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Albert Camus / L'étranger Meursault

Chronologie : Albert Camus / L'étranger Meursault. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  22 Novembre 2021  •  Chronologie  •  1 875 Mots (8 Pages)  •  447 Vues

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Maelyne simonin 2nd C

Commentaire de texte composé

                      Albert Camus est un écrivain, philosophe, romancier et dramaturge. Il écrit L’étranger en 1942, L’étranger aura été son premier roman. Ce roman fait face à l’absurdité car Meursault, le personnage principal, est incapable de donner un sens a sa vie. Il est étranger a toutes choses qui ce passe dans sa vie.  Il na pas eu une enfance facile. Il na jamais connu son père et a été élevé seulement par sa mère. Il na donc pas eu d’éducationnel paternelle, cela pourrai expliquer pourquoi il est si étranger dans sa vie. Lors de son exécution, comment Meursault réagit-il a la peine de mort ? La peine de mort est une définition d’une mort instantanée, ou on na pas le choix que d’accepter sa propre exécution. Une peine de mort parfois peu soulager des personne qui on besoin de partir de ce monde mais parfois cela pourrait gâcher tout une vie . C’est pour cela que nous pouvons ce demander si Meursault a peur de la mort, il a du mal a accepter de mourir il trouve cela insolent, il repense a l’histoire de son père que sa mère lui a raconter, il nous fais même comprendre qu’il a peur car il a des expression qui nous font comprendre cela. On peu ce demander aussi, si son père ne lui a pas fais repenser a la mort et si l’histoire que sa mère lui a raconter par rapport a son père la affecter dans sa penser de mort ou de son exécution, car il fais comprendre par beaucoup de ses sentiment que la mort lui fais peur. Son père pour lui est inconnu car il ne la jamais vu et ne sait même pas qui il est, il a seulement entendu parler de lui par sa mère qui lui racontais des histoires, mais ce n’est pas pour autant qu’il le connaît. Une exécution peu elle avoir deux manière différente par rapport a des siècles different. L’examen du texte ce portera sur l’exécution de Meursault mais d’abord sur ses ressenti, si il a peur ou non de son exécution. Ensuite il ce portera sur sa relation avec son père et ses connaissances avec lui. Et pour finir il ce portera sur le moment de son exécution et sa pensé lors de son exécution.

                 Tout d’abord meursault fait paraître qu’il a peur de la mort car il dit une phrase « je ne pouvais pas accepter cette incertitude insolente », puis il repense a son père qui la « dégoûter » et qu’il lui a fais repenser a la peine de mort, et pour finir il dit une autre phrase « je claquais des dents sans pouvoir me retenir ».                                                  

        Meursault au premier abord nous fais comprendre qu’il a peur de la mort et de l’exécution. « Je ne pouvais pas accepter cette incertitude insolente »(ligne 1).Il personnifie l’incertitude et nous montre qu’il a du mal a accepter la mort et qu’il trouve cela insolent. Il trouve qu’il y avait une « disproportion  ridicule » et que la manière du déroulement entre son procès et sa peine de mort était complètement disproportionnée. Nous pouvons nous référer a la description que Camus donne pour Meursault, comme quoi il ne donne pas de sens a sa vie et qu’il na aucun sentiments. Mais lors du jour de sa peine de mort il nous fais comprendre qu’il a peur et la peur fais parti du en sensation et d’un sentiment. Donc le personnage de Meursault ce métamorphose complètement ce jour la.

       Meursault repense aussi a son père. En revanche Il na jamais connu son père, il a seulement entendu parler de lui par rapport a sa mère. Elle lui a raconter que son père avait été voir une exécution d’un assassin, il ne voulais pas trop la faire mais a fini par y aller. Au final lorsqu’il est rentrer il a vomi. Cela avait dégoûter Meursault. Lui-même la dit « mon père me dégoûtaient » cette phrase nous montre que l’histoire de son père lavait un peu dégoûter par rapport a une exécution. « Une exécution capitale […] c’était la seule chose vraiment intéressante pour un homme » « si jamais je sortait de cette prison, j’irais voir toutes les exécutions capitales » ces deux hyperboles sont tellement sur l’exagération qu’on pourrai croire que ces limite ironiques et faux.

       « Je claquais des dents sans pouvoir me retenir » Meursault nous fais paraître que le mouvement qu’il décrit est un mouvement de peur ou de stress. Il ce demande ce qu’il est mieux entre être un spectateur d’une exécution et en suite vomir ou être la personne a ce faire exécuter. Le claquage de dents signifie le froid qui lui signifie la peur, Meursault essaye donc de ce rassurer a propos de son exécution et d’essayer de penser a autre choses, mais même si il essaye il ni arrive pas et doit en assumer les conséquences.

Meursault parle beaucoup de son destin et son avenir ainsi que ce qu’il aurai pus faire dans le passer pour éviter toutes ses mauvaises choses qui lui arrive maintenant, Camus utilise beaucoup de temps different pour montrer différente phase de Meursault et Meursault fini par donner une leçon de moral indirect au lecteur en leurs disant ce qu’il faut qu’ils évite de faire.

Meursault utilise beaucoup le mot « idée » dans le sens, a l’idée d’être ou a l’idée de me voir. Ce qui montre que meursault pense à plus tard lorsqu’il dit « a l’idée de me voir libre » il pense a ce qu’il pourrai lui arriver si il était libre et ce qu’il aurai pus faire si il était libre. Il dit même « a l’idée d’être le spectateur qui vient voir et qui pourra vomir après » ce qui signifie qu’il ce voit être spectateur lors d’une exécution de quelqu’un d’autre que lui et qu’il pourrai reproduire la même action que son père qui est de « vomir ». Il ne pense pas vraiment a son exécution a ce moment précis, il ce voit plutôt être spectateur et non être lui sur la scène de l’exécution, et ce faire exécuter. Camus utilise un oxymores lorsque Meursault dit « un flot de joie empoisonnée  » cela signifie que son rêve revient dans une réalité et que ça joie qu’il avait avant deviens empoisonné et donc devient un cauchemar et que c’était une fausse joie.

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