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Commentaire texte le père goriot

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Par   •  15 Janvier 2019  •  Commentaire de texte  •  1 572 Mots (7 Pages)  •  583 Vues

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Dans ce corpus, nous verrons quatre extraits de récits du XIXème siècle, un extrait de Carmen écrit par Prosper Mérimée en 1845, un extrait de Les Diaboliques de J-A Barbey Aurevilly en 1874, un extrait de Nana d’Émile Zola en 1880 et un extrait de Les Yeux d’eau écrit par Rémy de Gourmont. Prosper Mérimée (1803-1870) né à Paris et mort à Cannes. C’est un écrivain, historien et archéologue. Il écrivit des nouvelles ainsi que des romans et des contes. J-A Barbey Aurevilly (1808-1889) français né à Saint-Sauveur-le-Vicomte en Normandie et mort à Paris. Son surnom fut « Connétable des lettres » puisse qu’il aimait animer la littérature française de ce siècle. C’est un romancier, nouvelliste, essayiste, poète, critique littéraire et journaliste. Émile Zola (1840-1902) né et mort à Paris, il fut le chef de file du mouvement naturaliste (1865-1890). Il était le premier romancier français les plus populaires, les publiés et traduits dans le monde. Ils furent connus pour le cinéma et pour la télévision. Finalement, Rémy de Gourmont (1858-1915) né à Bazoches-au-Houlme. Il est écrivain et un critique d’art, proche des symbolistes. Il écrivit des poèmes, des romans, des contes, du théâtre, des essais et chroniques. Nous allons voir quelles représentations de la séduction féminine les textes du corpus proposent-ils.

Dans le premier extrait, le narrateur nous décrit la rencontre de Carmen. Elle semble si importante comme un chrétien croit en Dieu puisse que le narrateur nous déclare « C’était un vendredi, et je ne l’oublierai jamais » (l. 2). Cela signifie qu’elle se souviendra toujours de ce jour. Elle est déifiée grâce à sa somptueuse apparence. Sa tenue vestimentaire était aux couleurs provocante. Elle porte « un jupon fort court qui laissait voir des bas de soie blancs avec plus d’un trou » (l. 4 – 5), « des souliers mignons de maroquin rouge » (l. 5), « rubans couleur de feu » (l. 5), « écartait sa mantille afin de montrer ses épaules » (l. 6), « une fleur de cassie » (l. 7). De plus, « elle s’avançait en se balançant sur ses hanches comme une pouliche du haras de Cordoue » (l. 7-8). On la traita comme cela puisse que Robert de Tressignies n’aimant pas le luxe, lui donna une métaphore animal. Dans « mon pays » (l. 8) tout le monde aurait regardé d’une bonne manière, tandis qu’à Séville, ce n’est pas le cas, elle est plus douteuse avec « les yeux en coulisse » (l. 10) et les paroles des autres paysans. Elle fut enveloppée par la nature, les chats. Finalement, Carmen, ayant une fleur de cassie dans sa bouche la jeta à terre et lorsqu’elle fut partit, immobile, le narrateur la pris et se dit « Première sottise » (l. 29). Nous pouvons donc observer que dans cet extrait de texte, elle est extrêmement bien séduite grâce à tous les compliments que nous lui donnons.

Dans le second extrait, Tressignies commence à voir une jeune-femme. Il la décrivit pas à pas. La comparaison « le coupait comme un faux » (l. 2) nous indique que la femme se baladait sur le boulevard en l’usant de plus en plus. Le groupe de mot « plus fière que la reine de Saba du Tintoret lui-même » (l. 3) elle se compare à une reine de Saba (très belle reine douée d’une grande sagesse ou bien comme une attirante magicienne) qui nous indique comme la femme se trouve la plus belle au monde. Puis, il y eu une seconde comparaison « les plis glacés et luisants comme un appel aux armes » (l. 5) peut nous dire sa puissance. Elle était habillée d’une robe de « satin safran, aux tons d’or » (l. 3 – 4), d’une « magnifique châle turc »( l. 6) et la « plume rouge de son manteau blanc splendide de mauvais goût lui vibrait jusque sur l’épaule » (l. 7 – 8). Elle était étrange car elle était sans cesse « Exagérément cambrée » (l. 5). Tandis que l’auteur la rend négative grâce à cette expression « et de son chapeau blanc – splendide de mauvais goût » (l. 7). Puis, elle rencontra le narrateur et eu comme mots divins : « surprise » (l. 12), « point lumineux » (l. 17), « lui campa ses yeux dans les yeux » (l. 20), « aveuglé de la magnificence de ce visage empâté de vermillon » (l. 21). L’extrait se termine avec une comparaison mais également une personnification « d’un brun doré comme les ailes de certains insectes » (l. 21 – 22). Nous pouvons observer le narrateur

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