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Par   •  27 Septembre 2015  •  Commentaire de texte  •  543 Mots (3 Pages)  •  575 Vues

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        Commentaire de texte.

LA QUESTION DE CORPUS : la question religieuse dans le conte philosophe voltairien.

          Les deux textes sont écrits par le même auteur Voltaire. Il a marqué le 18ème siècle entant qu’écrivain philosophe français. Il occupe une place particulière dans la mémoire collective française et internationale. C’est une figure emblématique des philosophes des lumières.

          Dans un conte voltairien, Voltaire aborde la question de la religion.

          Voltaire parle de la religion comme une notion de bonheur mais aussi de malheur. Tout d’abord, Voltaire parle de la notion de bonheur en exprimant le fait de pouvoir être frère pas que par le lien du sang mais aussi par la religion. Exemple : nous buvions de la même limonade, nous mangions du même riz, comme deux frères. A travers cela, il exprime le fait que si deux hommes se comportent de cette manière, ceux des frères. Il exprime l’idée de malheur ainsi : je conçus que plus il avait de lumière dans son entendement et de sensibilité dans son cœur, plus il était malheureux. Un homme qui a une religion n’est pas forcément heureux avec celle-ci.

          En outre, Voltaire travaille beaucoup sur l’ironie pour exprimer sa critique de la religion. On reconnait que c’est de l’ironie car plusieurs fois dans l’histoire la science s’est opposée à la religion. On sait aussi que Voltaire écrit beaucoup de texte du genre ironique, et on remarque aussi des marques d’ironie dans cet écrit tels que : << Si je suis cause, lui dis-je, que vous voyez enfin plus loin que le bout de votre nez, voilà une roupie pour réparer le mal que j’ai fait ; reprenez votre lumière céleste. >> ; << je me suis dit cent foix que je serais heureux si j’etais aussi sot que ma voisine , et cependant je ne voudrais pas un tels bonheur

          De plus, ces textes sont des apologues (= texte visant a illustré un enseignement). Par exemple Le Bon Bramin mène à une réflexion : car ce texte montre que l’intelligence ne rend pas forcement heureux. Le narrateur démontre que la plupart des hommes préfèrent leur intelligence au bonheur qu’ils ne pourraient avoir qu’au prix de la bêtise. En montrant cela, il désigne une énorme contradiction qui est que notre amour de la raison pourrait nous conduire à lui sacrifier notre bonheur. Loin de nous proposer une solution, il laisse cette réflexion ne pas aboutir

          En conclusion, Voltaire est un déiste (= personne croyant à l'existence d'un Dieu, sans référence à une religion) et il dit aussi qu’un homme de science n’est pas forcement heureux.    

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