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Les effets négatifs du sport

Cours : Les effets négatifs du sport. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  1 Mai 2013  •  Cours  •  408 Mots (2 Pages)  •  1 888 Vues

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II-LES EFFETS NEGATIFS DU SPORT SUR LE CORPS

l’accompagnement est satisfaisant.Mais, au-delà de ce bénéfice global, les bienfaits de l’activité physique dépendent aussi du parcours de vie de chaque individu et, dans le cadre du traitement et de la prévention, des caractéristiques de chaque pathologie( Etude des maladies, de leurs origines, de leurs symptômes). L’activité physique est primordiale en prévention primaire des maladies cardiovasculaires mais également en prévention secondaire. Elle intervient également dans le traitement de la dyspnée au cours de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO). Elle joue un rôle fondamental pour éviter le gain de poids et elle réduit le risque de certains cancers (colorectal, sein, endomètre, poumon, prostate).Une activite physique est considerer de meme comme parfois un entrainement(echauffement).L’entraînement physique améliore considérablement les capacités de travail musculaire. Cette amélioration résulte d’une adaptation cardio-vasculaire (augmentation de la capacité de transport d’oxygène de l’air ambiant vers le tissu musculaire), mais aussi musculaire. L’entraînement réduit la fréquence cardiaque au repos (sans augmentation de la fréquence cardiaque maximale), augmente la masse myocardique(ventricule gauche principalement) et le volume d’éjection systolique, diminue la consommation d’oxygène du muscle cardiaque et améliore l’extraction d’oxygène au niveau musculaire. L’architecture musculaire est modifiée avec possibilité d’accroissement important des fibres à contraction lente lors d’un entraînement spécifique en endurance. L’entraînement occasionne des modifications biochimiques au niveau du muscle, en particulier une augmentation de la taille et du nombre des mitochondries et de l’activité des enzymes oxydatives. On note aussi une augmentation du contenu en myoglobine, qui permet une augmentation des reserves d’oxygène, mais avec une variabilité importante selon les sujets. L’ensemble de ces modifications, associées à l’augmentation de la capillarisation et du débit sanguin musculaire, est responsable d’un accroissement important des capacités oxydatives du muscle entraîné en endurance. Celles-ci concernent le glycogène, dont la capacité de stockage est augmentée par l’entraînement, mais aussi les acides gras. Cette meilleure capacité à utiliser les graisses comme source d’énergie permet ainsi d’épargner les reserves de glycogène, d’autant que l’entraînement aboutit également à une augmentation des réserves intramusculaires de triglycérides. Et donc une activite physique ameliore notre capacite aerobie.Les capacités aérobies sont appréciées en pratique à partir de la mesure du VO2max du sujet. Le VO2max, témoin des capacités cardio-respiratoires, est le test de référence en physiologie de l’exercice pour juger de l’aptitude aux sports d’endurance. Le VO2max est souvent exprimé en ml/kg/min,ce qui permet de s’affranchir des différences de corpulence entre sujets pour effectuer des comparaisons interindividuelles.

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