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Introduction à la sociologie

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Par   •  19 Novembre 2020  •  Cours  •  1 091 Mots (5 Pages)  •  285 Vues

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Introduction à la sociologie

Programme : 

-Chapitre 1 : Auguste Conte

-Chapitre 2 : Karl Marx

-Chapitre 3 : Alexis de Tocqueville

-Chapitre 4 : Précurseurs extra-européen

-Chapitre 5 : Examen Blanc

Référence bibliographique : Barbusse et D.Glaymann = Introduction à la sociologie, Foucher

Introduction générale : Les fondateurs sont des penseurs qui vont établir la sociologie en science autonome. Les précurseurs vont donner les premiers éléments pour construire une science autonome. Pour avoir une science autonome il faut de la singularité et qu’elle ai un caractère scientifique. Autrement dit faut qu’elle ai un objet propres, des concepts propres et des techniques opérationnelles propres.

Il y a un contexte historique qui a permis au précurseurs de former des hypothèses.

Sur le plan économique on a la révolution industrielle. On va passer d’un mode féodale à fédéraliste (ex : avec la naissance du capitalisme on a l’urbanisation)

Ce contexte historique va stimuler la réflexion des précurseurs. Ils vont s’approprier ces problème sociaux pour réfléchir dessus et poser les premiers éléments pour plus tard afin de que les fondateurs réfléchissent dessus.

Chapitre 1 : Auguste Conte

Auguste conte est l’inventeur du mot sociologie. Socio ethymologiquement provient du latin socius qui veut dire associer. Puis, logie vient du grecque logos qui veut dire étude.

A) Le fondateur du positivisme

Le positivisme ne considère comme valide que les domaines de connaissances auxquelles s’appliquent la méthode scientifique (positive). Autrement dit, l’observation des faits réels doit permettre la création de lois scientifique qui expliquent comment les phénomènes opèrent. 

Les relations sexuelles au sein d’une famille sont interdit. Conte a inventer cette loi. Les lois doivent être prédictive, autrement dit elles doivent prévoir l’avenir à partir du passé et du présent. Il faut prévoir l’inconnu à partir du connu dans le but de maîtriser, façonner la société. (exemple :  l’inseste)

Le positivisme de Conte se base sur une vision relative de la réalité. En effet, « l’exact réalité ne peut être jamais, parfaitement dévoilé ». Selon lui, il est impossible de saisir complètement la réalité sociale, laquelle est extrêmement complexe et imprégné des préjugés humains.

B) La hiérarchie des sciences

Auguste Conte procède à une classification des sciences, cette classification est faite sur la base de 3 critères :

→ L’ordre va des sciences dont l’objet est le plus générale à celle dont il est le moins générale.

→ Du plus simple au plus complexe.

→ Du plus abstrait au plus vivant.

Sur la base de ces critères Conte les classes de cette manière : Math-Astronomie-Physique-Chimie-Biologie et enfin la Sociologie.

Selon Conte, il faut que la sociologie soit prise en compte dans la classification des sciences afin que l’étude de la société devienne scientifique et donc comparable aux autres sciences grâce à l’application des méthodes positives ou scientifique.

C) La loi des trois états

Conte formule une loi historique comparable aux lois scientifiques. Cette loi historique est la loi principale de la science de la société : la fameuse loi des 3 états. Conte expose cette loi dans sa premières œuvres majeures « le cour des philosophies positives » publiés en 6 volumes entre 1830 et 1842. Selon cette loi, chaque sciences, chaque sociétés et chaque individu doivent passer par 3 états ou 3 modes de pensées :

- Théologique

- Métaphysique

- Positif

Dans l’état théologique l’homme se représente les phénomènes qu’on produit par l’action des agents surnaturels. (les Dieux) Dans cet état, les agents surnaturels ont un pouvoir absolue et contrôle totalement l’univers. On va expliquer certaines anomalies du fonctionnement de l’univers en ayant recours à des connaissances ou des croyances absolue.

L’état métaphysique (abstrait) de l’histoire est une période de transition. En cherchant le pourquoi des phénomènes on va expliquer des faits observables en faisant appel à des forces abstraites.

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