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Crise Alimentaire Et Energitique

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Par   •  4 Juillet 2013  •  Cours  •  821 Mots (4 Pages)  •  764 Vues

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1-Population mondiale :

Le 2 mars 2013 nous étions 7113000000 d’ici à 2050 nous serons 9 milliards.

2-consommation mondiale d’engrais :

3/5 de la production mondiale d’engrais est consommée par l’Amérique du nord et l’Europe

3- Autosuffisance du Maroc en céréales :

L’autosuffisance potentielle en termes de production de céréales au Maroc doit suivre ses quatre recommandations :

- Utilisation des fertilisant, le Maroc n’utilise que 30% de ses besoins en engrais, alors que c’est l’un des principaux pays producteurs d’engrais.

- Sélection des semences utilisées, pour permettre un produit de qualité et une productivité optimale.

- La généralisation de l’irrigation, et en particulier l’irrigation localisée.

- Améliorer les conditions de stockage des récoltes, chaque année, en moyenne 10% des récoltes sont perdues à cause de mauvaises conditions de stockage.

Malgré ces recommandations l’autosuffisance du Maroc reste improbable de par l’incompétence des agriculteurs, la défaillance des infrastructures et de conditions climatiques assez difficiles.

4- Mix énergétique idéal pour le Maroc :

Mix énergétique en 2010 : environ 30% d’énergie renouvelables (4% d’éolien et 26% d’hydraulique) et 70% de combustibles fossiles (17% de gaz, 24% de pétrole et 28% de charbon) (Platts/UDI 2010)

Les projections pour 2050 s’établissent à 30% d’énergie solaire, 65% d’énergie éolienne, 2,5% d’énergie hydraulique et enfin 2,5% de gaz.

5- Projet de transfert d’eau :

C'est ce chantier qu'a entrepris Novec, le plus important groupe public d'ingénierie nationale et régionale en démarrant cette semaine l'avant-projet du projet de transfert d'eau de bassin du nord vers le sud qui nécessite un investissement de 30 milliards deDH sur une décennie. Le projet qui fait appel aux compétences des entreprises nationales, nous confie M. Charibi, DG de Novec, permet «d'anticiper et de mieux gérer nos ressources en eau dans le contexte d'une réduction progressive des ressources en eau jusqu'à l'horizon 2050, due aux changements climatiques». Ce transfert qui devrait s'opérer sur 200 km concerne «trois bassins hydrologiques émetteurs situés dans le nord du Maroc : le bassin de l'oued Laou, le bassin de l'oued Loukkos et le bassin de l'oued Sebou qui ont un bilan hydrique positif et qui disposent d'un excédent en eau. Il concerne également 3 bassins récepteurs qui ont une ressource en eau limitante par rapport aux besoins à l'horizon 2030 et avec certains affichant déjà des déficits aujourd'hui. Ces bassins déficitaires sont ceux du Bouregreg, de l'Oum Rabii et du Tensift. Ils englobent environ 80 % des ressources en eaux superficielles du pays et abritent 90 % de l'activité économique ainsi que les 2 tiers de la population du Maroc, soit 20 millions d'habitants. C'est dire l'importance stratégique du projet.

6- Principaux

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