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Pouvoirs publics

Dissertation : Pouvoirs publics. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  7 Octobre 2020  •  Dissertation  •  1 706 Mots (7 Pages)  •  318 Vues

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Paziault Jade Tes 3                                                

                                                                Dissertation

        L’État a des pouvoirs et des capacités d’interventions dans plusieurs domaines dan le but d’aider la population et différents agents économiques qui forme la société et l’économie nationale. L’État est les pouvoirs publics, c’est à dire le gouvernement ainsi que l’ensemble des services chargés de l’administration, autrement dit, la sécurité sociale et les collectivités territoriales. Quand à la croissance, il s’agit d’une augmentation soutenue et régulière durant une longue période du volume de production de biens et de services. Néanmoins, l’activité économique, peu importe son échelle rencontre parfois des difficultés. Au niveau mondial, la crise des subprimes de 2008, l’une des plus grosses crises financières enregistrées a fait entrer les pays industrialisés en période de récession. Les prix ont alors fortement augmentés, l’activité commerciale internationale a quant à elle ralentie. L’État doit depuis trouver des solutions pour que les activités et les secteurs touchés par cette récession puissent reprendre et retrouver toutes leurs capacités.

                Nous nous intéressons ici à la façon dont l’État peut intervenir pour favoriser une reprise de la croissance.

        Dans un premier nous verrons comment l’État peut intervenir au niveau des entreprises. Dans un second temps nous nous pencherons sur la manière dont il peut aider les ménages et les individus.

 Dans cette première partie est traitée l’apport d’aides aux entreprises que peut fournir l’État. Premièrement par la réduction des impôts, ensuite avec un apport de subventions, enfin par la prise en charge des formations des salariés.

        Tout d’abord l’État à la responsabilité d’instaurer des impôts. Les patrons d’entreprises en fond notamment les frais par les cotisations sociales patronales de l’ordre de 40 %. Pour favoriser la croissance l’État pourrait réduire ces cotisations. En effet, le document 1 nous montre que le coût du travail français est de 34,2 %. A titre comparatif, Malte à un coût du travail de 11,9, en outre 2,8 fois moins ( 34,2/11,9=2,8). Nous pouvons alors dire qu’en France le coût du travail est plutôt élevé. De ce fait si ces impôts directs sont réduis l’excédent brut d’exploitation (EBE) des entreprises augmente. Si cet EBE est plus important les entreprises ont une plus grande capacité d’investissement, ainsi elles peuvent innover de façon radicale ou incrémentale. Ce processus favorise la demande des individus, or une augmentation de la demande correspond à une augmentation du niveau de production. L’augmentation de la production entraîne une hausse de la valeur de la richesse crée (valeur ajoutée), celle ci amène une hausse du produit intérieur brut (PIB), qui est l’indicateur qui mesure la valeur des biens et services produits sur un territoire national durant une année, et ce peu importe la nationalité de l’agent économique. L’augmentation du PIB traduit donc une croissance. Ainsi la baisse des cotisations sociales patronales augmente les capacités des entreprises dans le but de maximiser leurs rendements et augmenter le volume de richesses crées.

        Ensuite, l’État pourrait augmenter les subventions accordées aux entreprises. Les subventions sont une somme d'argent que l'État, une collectivité locale ou un organisme privé accorde à un groupement, une association, une entreprise ou une personne pour favoriser le développement d'activités d'intérêt général. Effectivement, comme nous montre le document 4 les subventions et avantages fiscaux ont fortement diminué à partir de 2011 en raison d’une crise boursière. Après seulement un an de reprise de la croissance économique mondiale les bourses ne voulaient pas risquer une trop importante rechute et on donc préférés baisser le nombre de bourse de valeur. On peut ainsi voir qu’en l’espace de deux ans les subventions ont diminués de 4 milliards d’euros en passant de 10 milliards en 2011 à 6 milliards en 2013. Le document 3 nous indique également un manque de compétitivité que l’apport de subventions peut atténuer. En augmentant les subventions les entreprises pourrons augmenter leurs capacités d’équipement et de locaux. De cette manière elles vont augmenter leur productivité qui se traduit par un coût unitaire des produits moins important puisqu’il y a eu besoin de moins de temps pour les concevoir. De ce fait les entreprises peuvent baisser leurs prix ce qui augmente leur compétitivité et la demande. Or nous savons qu’une hausse de la demande entraîne une augmentation de la production. Celle ci amène une augmentation de la valeur ajoutée, qui se tr&duit par une hausse du PIB, c’est à dire une hausse de la croissance. Sans oublier de prendre en considération le différentielle de variation qui nous indiquera si l’association des facteurs est positive ou négative et donc si nous assistons à de la croissance ou de la récession.

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