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Va t-on sortir de la crise ?

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Par   •  19 Novembre 2012  •  2 232 Mots (9 Pages)  •  981 Vues

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Sujet: Va t-on sortir de la crise?

« Mais oui, mais oui, la crise est finie! » chantent en cœur certains experts citant une bourse en hausse, un marché qui commence a surmonter les effets néfastes de la crise... Mais la baisse des prix se poursuit, les banques demeurent toujours réticentes... Alors crise ou pas crise?

Techniquement au niveau mondial, la crise c'est a dire phase de perturbation sévère ayant son origine dans la chute de la valeur des placements ( actions, titres financiers...),est terminée mais pas totalement, économiquement et socialement, elle est toujours présente. La crise à laisser des séquelles; des dettes élevées, des déséquilibres commerciaux et monétaire laissant ainsi la croissance a n niveau faible et le chômage important. Ce qui nous laisse penser qu'il est illusoire et peut être trop tôt d'affirmer que l'on va sortir de la crise.

Ainsi on en vient a se demander si la crise ne devrait pas bientôt touché a sa fin? Et si ce n'est pas le cas, à quand peut on espérer une sortie de crise?

Dans un premier temps, nous montrerons que la crise peut effectivement être considérée comme achevée sur de nombreux points de vue et ans un second temps nous verrons que la crise à provoquer des conséquences qui persistent encore...

Dans cette première partie nous allons voir les différentes interventions et reformes mise en place par les gouvernement et organes de décisions afin de lutter contre les conséquences de la crise puis nous mettrons en évidences les signes qui nous permettent de croire en une sortie de crise.

La crise nous fait rappeler celle de 1929 et tout le monde a la crainte que les effets et les souvenirs de 1929 refasse surface... Seulement la crise de 2008, semble être contrôler ou plus au moins prise en mains par les gouvernements et les organes de décisions et de pouvoirs. Même si celle ci exige obligatoirement la transformation des marchés et du système financier. En effet, les états vont intervenir en faveur des marchés et des banques. Les gouvernements cherchent à rétablir la situation et les interventions qu'ils mettent en place porte leurs fruits. Ainsi on observe de nombreuses améliorations depuis la crise qui nous font percevoir un espoir de fin de crise. La priorité des gouvernements est de sauver l'économie et pour cela des milliards d'euros et de dollars vont être mis sur le marché afin d'amortir les effets les plus grave de la crise. Les activités productives doivent être protéger et relancer, les marchés financiers doivent regagner la confiance perdue nécessaire a leur bon fonctionnement. On remarque notamment l'intervention massive des banques centrales qui font de leurs priorité le rétablissements de la situation financières des banques. Pour cela, les banques centrales vont prêter sans compter de l'argent aux banques afin de leurs permettre de se « remettre ».

On observe ainsi aujourd'hui, un mouvement de stabilisation du système financier. Certes on en pas affirmer être à l'abri économiquement ou d'une nouvelle catastrophe type faillite de Lehman Brothers et d'autres encore... Les conséquences encore récurrentes de la crise nous montre encore que ce n'est pas le cas, mais on peut envisager le fait d'avoir quelque peu stabiliser la situation financière et économique, stabilisation qui nous donne de l'espoir pour l'avenir. On observe un rétablissement des profits des banques. Les bons résultats des banques américaines sont en effet encourageants. On va même observer que des parts d'entreprises sous-évaluées vont être rachetées et non négligées comme au début de la crise.

Ainsi l'intervention des gouvernements et des banques semble montrer les mouvements de l'économie pour sortir de la crise et donne espoirs. La reprise observées dès surtout le milieu de l'année 2009, est due donc à la rapidité des décisionnaires qui redoute la reproduction non négligeable de la crise de 1929. Au delà de la forte injection de liquidité par les banques centrales sur les marchés monétaires comme vue précédemment d'autres actions ont été faites, des actions importantes et significatives. En effet on constate que le FMI a été d'une grande aide aux pays les plus fragiles, les ressources dégagées par celui ci ont été très importantes mais surtout sans précèdent en ce qui concerne la donation du FMI ( 8 milliards de dollars). Le FMI a assoupli les conditions de son aide, notamment leurs plan en faveur des pays les plus pauvres en débloquant plus d'argents mais pas seulement. Il assouplit les conditions de prêt, met en place des crédits plus simple et plus rapides, mais surtout moins cher.

L'intervention du FMI n'est pas le seul signe qui aide et qui surtout montre les améliorations de la situation « après crise ». En effet si l'on a vu que le profit des banques commence et pour certains est rétablis, que la crise de liquidité s'atténue de plus en plus, que l'intervention du FMI donne espoir... on observe aussi aujourd'hui que les marchés financiers semblent être en voie de stabilisation, même si ils n'ont pas atteins leur situation d'avant crise. Le marché du crédit interbancaire fonctionne encore très mal. Nous ne sommes qu'au début du processus, qui est encore fragile. Meme si le marché du crédit interbancaire fonctionne encore très mal, nous en sommes qu'au début et le fait qu'il au un effort de développement certes modeste mais non négligeable du crédit aux entreprises et aux ménages, on ne peut qu'espérer l'amélioration de la situation.

D'autres observation nous font comprendre que l'on peut effectivement considérer la crise comme achevée. En effet, on observe dans plusieurs domaine: retour de l'investissement, reprise boursière: L'indice du CAC 40 a gagné 22% en 2009, c'est sa meilleure performance depuis 2005. Un autre élément laisse paraître une fin de crise, la mondialisation de la reprise notamment grâce au dynamisme chinois. En effet le système chinois a su résister en apparence assez bien aux tumultes qui secouent la planète financière. Leur marchés fonctionne assez bien avec laide de l'état et les banques semblent s'en sortir étant indépendantes.

Ainsi même si les améliorations sont évidentes après la crise, au total les annonces de reprise semblent surtout destinées à rétablir la confiance et il est sans doute prématuré d'affirmer une sortie de crise dès 2010, il est même possible de voir des scénarios déjà vu se reproduire. Ainsi, on peut dire que tant

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