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Les défis d'une agriculture plus durable

Compte rendu : Les défis d'une agriculture plus durable. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  19 Novembre 2019  •  Compte rendu  •  1 041 Mots (5 Pages)  •  419 Vues

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Géographie[pic 1]

[pic 2]

  1. PRODUIRE AUTREMENT[pic 3]

L’usage des OGM correspond t’il à une solution?

        Tout d’abord, les OGM sont présentés comme la clef de l’agriculture productiviste. En effet, les organismes génétiquement modifiés devraient garantir de meilleurs rendements, afin de nourrir une population en hausse, mais aussi améliorer certains aliments, pour les rendre plus résistants, comme par exemple une variété de maïs invincible face aux insectes nuisibles, et une variété de soja qui survit à de grandes doses d’herbicide, afin de faciliter la production de ces deux aliments.

        De plus, les OGM occupent une grande place aux Etats-Unis. En effet, 90% du soja et 60% du maïs plantés dans le pays sont des variétés génétiquement modifiées, donc des OGM. En outre, dans le « Midwest », région des Etats-Unis située entre les Grands Lacs et les Grandes Plaines, 35 Millions d’hectares de maïs OGM sont plantés. Dans cette même région, la plupart des cultures sont ensemencées en OGM. Par exemple, dans le Dakota du Sud, elles représentent plus de 90% de la superficie agricole.

        Par contre, la culture OGM est très controversée. En effet, elle ne tient pas ses promesses, et n’octroie, au final, pas de meilleurs rendements, et l’agriculture traditionnelle continue de montrer de meilleurs résultats. De plus, la consommation d’aliments OGM peut s’avérer dangereuse pour la santé humaine. Enfin, la culture OGM a un impact négatif sur l’environnement, qui devient, de nos jours, important de préserver.[pic 4]

Diversifier une agriculture bio et urbaine

        Tout d’abord, l’agriculture biologique et urbaines montrent de nombreux avantages. En effet, l’agriculture urbaine permet aux habitants des villes de goûter aux joies du jardinage, et au plaisir de manger local, tout en habitant en plein espace urbain. De plus, l’agriculture urbaine a un impact positif sur l’environnement. Le concept plaît, puisque en 2009, le nombre d’adhérant à augmenté de 35%. Cela peut être un moyen pour certains de gagner de l’argent, en revendant leur production, car le local marche fort. En outre, l’agriculture biologique possède aussi ses avantages. En effet, ce type d’agriculture privilégie le bien-être animal, et n’utilise pas de pesticides, ce qui est meilleur pour la santé. De plus, les produits issus de l’agriculture biologique se vendent de mieux en mieux: leur vente a explosé, passant de 6 Milliards de dollars en 2000 à 25 Milliards de dollars en 2010, ce qui représente une augmentation de plus de 400%.

        Malgré tous ces bienfaits, on peut se demander si l’agriculture biologique et urbaines sont de réelles solutions, durables et efficaces. En effet, l’agriculture biologique diminue les rendements ( une baisse de 30 à 40% pour les cultures céréalières ). Pour compenser cette diminution, les producteurs doivent alors augmenter leurs surfaces cultivés, et la solution qu’ils ont trouvé est la déforestation, dans d’autres parties du monde, ce qui a pour conséquence une hausse des émissions de gaz à effet de serre. L’agriculture urbaine, elle, coûte relativement cher à mettre en place, et gagner sa vie grâce au maraichage urbain est rare.

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