois » en 1748 « Aujourd'hui nous recevons trois éducations différentes ou contraires : celles de nos pères, celles de nos maîtres, celle du monde. Ce qu'on nous dit dans la dernière renverse toutes les idées des premières.». Etonnamment, cette citation a toujours d’actualité. Nous allons donc discuter cette citation dans son actualité d’aujourd’hui. Dans la citation de Montesquieu on a l’idée de « trois éducations différentes ou contraires ». Celles sont l’éducation de « nos pères », « nos maîtres » et « du monde ». Ce qu’on vient d’apprendre « du monde, […] renverse les idées » des deux autres. Nous allons commencer par des brèves définitions des idées principaux mentionnés dans la citation. Ensuite, nous étudions les parallèles et différences entre l’éducation de « nos pères » et de « nos maîtres » concernant leur dépendances et inégalités. Puis, nous verrons la différence entre l’éducation des parents et de celle de la vie d’un point vue morale et éthique. Nous continuerons avec une discussion du savoir transmit par la vie et par l’école et de la relativité des faits enseignés. En outre, nous discuterons le complément des trois systèmes par l’exemple de la hiérarchie. Pour terminer nous parlerons de l’renversement des idées de l’éducation des parents et de l’éducation des maîtres par les idées de l’éducation du « monde ».

Tout d’abord, il faut définir les quatre concepts. La formation d’un individu dans tel ou tel domaine d’activité et l’ensemble des connaissances intellectuelles, culturelles et morales acquises dans ce domaine forment ce qu’on entend par l’ « éducation ».

Puis, l’éducation de « nos pères » se réfère à nos parents. Montesquieu vivait dans une société patriarcale et parlait donc que des hommes. Par contre, aujourd’hui nous essayons d’adapter l’idée d’une société égalitaire et donc entendons par l’éducation de « nos pères » l’éducation de nos parents (les mères et pères inclus).Par ailleurs, nous entendons sous le concept de l’éducation de « nos maîtres » (par exemple les professeurs ou patrons) l’école, l’apprentissage et la formation venant du travail. Enfin l’éducation qui vient « du monde » fait référence aux expériences qui s’accumulent pendant la vie des individus. Nous apprenons de nos vies et pouvons tirer des leçons de celle-ci. Elles sont liées à la culture, les traditions et la société de notre pays. À l’époque de Montesquieu, on commençait de plus en plus à voyager, donc le voyage fait aussi partie d’enseignement « du monde », vue qu’on apprend grâce à la confrontation avec autres cultures et traditions.

Ensuite, nous allons discuter d’abord des parallèles et des différences entre l’éducation de nos parents et de l’éducation de « nos maîtres ». Ils ont en commun, qu’ils nous outillent avec nos valeurs principales de morale et d’éthique. Dans la famille, on se concentre plutôt sur les valeurs comme l’honnêteté, la communication, point de vue politique et opinions personnelles. Par contre, à l’école, nous apprenons les valeurs du zèle, l’importance du travail et du statut dans un microcosme. Par exemple chez ma famille, on porte beaucoup d’importance à l’ honnêteté et à essayer de faire le meilleur possible. Ces valeurs étaient confirmées par l’éducation primaire et secondaire. Le but des deux est de nous préparer à la vie en nous donnant des valeurs fondamentales.

Cependant, l’éducation des « maîtres » n’est pas unilatérale. Elle essaye de donner un horizon plus large aux étudiants et de distribuer un certain savoir général. Mais le programme d’étude dépend des traditions et coutumes du pays. C’est aussi le cas pour l’éducation des « pères ». Si la famille appartient à d’autres cultures, elle va poursuivre certaines traditions et rituels. L’école primaire peut être le premier endroit où on est confronté avec d’autres cultures. Il faut les intégrer et les respecter, mais en même temps on attend une tolérance des deux côtés. Si par exemple une fille d’une famille immigrée, stricte musulmane veut couvrir sa tête avec un foulard, l’éduction devrait respecter cela. Mais si ses parents ne veulent pas qu’elle participe aux cours de natation, il faut que les parents fassent des efforts pour également tolérer la culture et les traditions de l’école et de son pays. Donc les deux premières éducations dépendent de la culture et des traditions du pays d’origine des personnes. Mais les personnes (parents et professeurs) peuvent s’influencer.

Pourtant, il y a une différence dans la dépendance. L’éducation de la famille dépend beaucoup des parents, de leur culture, leurs intérêts, leur foi, leur fortune et leur disponibilité. Elle est donc très variée et individuelle. En contraste, l’éducation des « maîtres » est standardisée par l’Etat. Tous les élèves d’un pays ont plus ou moins le même curriculum et l’Etat essaye de donner à tous les mêmes chances. Dans ce point de vue, l’éducation souffre des inégalités déjà installées au sein des traditions (discrimination d’un sexe ou d’une race). Mais elles peuvent aussi venir de la famille. Par exemple, la privation de biens matériels, des moyens financiers limités, ou encore un manque de culture (c’est-à-dire posséder un vocabulaire et langage mois élaboré que d’ autres, ainsi qu’un savoir général limité). En même temps, il y a une dépendance aux professeurs, qui peuvent organiser leurs cours de la façon qu’ils préfèrent. Donc ils peuvent gérer ces inégalités jusqu’à un certain point et supporter leurs élèves au maximum. Par exemple, si on a fait beaucoup des voyages culturels, où on a visités pleins des musées et appris les cultures et histoires des différents sociétés. Ceci donne un certain avantage à l’école. Comparé avec des copains qui n’avaient pas cette opportunité et donc des fois, n’avaient pas la même connaissance, tolérances et ouverture pour certains sujets. L’éducation des « maîtres » dépend donc plutôt de l’état et leurs professeurs pendant que l’éducation de la maison dépend beaucoup des parents.

Ensuite, si nous comparons l’éducation de la maison avec celle « du monde », on

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