Deux journalistes, l'enfant et Jaime Brena, discutent sur le journalisme à Buenos Aires en 2000.

Deux journalistes, l'enfant et Jaime Brena, discutent sur le journalisme à Buenos Aires en 2000.

? Et vous ne vous obsèdent, Brena?

? Pour moi, ce qui me obsède? Parce que je ne sais pas, il y a de nombreuses années que je voulais ressembler à Rodolfo Walsh, vous savez?, Il a été mon modèle. Aujourd'hui, dans ce pays, personne ne peut sembler Rodolfo Walsh. ?Pourquoi? Porue Walsh, avant journaliste, écrivain avant, avant toute autre maison était un révolutionnaire, et le journalisme et n'a rien à voir avec la révolution. Nous aburguesamos, kid. Avec certaines limites font ce que nous demandons, nous facturons un salaire pour joindre les deux bouts. Et il y a quelques caraduras posant comme risqué, car ils critiquent le président ou les médias. Ou le Président et les médias. Aujourd'hui, les prêtres du journalisme ou des «intellectuels» entre guillemets parlent béatement à leur bureau, souvent installés dans leurs maisons ou où ils sont en vacances. Et ils croient importants parce qu'ils sont "faiseurs d'opinion". Beaucoup d'entre eux donnent comme des vérités irréfutables qui est plus que sa propre opinion. Ou que d'autres pour lesquels ils travaillent. Quand un journaliste quitte l'information pour donner un avis, il est juste honnête, si précise ce que vous faites. Vous pouvez dire, mais vous ne pouvez pas passer d'examen par l'information. ? Je suis allé à l'enfer, gamin? Non, ne répond pas à la Pibe de Polociales. Si vous n'êtes pas d'accord avec la ligne éditoriale du Diaro pour laquelle vous travaillez, qu'est-ce que vous avez à faire?,? écrire dans la même ligne ou démissionner ?, est-il place pour une troisième option? Je ne sais pas. Convicion qui répond à ces questions se trouvent.

Je félicite Yanaque, entrepreneur Transport Narihualá à Piura (Pérou) reçoit des menaces de chantage.

L'avis, payer de leur poche, féliciter publique Yanaque dans le temps l'a rendu célèbre dans la soirée pour le matin autour de Piura. Les gens l'ont arrêté dans la rue pour le féliciter, montrer la solidarité, demander des autographes et surtout vous conseillez d'être prudent. "Qu'est-ce que vous avez fait est téméraire, Don féliciter Che Gua Maintenant, si votre vie est en danger réel."

Rien de tout cela gonflé et effrayer le transporteur. Que le plus impressionné lui était d'avertir le changement le petit avis dans le journal de premier plan dans Piura causé le sergent Lituma et surtout le capitaine Silva. A partir de maintenant, son attitude était moins arrogant. Le même après-midi, le jour où l'avis est venu plusieurs policiers sont apparus à son domicile à Arequipa Street, amical et flatteur. Ils sont venus pour exprimer son inquiétude a propos de ce qui se passait pour, monsieur Yanaque. ? Et maintenant démangeait les faire voler à la paire de flics? Ils semblaient véritablement ressentis par sa situation et désireux d'attraper chantage.

Enfin, le capitaine Silva tira de sa poche coupe préavis

- Vous êtes allé fou ce détachement, je félicite Don dit, en plaisantant à moitié et à moitié sérieux. § vous ai-je pas arrivé à cet échec, vous pouvez un tirage

...