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Global Gâchis

Fiche de lecture : Global Gâchis. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  26 Avril 2018  •  Fiche de lecture  •  2 196 Mots (9 Pages)  •  403 Vues

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Fiche de lecture :

Global Gâchis, Chapitre 11, 14

Biographie de l’auteur

Tristram Stuart  est un jeune historien et écrivain anglais né à Londres en 1977. Il a reçu le Prix Sophie de l'environnement et du développement durable en 2011. Il travaille pour l’amélioration de l'impact environnemental qu’on vit aujourd’hui notamment par ces deux grands œuvres :The Bloodless Revolution et the Global Food Scandal.

 Question posé par l’auteur :

Chapitre 11 :

Alors que des milliards d'êtres humains souffrent de malnutrition, c'est près d'un tiers de la production mondiale de nourriture qui est jetée ou perdue. Cet ouvrage, désormais référence internationale, aide à comprendre les causes et les enjeux de ce gaspillage. Dans ce chapitre l’auteur nous expose  l’origine de l’excédent d’aujourd’hui qui sont à chercher dans l’évolution, d’après lui nous reproduisant les mêmes comportements depuis plus de 10 000ans. Alors, quelles sont les forces sociales et celles liées à l’évolution qui nous poussent à adopter un comportement si irrationnel ? Quelle est la quantité de nourriture vraiment nécessaire ? Pourquoi agissons nous ainsi ?

Chapitre 14 : REDISTRIBUER

Dans cette partie l’auteur nous apporte des solutions et méthodes possibles pour éviter le gâchis des aliments que ça soit pour les ménages aux grandes distributions. Il accentue le rôle et l’initiative de l’individu ainsi que celle de l’Etat  

Résumés

Chapitre 11 Page196-224

Le gaspillage est une conséquence de l’excèdent alimentaire qui se trouve au fondement du développement humain depuis plus de 10000an. Il est crucial de distinguer dans le gaspillage alimentaire les inévitables problèmes d’optimisation du gâchis injustifié nuisant à nos perspectives à long terme. L’extinction massive de grands animaux témoigne de deux réalités : l’efficacité des homes en tant que chasseurs (les paresseux géants, les mammouths laineux et les rongeurs de la taille d’un ours n’ont pas résisté à la déferlante humaine. Les archéologues ont trouvé des restes de mammouths, chassé à l’époque, dont seul quelques os portent des signes de découpe, d’après eux, les 1ers chasseurs laissaient pourrir le plus gros de la chaire au lieu l’empêcher d’atteindre trop vite sa date de péremption. Cette pratique a mené à l’extinction de leurs proies favorite mais aussi contexte dans lequel l’agriculture a évolué) et à leur mépris de l’utilisation durable des ressources. Les humains se sont reproduits de manière exponentielle est se sont repus de toutes les ressources disponibles. Ces courtes périodes de manne ont néanmoins fourni suffisamment de nourriture pour doper la croissance de la population humaine. Elles ont provoqué l’extinction de nombreux animaux sauvages et la destruction irréversible de vastes écosystèmes ; mais elles ont également créé les conditions de développement de foyer de population humain, permis l’apparition de l’agriculture et favorisé la construction des fondements de la civilisation moderne. Tout comme l’excès à la chasse, les hommes ce sont mis à l’agriculture, ils ont très souvent surexploité l’enivrement jusqu’à rendre la terre infertile. En revanche, la surexploitation des ressources a pu mener les peuples vers des niveaux inédits d’ingéniosité en donnant naissance à de nouvelle technologiste , sur le long terme, améliorer la productivité agricole et le niveau de vie. Atteindre constamment la limite des réserves de nourritures s’est révélé, selon Boserup, une motivation au développement social et technologique.

Il nous parle du comportement territorial et de son impacte :  L’agriculture s’est rependue dans le monde entier, notamment parce que des groupes voisin observaient et acquéraient ces nouvelles technologies; mais il apparaît avant tout que les peuples qui pratiquaient l’agriculture et dégageaient de l’excédent se reproduisaient plus vite et terrassaient ceux qui ne la maîtrise pas, en effet, la taille d’une population représente un facteur crucial pour déterminer sa capacité à défendre ou accroitre son domaine. Un groupe qui réussit à  maitriser ca démographie peut se trouver écraser par un clan voisin, celui-ci il exploite à outrance le territoire en détruisant leur  réserve de ressources dont il dépend ce qui récompense sa faim à court terme, mais méthode efficace, que les humain ont adoptée pour monopoliser la terre. Ils avaient appris a stocké l’excédent de nourriture par conséquent  cet approvisionnement alimentaire a permis d’élever plus d’enfants et de mener une vie plus sédentaire au lieu d’errer constamment en quête de nourriture comme tout peuple nomade.

Le pouvoir : Plus une population pouvait nourrir de producteur de richesses, plus elle se montrait capable de défendre son territoire et d’inventé des technologies lui permettant d’atteindre de subjectifs (durant les deux guerres mondiales, la victoire dépendait autant de leur capacité à produire de la nourriture que de la sagacité « la nourriture est une arme, ne la gaspillez pas ! Slogan de propagande). Le soutien de la croissance démographique, la réparation des tâches la réussite militaire sont les 1ers justifications de l’excédent alimentaire.

La pénurie : Une population a tout intérêt à cultiver plus de nourriture que ce qu’exigent ses besoins nutritifs élémentaires pour parer à l’éventualité d’une pénurie. Comme l’a écrit l’ethnologue Marvin Harris « selon l’un des principes établis de l’analyse écologique, les communautés d’organisme s’adaptent non pas aux conditions moyennes, mais aux conditions extrêmes. Dans les bonnes années, l’excédent peut être stocké pour parer à l’éventualité de récolte maigre –comme dans le récit biblique de Joseph. Alerté par un rêve de Pharaon, il réserve 20% des récoltes durant sept ans et évite ainsi la famine en Egypte. Mais le surplus que génère l’Occident de nous jours dépasse dans de telles proportions les besoins nutritionnels de la population qu’il est difficile de croire que cet excédent est nécessaire, sain ou sans danger. Si nous voulons optimiser la chaîne alimentaire mondiale, nous devons calculer plus finalement la marge entre surplus nécessaire, en tant que filet de sécurité, et gaspillage inutile.

Surconsommation et surproduction : La FAO estime les besoins nutritionnels minimum des Européens de l’Ouest et des Américains à 1900 et 2000 Kcal par personne et par jour. Selon les agronomes, afin de garantir la sécurité alimentaire, les Etats doivent viser une production égale à environ 130% des besoins nutritionnels (d’après les experts ces besoins représentent une marge de sécurité raisonnable). Un approvisionnement représentant 2600 à 2700kcal par personne et par jour suffirait donc aux pays riches et n’en parlent  pas des commerces et restaurants. Les niveaux actuels de surproduction, en Occident, dépassent tout ce qui semblerait du pouvoir de vue de la santé publique ou de politiques agricole. On pourrait imaginer que certains payent liment leur importations, ou même augmentent leur production locale pour améliorer la sécurité alimentaire.

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