Marketing, la science économique

La science économique a pour objectif d’étudier la façon dont les hommes utilisent des ressources rares pour satisfaire leurs besoins illimités pour cela elles appréhende la réalité économique par deux approches différents et pour analyser la science économique on distingue deux niveaux :

• La macro-économie : Il s’agit d’une analyse globale de relation entre les variables économiques EX ; le rôle de la production sur l’emploi

• La micro-économie : L’analyse consiste à se placer au niveau d’un agent économique le comportement de l’E/ Se du consommateur.

Et pour réduire l’écart existant entre les besoins illimités et les ressources rares toutes société doit résoudre trois problèmes fondamentaux relatif à la production à la répartition et à la dépense, à cet fin, elle s’appuie sur trois fonctions principales : La production , la répartition, la consommation.

 Dans l’économie on trouve beaucoup de pensées, d’abord il y a les courants classiques et dans cette école on trouve ADAM SMITH cet auteur a analysé les causes et les efforts de la division du travail il distingue deux types de division de travail, ne division social du travail et une division technique, la première renvoi à la répartition des activités entre les différents membres de la société. La deuxième évoque la répartition des taches à l’intérieur de l’entreprise, et la spécialisation des travailleurs qui en découle. Pour SMITH, la division du travail permet d’accroitre la productivité du travail par trois effets conjugués : La meilleur habilitée et d’entérite des travailleurs spécialisé sur une tache simple et élémentaire, le gain de temps à ne pas passer d’une tache à une autre et enfin la possibilité d’intégrer du progrès technique dans l’entreprise, SMITH considère le progrès ainsi cette division contribue à augmenter la quantité de richesse produite et les flux d’échanges entre les hommes, cet élargissement des marchés entraine en retour un approfondissement de la division de travail, il considère aussi les barrières à l’échange international comme un frein à la division de travail et dons la croissance économique, pour la libre échange et la meilleurs des options, d’ensuit alors une division international du travail ADAM SMITH ET LA MAIN INVISIBLE : la main invisible guide l’intérêt individuel de chacun dans le sens de l’intérêt général ! Ainsi les actions égoïste vont entrainer la croissance économique, par exemple, un boulangé à fin d’augmenter ses profits le boulangé va donc fabriquer un bon pain qu’il me vendra pas chère, la main invisible montre bien son efficacité, ADAM SMITH est très favorable au commerce international, sa loi des avantages absolus soutient que chaque fois que deux payés sont dotés différemment en facteur de production. ils ont intérêt à commencer un paye ayant des facilités à produire du blé et les difficultés pour le tissu échangera avec un partenaire qui connait une situation inverse .

 La valeur chez ADAM SMITH : Le prix naturel et le prix sur la marché, SMITH distingue le prix naturel et le prix du matché. Le prix réel de chaque chose est l’équivalent de la peine et de l’embarras nécessaire à son acquisition, la valeur relative dépend de la quantité de travail nécessaire à la création du bien, le prix de marché est le résultats du jeu de la concurrence et s’écarte du prix réel, c’est le fait de la main invisible.

Et dans la même école, on trouve aussi RICARDO, on commence par la valeur d’échange d’un produit n’est fonction de son utilité, la preuve est que des produits très utiles comme l’eau n’ont aucune valeur d’échange. Si quelques choses sont naturellement limitées, la plupart ont leur volume en fonction de travail que l’on accepte de consacrer à leur production, ainsi c’est donc le travail qui fait la valeur d’échange des marchandises, En conclut que la valeur d’après RICARDO dépend de leur rareté.

 Les avantages comparatifs : La théorie de RICHARD, selon laquelle les payés ont intérêt à se spécialiser dans une activité, c'est-à-dire le secteur d’activité dans lequel productivité de travail est supérieur à celle des pays partenaires, selon lui chaque pays se spécialiser dans le secteur dont les quel il dispose d’un avantage relatif, c'est-à-dire là ou son avantage en terme de productivité relative est le plus élevé, ou là ou son avantage est le plus faible. Et termine le courant classique Selon l’offre crée sa propre demande, les produits s’échangent contre d’autre produits, on ne dépense jamais que de l’argent qu’on a gagné. A partir du moment où un produit est fabriqué, il génère dans l’économie un ensemble de flux financière permettant d’alimenter la consommation et l’investissement et découler la production initiale, il y a pas d’excédant et de crise de surproducteurs. Peut être que temporaire parce que l’ajustement par la flexibilité du prix permet un relance de la consommation ou l’investissement ces propositions considèrent que la monnaie est un voile, un intermédiaire des échanges dans l’économie elle n’existe que parce qu’elle a été générée par un flux réel de production et n’a aucune influence sur l’économie réelle. La demande est ainsi forcement égale à l’offre et il ne peut y avoir de crise de surproduction.

- L’autre c’est le courant néoclassique, dans cette approche, les néoclassiques étudient le comportement des agents économiques individuels rationnels, chaque agent économique cherche à maximiser une fonction d’utilité, l’entrepreneur veut maximiser son profit, le consommateur va comparer la satisfaction procurée par la consommation d’un bien et la privation de voisins, d’après les néoclassiques le marché est le régulateur du système, les prix sont flexibles et l’équilibre des offres et des demandes de réalise grâce à cette flexibilité des prix :

- Sur les marché des biens on trouve

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