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Evolution du marché de l’épicerie sucrée vs autres marchés

Étude de cas : Evolution du marché de l’épicerie sucrée vs autres marchés. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  21 Octobre 2013  •  Étude de cas  •  3 157 Mots (13 Pages)  •  977 Vues

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Tableau : Evolution du marché de l’épicerie sucrée vs autres marchés

Catégories de produits :

1 .SUCRES ET EPICERIE-PÂTISSERIE

C'est le secteur qui a connu la meilleure croissance sur le marché de l'épicerie sucrée en 2009 (+7,4%) et un chiffre d'affaire de 933,3 millions d'€. Alsa est une marque très présente sur ce secteur.

Pour relancer ce segment, on mise sur le fait maison et la stevia (édulcorant).

Evolution : Avec le retour en cuisine, les ingrédients sont réunis pour offrir au marché de l'épicerie sucrée de belles perspectives.

Après des années de lente érosion de ses ventes, le sucre s'offre ainsi une année magique. Tant et si bien que, sur le papier, les chiffres du sucre ressemblent de très près à ceux des dosettes de café, l'un des segments les plus dynamiques de l'alimentaire.

- levures (+ 6 %)

- les aides à la pâtisserie (+ 8 )

-

Tendances :

Le segment des sucres et épicerie-pâtisserie s’inscrit complètement dans la tendance actuelle a savoir le « home made », des gâteaux dans les rayons dont la pate est prête et il n’y a qu’a ajouter les œufs par exemple.

2. LE PETIT DEJEUNER

Il s'agit de la première catégorie sur le marché de l'épicerie sucrée.

En 2009, l'augmentation des MDD a entraîné une stagnation des volumes et un chiffre d'affaire de 3 552 millions d'€.

Pour relancer ce segment, il faut compter sur le format dosette et sur les enfants, grands consommateurs de ce segment.

Evolution :

Avec un chiffre d'affaire de 70,0 M€, les biscuits développés pour le petit-déjeuner enregistrent la plus forte progression annuelle: 20%

Plus de 22 millions de foyers français achètent des biscuits classiques.

Le taux de pénétration est de 96% et la somme dépensée annuellement en magasins

Premier repas de la journée pour une grande partie de la population Française, le petit

déjeuner est souvent qualifié d’être celui dont il ne faut pas se priver pour bien démarrer la

journée.

Tendances :

Les produits pour le petit déjeuner sont en évolution, ils suivent la tendance qui part du principe que prendre un petit déjeuner équilibré est gage de santé. Il est vivement conseillé par les professionnels de la santé de commencer sa journée par un bon petit déjeuner essentiellement pour les enfants.

3. LA PÂTISSERIE INDUSTRIELLE

2008 a été une bonne année pour ce segment mais 2009 fut une année de stagnation avec un chiffre d'affaire de 1 477 millions d'€.

Parmi les différents produits on trouve le pain d'épice, les viennoiseries et des marques telles que BROSSARD.

En piste de relance, il faut miser sur des innovations soutenues même si elles sont moins nombreuses.

Evolution :

Ce segment de marché est en stagnation depuis quelques années et ne séduit plus le consommateur car il est en total contradiction avec le « fait maison » et les produits sains et bio

- desserts prêts à consommer (- 3,7 %).

Tendances :

La tendance est a la « green food » et a l’écologie c’est pourquoi le secteur des pâtisseries industrielles ne répond pas aux attentes du consommateur actuel.

Le consommateur ne se retrouve pas dans les produits proposés par ces différentes gammes catégorisés de produits gras mauvais pour la santé.

4. LA CONFISERIE

En 2009, le deuxième segment de notre marché avec un chiffre d'affaire de 2 758 millions d'€ a payé le prix de la crise, notamment avec la baisse de fréquentation des magasins et des arbitrages des consommateurs. Le tout est de savoir si cette année sera une année de transition ou le début d'un cycle négatif.

Ces derniers mois, on a pu assister au lancement par Solinest de Na, une pâte 100% fruits.

Pour relancer ce domaine, il faut compter sur l'animation en magasins.

Evolution :

Au début, on a pu penser que cet achat plaisir ne serait pas trop atteint par la crise, grâce à un prix moyen relativement faible, mais les chiffres sont aujourd'hui sans appel.

Sur les douze derniers mois, la confiserie a perdu 1 % de son chiffre d'affaires et 0,4 % de ses volumes.

Si les bonbons et sucettes gardent de bons niveaux de croissance - rien de tel pour faire plaisir à un enfant à moindre coût -, les chewing-gums s'écroulent (- 10 % en valeur, - 6 % en volume). Les Hollywood, Freedent et autres Mentos peinent à convaincre et à justifier de prix devenus trop élevés.

Tendances :

À l'heure où les consommateurs ont l'œil rivé sur leurs porte-monnaie, la confiserie est un rayon compliqué malgré tout, en cette période de crise les consommateurs veulent se faire plaisir et le marché du « bonbon » persiste.

5. LES DESSERTS

Il s'agit du secteur qui a connu le plus gros recul en 2009 sur l'ensemble du marché de l'épicerie sucrée avec un chiffre d'affaire de 154 millions d'€.

Pour relancer le secteur, il faut miser sur le fait maison et le renouvellement et l'extension de l'offre.

Evolution :

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