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La délinquance est l’ensemble des délits considérés sur le plan social

TD : La délinquance est l’ensemble des délits considérés sur le plan social. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  6 Avril 2016  •  TD  •  957 Mots (4 Pages)  •  693 Vues

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                                 La délinquance est l’ensemble des délits considérés sur le plan social. C’est une forme de déviance qui se différencie par rapport aux normes juridiques, la délinquance est suivie d’une sanction. On voit ici, trois documents de type différent. Un tableau extrait de « Les statistiques de la délinquance », France, portrait social 2002-2003 d’après Bruno Abusson, Nacer Lalam, René Padieu, Phillipe Zamora. Il représente le nombre annuels moyens de faits déclarés par les victimes et faits constatés par la police. Ensuite, se trouve un texte de Laurent Mucchielli, « Le «nouveau management de sécurité » à l’épreuve : délinquance et activité policière sous le ministère Sarkozy (2002-2007) », Champ pénal, le Volume V, 2008. Enfin le dernier document est un diagramme en bâtons horizontales montrant la proportion de victimes ayant eu recours ou non à la police ou à la gendarmerie. Nous allons montrer les limites que possèdent les statistiques policières dans la mesure de la délinquance. Dans un premier temps nous étudierons et expliquerons l’écart entre les enquêtes de victimisation et les statistiques pénales ensuite, quels types de plaintes sont le plus déposées et en dernier, à quoi est du l’augmentation du taux d’élucidation.

                                Le document nous présente les faits déclarés dans les enquêtes de police et ceux déclarés dans les statistiques pénales. Entre 1995 et 1997, 3 676 000 de personnes avaient dans les enquêtes de victimisation évoqué qu’elles avaient eu recours à des vols sans violence, seulement 1 999 000 ont portaient plaintes, c’est-à-dire que, 1 677 000 n’ont pas parlé de la délinquance envers laquelle elles ont étaient victimes. Entre 1998 et 2000, les chiffres ont baissé, 1 205 000 n’ont pas porté plainte sur 3 160 000 en ayant parlé aux enquêtes. Pour ce qui est des agressions physiques les chiffres sont assez choquants. 1 757 000 n’ont pas porté plainte sur 2 015 000 entre 1995 et 1997 et, 2 402 000 sur 2 720 000 entre 1998 et 2000.  On s’aperçoit que moins de personnes évoquent les vols sans violence dans les enquêtes (-14%) donc, moins portent plaintes (-2,2%). Cela s’explique car, beaucoup de personnes considères que les vols sans violence son sans importance pour les policiers ou, ils ne veulent pas être impliqués dans des affaires de justices pour des délits peu grave. Pour ce qui est des agressions physiques ou verbales c’est l’inverse, plus 35,1% des personnes ont évoqués leurs agressions dans les enquêtes et 23,3 % de plus ont portés plaintes. On s’aperçoit que un bon nombre de personnes de porte pas plaintes pour ce qui est des agressions physiques ou verbales car les gens ont peur de se confier, ils ont surtout honte par exemple pour ce qui est du viol (sensation d’être sale) mais aussi car ils ne veulent pas s’engager dans des poursuites judiciaires qui parfois ne peuvent aboutir ou bien ils ont aussi peur des possibles représailles. C’est pour cela que, la plupart se confient aux enquêteurs car ils savent qu’il n’y aura aucune suite et que la déclaration sera gardée « secrète ». Le nombre de délits qu’on ne connaît pas est appelé chiffre noir.

                                Les plaintes les plus déposées sont, celles qui concernent premièrement les vols de voitures (60% sont déclarés), les cambriolages (42%) et, les vols sans violence (40%). Comparé aux agressions sexuelles dont 65% ne sont pas déclarées et, pour les dégradations et destructions de voitures, 70% ne le sont pas. En minorité, les gens déclarent les délits sans porter plaintes la plus part portent plaintes ou alors ne déclare pas l’affaire. On se rend compte que, peu de déclaration sont faîtes concernant certains délits comme les dégradations de voitures car, pour beaucoup ce genre d’infractions peu d’intérêt Les policiers essaient quand même d’intensifier la surveillance quotidienne. Le taux d’élucidation est en hausse mais cela et  dû surtout aux nombreuses petites arrestations sur des jeunes fumant des substances illicites ou, des étrangers en situation irrégulière, (35% des 200 000 faits élucidés supplémentaires de 2006) l’augmentation de l’élucidation est aussi compréhensible car, beaucoup plus de contrôle d’identité sur la voie publique et de verbalisation sont organisés.

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