Les ambiances sonores

Évolution de la nourriture

INTRODUCTION :

L'acte alimentaire évolue au fil des années, en corrélation avec les changements de mode de vie. Il n'est plus seulement un besoin biologique, il est devenu une activité sociale. L'aliment répond à trois finalité pour le consommateur : se nourrir, satisfaire nos sens et avoir une valeur symbolique. On peut donc se demander comme évolue l'alimentation des français. Dans un premier temps on étourdira l'évolution qualitative et quantitative de la consommation alimentaire. Puis les conséquences de cette évolution. Enfin on présentera les objectifs du Programme National de Nutrition Santé.

I) l'évolution qualitatif et quantitative

A) Évolution qualitatif

Le terme qualitatif désigne la qualité d'un produit.

On remarque depuis quelques années que de nouveaux produits on été introduits et d'autres ont été supprimés de notre alimentation. Ces modifications entraînent des transformations notables de la société. Les consommateurs changent de modes de sustentation par l'évolution de leurs goûts. Le début de la prise de conscience à été marqué par l'apparition de crises alimentaires. On peut prendre l'exemple de la vache folle, ce symptôme est apparut en 1990, et a refais une apparition en 2017. Si la première vague n'avait pas fait de mort, la deuxième à causé de nombreuses perte humaine, notamment au Royaume-Unis. Suite à ça de nombreux individus ont décidé de changer leur alimentation.On note environ 44% des consommateurs ont changé totalement leurs habitudes alimentaires, sans revenir aux précédentes, suite aux différents scandales et crises alimentaires. Ces bouleversements ont favorisés l'essor de nouveaux modes d'alimentation, comme le végétarisme ou le véganisme. Comme nous le montre le document, le véganisme représente 95% des personnes interrogés. Cette mode est une des plus ancienne et consiste a supprimer de son alimentation la viande et le poisson. On peut distinguer d'autre nouvelles mode alimentaire :

Source :Étude Les pratiques culinaires d'aujourd'hui et de demain, Harris Interactive

Les français, sont à la recherche du « mieux manger », 74% d'entre eux disent se renseigner sur internet lorsqu'ils recherchent des information sur les produits qu'ils consomment.

Source :Étude Les pratiques culinaires d'aujourd'hui et de demain, Harris Interactive

Au centre de leurs préoccupation se trouve la traçabilité. La traçabilité peut se distinguer en 3 catégories distinctes. Ils sont à la recherche de l’origine, des critères de fraîcheur du produits. Mais aussi la façon dont le produit est cultivé, péché, élevé...

Le développement technologiques à fait apparaître des applications tel YUKA aidant le consommateur à sélectionner le produit répondant à ces attentes. Cette application a pour but que lorsqu'on scanne un produit de nous dire à combien de pourcent il est bon pour la santé.

Ces nouveaux intérêts, ont développés l'agriculture biologique et également le locavorisme qui consiste à s'approvisionner dans un périmètre réduit.

En restauration, l'apparition de label tels que « fait maison » ou encore « maître restaurateur » sont des outils pour le consommateur final.

B) L'évolution quantitative

Le terme quantitative désigne la quantité d'un produit consommé par un individu ou un groupe d'individu à une période donnée.

On peut commencer notre analyse en comparant deux périodes 1970 et 2005 :

On peut voir dans un premier temps une diminution de produits phare des aliments comme le pain (-33%), les pommes de terre (-25%), le sucre (-66%), le lait (43%). Ces diminutions sont liées à différents paramètres. D'une part l'évolution de la société, qui prend en compte les nouvelles modes alimentaire, le mieux manger, avec la sensibilisation de l’Etat, qui essaye de réduire la consommation de sucre et de gras. D'autre part on voit apparaître depuis quelques années des intolérances à certains produits notamment le gluten et le lactose. Cela explique donc la baisse de consommation de ces produits. Ensuite on remarque une augmentation de la consommation de fruits et de légumes, qui sont en liens avec le principe du «mieux manger ».

On peut définir le «mieux manger » : c’est adopter une alimentation variée et équilibrée, c’est-à-dire manger de tout mais en quantités adaptées. Cela consiste à privilégier les aliments bénéfiques à notre santé (fruits, légumes, féculents, poissons, viande…), et à limiter la consommation de produits sucrés, salé et gras.

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