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Analyse de cas - éducation Québec

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Par   •  31 Octobre 2022  •  Étude de cas  •  1 714 Mots (7 Pages)  •  147 Vues

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Table des matières

1        INTRODUCTION…….………………………………………………………………………………3

2        LA DESCRIPTION DU CAS RETENU……………………………………………………………..4

3        L’ANALYSE DU CAS……………………………………………………..…………………………5

4     LA DESCRIPTION DE LA SOLUTION ENVISAGÉE……………………………………………5

5        LA JUSTIFICATION DE LA SOLUTION        6

6    CONCLUSION…………………………………………….        …………………………………………7

  1. INTRODUCTION

Des conflits, des divergences d’opinion ou des débats, il y en a partout dans la société et l’éducation ne fait pas exception.  L’un des sujets qui, depuis longtemps, sépare les gens par leur point de vue différent est le code vestimentaire dans les écoles.  Dans ce travail, je commencerai par résumer le cas 8 : Dis-moi ce que tu portes… afin de mettre en évidence la problématique concernée.  Ensuite, j’analyserai le cas en me basant sur mes connaissances, mes valeurs et mes convictions personnelles.  En outre, je décrirai la solution qui, pour moi, serait la plus adaptée et je prendrai le temps de me justifier.  En terminant, je ferai un lien entre mon travail 1 et mon besoin de formation en ce qui concerne l’organisation de l’éducation au Québec.  

  1. la description du cas retenu

Dans le cas que j’ai choisi, il y a un profond désaccord entre plusieurs parties au sujet du fameux port de l’uniforme à l’école.

D’abord, le parti au pouvoir à Québec, incluant le ministre, pense fortement à décréter un code vestimentaire excluant les vêtements jugés provocants ou évocateurs, voir vexants.  Cette vision ne fait pas l’unanimité.

Selon Pierre Walkerr, président de la Commission scolaire du Fleuve, l’obligation de porter un uniforme n’est ni le bon moyen, ni le bon objectif.  Il croit fermement que ce n’est pas en interdisant certaines formes de vêtements que nous amènerons les jeunes à se respecter et à attirer le respect d’autrui.  Toutefois, il est conscient que l’hypersexualisation est une triste réalité à ne pas négliger en milieu scolaire.  Malgré tout, il demeure bien ancré sur sa position et termine même sa lettre ouverte en écrivant : « Le gouvernement serait bien mal venu d’imposer une façon de faire uniforme partout au Québec. »  De son point de vue, le milieu scolaire détient une grande part de responsabilité, qu’il faut lui laisser, en ce qui concerne la prise de conscience des jeunes face à leur « épanouissement personnel » et leur « apprentissage de la vie sexuelle ».

En outre, le ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport, Jean-Marc Fournier, suit la ligne de pensée de Pierre Walkerr.  Il s’oppose à l’imposition du port de l’uniforme et il mentionne que c’est aux parents, par le biais du conseil d’établissement des écoles, que revient le devoir de statuer d’un code vestimentaire approprié.  Selon lui, il faut définitivement laisser ce pouvoir aux parents puisqu’il s’agit de l’éducation de leurs enfants.

Par ailleurs, la Commission-Jeunesse du Parti libéral du Québec (PLQ), est en faveur du port de l’uniforme.  Tout compte fait, deux parties sont pour et deux parties sont contre.  L’ampleur du débat du code vestimentaire et la divergence d’opinions flagrante sont mises en évidence.  

  1. L’ANALYSE DU CAS

Tout d’abord, si je me penche sur les arguments de Pierre Walkerr ainsi que sur ceux du ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport, Jean-Marc Fournier, je comprends que l’idéal serait que les jeunes comprennent d’eux-mêmes l’image provocante qu’ils peuvent projeter par leur choix de tenues vestimentaires.  En revanche, les élèves du primaire n’ont pas vraiment la maturité de comprendre l’impact des vêtements qu’ils portent.  N’étant pas attiré par les adultes ni par la sexualité, la plupart ne sont pas conscients que les gens puissent les regarder sous un angle autre que le fait qu’ils sont de jeunes enfants.  En ce qui concerne les élèves du secondaire, ils entrent dans une phase de rébellion, ils ne se comprennent plus et ils veulent s’affirmer de toutes les façons possibles et imaginables. Pour ces raisons, je ne pense pas que d’eux-mêmes, ils choisiraient de porter des vêtements convenables pour ne pas susciter le jugement et les regards.  De plus, il est vrai que les parents devraient gérer le contenu de la garde-robe de leurs enfants, mais malheureusement, certains parents n’ont pas de jugement à ce niveau et laisse toute la liberté à leurs enfants de choisir de qu’ils veulent acheter et vêtir.  Pour ma part, je pense que si nous n’avons pas d’influence à la maison, nous devrions en avoir à l’école.  De plus, même si les jeunes veulent décider pour eux-mêmes, ils doivent apprendre que pour certaines choses, ils ne peuvent pas.  S’ils veulent se différencier et se démarquer des autres, ils pourraient le faire de par leur personnalité, ce qu’ils sont à l’intérieur.  Après tout, l’important ce n’est pas ce que l’on voit, mais ce que l’on est vraiment.

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