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Travail n.2 sociologie de la famille

Dissertation : Travail n.2 sociologie de la famille. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  6 Février 2019  •  Dissertation  •  1 520 Mots (7 Pages)  •  661 Vues

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QUESTION N.1

Expliquez (2 arguments) le constat suivant : La conjugalité est devenue conditionnelle et dissoluble (argument n.1), mais la parentalité est et demeure inconditionnel et indissoluble (argument n.2).

Argument n.1

Il y a beaucoup de critères lorsqu’on parle de démariage, tel que la nouvelle diversification des familles ainsi que pour l’individu lui-même, l’individualisation de la vie privé. Nous pouvons alors parlé de lien de conjugalité et lien de filiation. L’avènement de l’implantation du divorce dans notre société actuelle se déroula entre 1945 et 1965 lors de la révolution tranquille. De cette révolution apparaît le divorce, ainsi que les différents types de famille, soit : nucléaire, légitime, féconde et stable. L’introduction de ces nouvelles cellules familiales cause une rupture dans ce qui était la famille traditionnelle avec le couple uni par le mariage, puisque la famille recomposée apparaît par la suite avec de nouvelles dynamiques et les transitions qui viennent avec cette nouvelle composition. Bien entendu il y a eu et a toujours beaucoup de débat sur le mariage, l’individu versus la famille. Les plus conservateurs disent que l’entité familiale est menacée du fait que l’individu pense plus à lui-même qu’à la famille lorsque vient le temps d’un divorce ou d’une séparation, qu’il est plus soucieux de son désir de liberté sur le court terme que la vie familiale avec ses restrictions à long terme. L’obligation sociale du mariage n’est plus, donc il est beaucoup plus facile maintenant de pouvoir se séparer de son partenaire. L’idée du mariage devient un choix.

L’idée de mariage non religieux nous vient de l’époque de Napoléon où il y avait différentes visions du mariage. Les fondements du mariage étaient liberté et égalité, que chaque membre du couple était égal et avait le même degré de liberté. Bien entendu, après la Révolution Française les anciennes normes du mariage refirent surface et la femme fût rétrograder à être reconsidérer comme une personne mineure sans droit de vote d’aucune sorte.

De nos jours, l’idée du mariage fait peur à beaucoup de jeunes couples comme plus de la moitié des mariages de nos jours finissent par des divorces. Le mariage est un risque que les couples prennent. Les couples ne ressentent plus le besoin d’officialisé leur lien affectif avec une cérémonie et une promesse écrite.

Argument n.2

Le lien entre les parents et leurs enfants est un lien inconditionnel qui ne peut être briser. Ce n’est pas un contrat qui est passé et qui peut être briser, l’éducation et le bien-être de l’enfant reste le centre du lien de filiation. Dans l’évolution de la conjugalité, la filiation n’a pas connu la même évolution, on parle plus de nouvelle forme d’affection (qui n’était pas le centre de la vie familiale autrefois) ainsi que l’invidualisation du sentiment d’appartenance de l’enfant par rapport au reste de la cellule familiale. L’enfant est aussi reconnu par ses parents comme un prolongement d’eux-mêmes et encouragent l’enfant en le valorisant encore plus et en le dirigeant vers ce qui est en lien avec ce qu’eux-mêmes aiment ou non pas réussi à réaliser pour que l’enfant puisse profiter de chaque moment. L’enfant est maintenant aimer et encourager à se dépasser du moment où il est mis au monde. À notre époque, le lien avec les grands-parents prend maintenant une grande place dans la vie de l’enfant ainsi que leurs valeurs et leur vision de la vie futur de l’enfant. Bien que le fait d’avoir mis le mariage de côter, l’enfant reste un lien indissoluble du couple qu’il soit encore ensemble ou non. Ce lien est inscrit à l’état civil lors de la naissance de l’enfant et n’est pas seulement un fait. Le lien paternel a grandi énormément depuis le début de la registration des naissances, beaucoup plus de pères reconnaissent les enfants comme les leurs.

Nous parlons de trois composantes au lien de filiation, soit :

  1. La composante biologique : les parents biologiques sont les géniteurs de l’enfant, il est très important pour eux de savoir qu’ils sont les parents biologiques de l’enfant à naître. Pour la mère il est facile de déterminer qu’elle est la génitrice tandis que pour le père cela a toujours été une question sociale fondamentale comme il a toujours possibilité qu’il ne soit pas le géniteur. L’alliance de la simplification (découvrir qui est le père) et la complification (le rôle de la science modifiant la nature) sont deux méthode qui accroisse la signification du lien biologique.
  2. La composante domestique : ce lien n’est pas nécessairement biologique mais comme une personne s’occupant de l’enfant, lui donne un toit ainsi que les soins nécessaires pour son bon développement physique, psychologique et affective.
  3. La composante généalogique :  en lien avec la composante domestique, ici nous parlons plus d’une adoption d’un enfant par une famille et l’éduque comme un enfant biologique sans qu’il ne le soit.

QUESTION N.2

Expliquez (2 arguments) le constat suivant : La famille est l’agence de la socialisation la plus importante dans le développement affectif des enfants (argument n.1) et le développement social des enfants (argument n.2).

Argument n.1

La famille fait partie du groupe primaire, celui qui avec lequel l’enfant à le plus d’affinité et avec qui il est en contact depuis sa naissance. Lors de la période d’industrialisation, le rôle d’éducation et de bien séance était donné à la mère ainsi que le rôle affectif comme elle était présente à tout moment pour l’enfant. Tocqueville parle plus d’un desattachement affectif (famille-refuge)  avec le temps depuis l’industrialisation comme les deux parents finissent par travailler et donc donner de moins en moins d’attention à leur progéniture, tandis que Durkheim vient le contredire en amenant l’idée d’une plus grande solidarisions familiale et donc un plus grand attachement affectif entre les membres de la famille. Le lien affectif, explique-t-il, n’est pas juste fondé sur l’amour d,un parent pour son enfant mais aussi de sa participation dans la scolarisation de son enfant, de ses goûts et envies, ainsi que des activités et amitié qu’il peut développer. Tous les membres sont égaux dans le cercle familiales peut importe leurs caractéristiques personnelles. L’amour de chaque membre envers les autres n’est ni calculer et est inconditionnel, nous cherchons l’épanouissement de chaque membre. La socialisation familiale de l’enfant est répartie en trois catégories, soit : la dépendance et la réceptivité (lorsque l’enfant est naissant et les premières années de sa vie, ils ne peuvent pas se passer de leurs parents qui sont le sentiment de sécurité et d’affectif), les apprentissages fondamentaux (ce qui sera associé à tout le reste de l’apprentissage de l’enfant au cours de sa vie) et les relations affectives. Jean Piaget a démontré dans ses études que l’affection et l’intelligence vont de pairs comme l’adulte a su éduqué sa progéniture dans son développement cognitif en lui donnant des méthodes de réflexion ainsi que des méthodes de perception des choses.

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