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Commentaire de l'acte III, scène 3, Tartuffe

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Par   •  8 Avril 2021  •  Commentaire de texte  •  1 793 Mots (8 Pages)  •  1 920 Vues

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Maëlane Mutey Seconde GT2

Commentarre de texte ( L'acte 3 , scène 3 Tartuffe)

          I- Un discours amoureux

 1) Déclaration d'amour en vers Elmire

   . Dans la première partie scène 3 de l'acte 3, Tartuffe a profiter de sa relation avec Elmire pour lui avouer son amour («L'aveu que je vous fais») (vers 971). En effet Tartuffe a profiter de cette proximité pour verser:(«Mes yeux et mes soupirs vous l'ont dit mille fois; Et pour mieux m'expliquer j'emploie ici la voix») (vers 980). La confession prend la forme d'une confession:(«Je le confesse») ( vers 953). En utilisant ce terme religieux, Tartuffe a habillement insisté sur le concept d'une relation intime d’intimité et de confiance mutuelle qu'il entendait avec Elmire.

2) Utilisation d'un langage précieux

  . Tartuffe  exprime ses sentiments en mêlant amour et langage religieux dans on discours. Il utilise un vocabulaire précieux, comme l'amour courtois, plaçant les femmes sur le piédestal, comme une déesse adorée par son amant. On observe le champ lexical de l'amour («l'amour,charmes,cœurs,transportes, ardeur, aimable,passions»)( vers 934 à 950) qui est mêle à celui de la religion («éternelles,temporelles,le ciel, salut,confesse,offrande,béatitude,ange,célestes,jeune,prières, dévotion,autel etc») ( vers 933 à 976). Elmire a été absorbée par une déesse («j'aurais toujours pour vous (…) Une dévotion à nulle autre pareille»)( vers 985 et 986), Tartuffe a utilisé («offrande») pour rendre hommage à son cœur. Par conséquence, dans les deux tirades de Tartuffe, on peut comprendre la modification, d'Elmire à travers plusieurs hyperboles («parfaites créature,vos célestes appâts») ( vers 941,,)accentuées sur un ton exagéré («Ô») (« ô beauté toute aimable») ( vers 949 et985). On peut observer un chiasme (vers 937 et 938) («ses attraits réfléchis brillent dans vos pareilles; Mais il étale en vous ses plus rares merveilles»)  ( vers 936 et 937) vise à mettre Elmire au-dessus des autres femmes, car Dieu lui confère la plus grande beauté. En tant qu'amant précieux, Tartuffe se rabaisse (« votre esclaves indigne,vains efforts,néant,mon infirmité,de mon intérieur vous fûtes souveraines») ( vers 956 à 982). Dans les vers956 à 960, il est laisse à la merci d'Elmire. On rencontre plusieurs figure de styles comme l’antithèse et le parallélisme («heureux,si vous voulez,malheureux s'ils vous plaît») ( vers 960) insistent sur le lien entre la mentalité de tartuffe et la volonté d'Elmire, puis il y a une accumulation (« mon espoirs, mon bien, ma quiétude») ( vers  957) pour que le bonheur de Tartuffe soit entre les mains d'Elmire, puis il y a aussi une anaphorique ( en vous; de vous») ( vers 957 et 958) qui souligne le pouvoir d'Elmire.

  1. L’échec amoureux par la réaction d' Elmire

     .  A cette déclaration solennelle et emphatique, Elmire a répondue avec ironie, ce qui a immédiatement conduit Tartuffe à parler du rôle du dévot qui s'est consacre depuis qu'il est entré dans la famille. La déclaration d' Elmire («la déclaration est tout a fait galante») ( vers 961) utilisant le terme («galant») fournit une explication pragmatique du discours de Tartuffe. Sa réponse a fait la comédie plus tôt, le réalisateur de la conscience courtise la femme de son élève. Elle ne pouvait s’empêcher de dire en plaisantant que son attitude était contraire à l'image de dévot («un peu bien surprenante») ( vers 962). Le publique  savait depuis longtemps qu'Elmire n’était pas dupe de la fausse piété de Tartuffe. Elle a utilisé le double langage de Tartuffe avec lui («un dévot comme vous») ( vers 965) pour l'enfermer dans une personne , l’empêchant ainsi de continuer à parler.

    II- La religion, une arme rhétorique

  1. Un amour légitime

 Dans une seconde partie, cependant Tartuffe est un orateur talentueux qui, en plus de son esthétique pieuse, a également utilisé la religion comme une arme rhétorique pour convaincre Elmire. Tartuffe a légitimé sa passion pour Elmire en faisant croire à la jeune femme qu'il l'aimait et qu'il compare notre amour de l'esprit et du temps, adjectifs rimes («éternelles , temporelle») ( vers) afin de mettre subtilement les deux types d'amours au même niveau. Ensuite, il spécifie l'expression («nous») de touts les personnes et utilisé la représentation générale de la vérité («nos sens facilement peuvent être charmes») ( vers 935). L'utilisation de ce pronom généralisé peut lui faire un masque facial à l'avance. Ensuite,nous observons la transition subtile du sacre à l'humain. Dieu accorde la beauté aux femmes («vos pareilles») ( vers 937), mais plus spécifiquement, elle est placée en Elmire («mais il étale en vous ses plus rares merveille») ( vers 938). Par conséquent, la beauté de Elmire est l’œuvre de Dieu, il aime («parfaite créature») ( vers 941)Dieu. Enfin, Tartuffe utilise des pronoms personnels («je») , (« je n'ai plus vous voir»)  (vers ) glisse du général au spéciale. Pour finir, la conséquence a permis à Tartuffe de légitimer ses sentiments. Parce qu'il aime une («parfaite créature) de Dieu. L’innocente et modale( «peut») signifié que son amour n'est pas un pêché.

  1. Tartuffe une victime

. Tartuffe a prétendue être une victime innocente. Il  expliqua d'abord qu'il avait essayé de résister à l'attirance pour Elmire. Par conséquence, il a utilise des mots négatif lies à la suspicion de se sentir inspire par le diable comme la périphrase («noir esprit») (vers 946), («j’appréhendais,fui,surprise adroite,obstacle à faire mon salut») (vers 945à948). Mais c'est déclarer immédiatement qu'il a tort, ce marque la connexion logique de l'oppose(«mais») ( vers 949). Son amour n’est pas mauvais, il doit être innocent: («mais enfin je connus,ô beauté toute aimable,que cette passion peut n’être point coupable»). En réponse à la réponse  D'Elmire, qui l'a ramène à son identité de croyant, il a répondu par une injection («ah!») cela montre son impuissance (vers 966). Il a dessine le portrait d'un homme fragile («je n'en suis pas moins homme») (vers 966)il ne pouvait pas lutter contre la volonté divine, c'est la beautés d' Elmire («vos céleste appâts») ( vers 967). On observe qu'il utilise à nouveau un pronom personnel pour rendre sa situation universelle («et lorsqu’on vient à voir») (vers 967). L' accumulation est à nouveau utilisée («jeune,prières et larmes») (vers 977) qui est préserve dans ses tentatives de pitié et de résistance, et montrer l’épreuve qu'il doit passer; Puis il y a la métonymie qui est de nouveaux employée («un cœur se laisse prendre,et ne raisonne pas»). Elle présente Tartuffe comme un homme, un esclave dans son cœur.

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