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Daniel Berehulak, Ils nous abattent comme des animaux

Commentaire de texte : Daniel Berehulak, Ils nous abattent comme des animaux. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  7 Janvier 2018  •  Commentaire de texte  •  520 Mots (3 Pages)  •  651 Vues

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Daniel Berehulak :

« Ils nous abattent comme des animaux »

Aux Philippines, depuis l’arrivée au pouvoir de Rodrigo Duterte, fin juin, il ne se passe pas une nuit à Manille sans la découverte en pleine rue de dizaines de corps accablés de balles. Le nouveau président s’est lancé dans une guerre sans merci contre les trafiquants et les consommateurs de drogue : narcotrafic. Une guerre qui consiste à éliminer physiquement tous les consommateurs et les trafiquants de drogues. Durant sa campagne électorale, Rodrigo Duterte avait promis des morgues pleines à craquer, et qui se chiffre en milliers de cadavres aujourd’hui.

Daniel Berehulak :  

Daniel Berehulak est né à Sydney en 1975 en Australie, fils d'immigrants ukrainiens. C’est un photographe et photojournaliste australien basé à New Delhi. Il a visité plus de 60 pays couvrant des événements historiques, y compris les guerres de l'Irak et de l'Afghanistan, le procès de Saddam Hussein, le travail des enfants en Inde et bien plus encore.  En 2015, il a reçu le prix Pulitzer pour sa couverture de l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest et a été finaliste du prix Pulitzer pour sa couverture des inondations du Pakistan en 2010. En 2016, il a été nommé photojournaliste de l'année lors du concours « Meilleur photojournalisme » de l'Association nationale des photographes de presse.

Commentaire :

J’ai beaucoup apprécié cette exposition car Daniel Berehulak à travers ses photos nous a montré le cahot de la campagne contre la drogue lancée par le président Rodrigo Duterte à son arrivée au pouvoir le 30 Juin 2016. Ces photos nous montrent que depuis 1 an le président philippin Rodrigue Duterte mène une guerre violente contre la drogue, Quand j’ai vu ses photos je me suis dit que c’était de la folie n’importe qui peut vous tirer une balle dans la tête et se justifier en disant qu’il vous soupçonnait de vendre de la drogue.  C’est donc la photo qui reflétait pour moi le plus mon sentiment :

[pic 1]

[pic 2]

Sur cette photo on peut voir un homme allongé au sol avec des policiers de dos qui ont l’air de l’analyser, le regarder. Puis sur le côté plus à gauche de la photo on peut voir un groupe de 4 enfants les yeux rivés sur l’homme au sol, sur l’action qui est en train de se passer mise à part un enfant qui regarde à l’horizion et nous pouvons même nous poser la question s’il ne regarde pas d’autres hommes tirés sur un groupe. Dans un quartier plutôt défavorisé, ce qui fais penser à un bidonville. ( au premier plan il y a les policiers de dos regard fixe sur l’homme. Au second plan se trouve l’homme au sol, troisième plan : les enfants ). En regardant cette photo je ressens de la tristesse. La scène est « captivante » parce-que en 1 seule photo elle nous fait poser des questions, à réfléchir, à s’informer sur ce qu’ils se passent ailleurs. La situation des enfants est pour moi en contraste avec la scène qu’il voit. Ils n’ont pas l’air d’avoir peur, ou d’être terrifié comme une habitude.

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