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ORH--1003 - lecture efficiente sur texte argumentatif

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Par   •  16 Mars 2019  •  Commentaire de texte  •  1 839 Mots (8 Pages)  •  915 Vues

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ORH-1003 | H2019

de palpalmol

TRAVAIL II : LA LECTURE EFFICIENTE

18 FÉVRIER 2019

PAGE 1

SOMMAIRE DU RAPPORT

1. Lecture indicative

2. Lecture diagonale

3. Lecture active

4. Annexe A : Graphe de cohérence

5. Annexe B : Texte de référence

Transparence pour le verre recyclé

1. Lecture indicative

Ce texte provient d’une déclaration d’une association citoyenne (regroupement GROUVIDHAM) paru récemment dans la presse locale sur le web (La Nouvelle Union, Victoriaville, QC). Le thème abordé est le recyclage du verre dans la province de Québec ; ce texte interpelle les citoyens et fait un état des lieux de cette problématique, identifie les acteurs, les arguments et solutions qui existent pour une avancée dans ce domaine.

2. Lecture diagonale

Tout d’abord le recyclage du verre au Québec est une problématique qui a été soulevée il y a plus de vingt ans. Des études ont été menées et ont abouti à une recommandation très claire, mais finalement seule la valorisation du verre a été favorisée depuis tout ce temps.

Aujourd’hui il est clair que l’enfouissement est devenu majoritaire dans le traitement du verre et pollue largement ; il est temps de passer à l’aire responsable du recyclage réclamé à la fois par les citoyens et les municipalités.

Enfin, les taxes doivent être utilisées pour le recyclage, et les politiques devront soutenir cet effort face aux organismes qui continuent à prôner la valorisation du verre bien que les preuves évidentes de son inefficacité soient connues de tous.

3. Lecture active

Face à la nécessaire prise en charge responsable du traitement du verre au Québec, il est encore courant aujourd’hui d’entendre un discours opposé au changement.

Ainsi, les entreprises de Gestion des Matières Résiduelles s’opposent à l’instauration d’une consigne sur le verre, les gros centres de tri refusent le tri à la source, et ne parlent que de valorisation du verre.

Pourtant, la province a besoin de cette matière recyclée qu’elle importe (comme le fait l’entreprise de fonderie de verre de Montréal et qui ne trouve pas sur place étonnamment cette matière). Les citoyens, certains organismes, les municipalités, réclament un système de recyclage dont les avantages pour l’environnement sont connus : ainsi, les municipalités savent aujourd’hui que l’essentiel de ce qui est enfoui pourrait être recyclé ou composté.

De plus, dès 1997 cette problématique a fait l’objet d’une étude mettant en avant la ‘‘hiérarchie des 3R-V’’ (1 Réduire la source des déchets – 2 Réemploi – 3 Recyclage – 4 Valorisation). Cela est contraire avec la pseudo-valorisation actuelle qui est coûteuse, inefficace et remplit les lieux d’enfouissement.

Les solutions au problème sont le tri à la source et la collecte du verre qui permettent un recyclage optimal et moins dispendieux, et règlent en grande partie la problématique de la contamination croisée pour la majorité des centres de tri (usure prématurée du matériel, diminution de la valeur marchande des autres matières, qui aboutit parfois à la fermeture de centres de tri).

D’ailleurs les taxes perçues par EEQ (Éco Entreprises Québec) devant servir à financer les services de collecte des municipalités, et selon leur performance environnementale, à la sensibilisation et information citoyenne, devraient davantage inciter à développer ce système plutôt qu’implanter des solutions onéreuses de valorisation.

Sachant que la solution de la valorisation n’a pas donné de résultats probants, que des études récentes réexpriment la nécessité de la collecte du verre, il est nécessaire que les politiques imposent cet effort de recyclage porté par l’ensemble des citoyens pour aller de l’avant, et éviter que cela reste lettre morte comme une étude sur la consigne des contenants en verre commandée par la SAQ qui avait été tenue secrète dans un premier temps et n’a abouti à rien.

4. Annexe A : Graphe de cohérence

− Tout d’abord,

(Il est important)

Le citoyen doit exercer son droit de réplique face aux arguments qui maintiennent le système actuel de valorisation et qui profite à certains.

− Premièrement

− Deuxièmement

Des arguments insensés pour s’opposer au changement :

− Entreprises de GMR s’opposent à l’instauration d’une consigne.

− Les gros centres de tri refusent le tri à la source, et ne parlent que de valorisation du verre.

− Tandis que

− La province a besoin de cette matière recyclée qu’elle importe (Fonderie de verre qui a besoin de cette ressource).

− Les citoyens, organismes, municipalités, réclament un système de recyclage (avec des avantages pour l’environnement).

− Les municipalités savent que l’essentiel de ce qui est enfoui pourrait être recyclé ou composté.

− Pourtant,

(Ça mérite une explication…)

− Des études ont été réalisées :

En 1997(hiérarchie des 3R-V qui met la valorisation en dernière solution)

− Définition valorisation/recyclage

− D’ailleurs,

(Rappelons…)

− Des taxes sont perçues par EEQ

− Ces sommes doivent servir à financer les services de collecte des municipalités, et selon leur performance environnementale, à la sensibilisation et information citoyenne.

− Ainsi,

(Ce vieux modèle n’est plus acceptable…)

La

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