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Macro économie

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Par   •  11 Mars 2013  •  2 910 Mots (12 Pages)  •  909 Vues

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MACRO ECONOMIE

Chapitre 1 : Introduction à la macro-économie

Qu'est-ce que la macro-économie ?

La macro-économie est une analyse globale. Tandis que la micro s'intéresse aux comportements individuels, la macro s'intéresse à long terme à la croissance.

Équilibre ressources-emploi : PIB + M = FBCF + C + Variation des stocks

Soit PIB = FBCF + (X-M) + C + Variation des stocks.

Le principal déterminant de la consommation est la consommation.

Augmentation de la masse monétaire n'entraîne pas augmentation des prix si elle est proportionnelle à la richesse créée (PIB).

VA = CA – CI.

Le taux de croissance est : (PIB année n – PIB année n-1) / PIB année n-1 x 100.

PIB réel : PIB nominal / Indice des prix à la consommation x 100.

Comment mesurer le développement : à partir de l'IDH. Il se calcule avec le PIB par habitant, équilibre sanitaire, niveau d'éducation.

Différence entre niveau de vie et pouvoir d'achat

Niveau de vie : quantité de B et S qu'un ménage peut acquérir.

PA : définition monétaire du niveau de vie.

Macro-économie à court terme : s'intéresse aux politiques conjoncturelles, aux conditions d'équilibre et aux déséquilibres.

Équilibre : égalité entre O et D. Y = f(K;L;résidu)

Déséquilibre : situation sous-optimale où les facteurs de production sont sous-employées.

La macro cherche à expliquer les mécanismes qui vont générer les déséquilibres et à trouver des remèdes.

Utilisation de modèles théoriques et d'études économiques.

→ Modèle = représentation simplifiée de la vie économique.

On utilise une méthode hypotético-déductive.

Pour les classiques, l'équilibre est obtenu par les prix qui sont flexibles.

Pour les keynésiens les prix sont rigides à court terme.

4 types de relations :

– Relations comptables (équations de la comptabilité nationale)

– Relations d'équilibre : elles permettent l'égalité sur les marchés des biens du travail du capital et de la monnaie.

– Relations de comportements : selon Keynes la fonction de consommation est égale à un certain pourcentage du revenu (la PmoyenneC = C/R) et une partie fixe.

– Relations techniques : liées aux contraintes techniques subies par les agents.

Il existe également des variables :

– Endogènes : elles proviennent du système. Dans le modèle classique le niveau de l'emploi et le salaire réel sont des variables endogènes c'est-à-dire qu'ils sont déterminés par rapport à l'O et la D de travail.

– Exogènes : elles proviennent de l'extérieure.

Puis on cherche à déduire les valeurs d'équilibre.

→ Les études économétriques cherchent à analyser les faits.

On part de la réalité pour infirmer ou confirmer les hypothèses. On est dans une méthode inductive.

– Demande effective

– Coût du travail / coût du capital

– Placements rentables

Dans quels cas le progrès technique construit l'emploi ? Il faut que la hausse de la productivité soit < à la production.

C'est par des allers retours entre modèles théoriques et études économétriques que progresse la marco.

Présentation historique de la macro-économie

Les keynésiens sont favorables à l'intervention de l’État.

Divergence classiques keynésiens :

– intervention de l’État

– flexibilité des prix pour les classiques ; rigidité pour les keynésiens

Auparavant la macro-économie était une agrégation des comportements individuels, elle se déduisait des comportements micro-économiques.

Pour les classiques il y avait impossibilité de déséquilibre : les marchés étaient purement concurrentiels.

Pour la macro-économie classique, l'équilibre s'obtient par la flexibilité des prix, alors que pour les keynésiens les ajustements entre offre et demande s'effectuent par les quantifiés.

Pour les keynésiens, la monnaie est intégrée dans la détermination du revenu national par l'intermédiaire du taux d'intérêt. Alors que pour les classiques sphères réelles et monétaires sont séparées. Ces sphères sont complètement indépendantes l'une de l'autre.

Pour Keynes un équilibre sur le marché des biens et services peut être compatibles avec un chômage involontaire. Dès lors tout l'équilibre classique s'écroule et en particulier les 2 postulats :

– lois des débouchés de Say

– théorie quantitative de la monnaie : MV = PT → M = T (V et P sont constants) : l'objectif est que la masse monétaire croisse au même rythme que la quantité produite. Si > : les prix vont augmenter.

Dans les années 50 la macro-économie keynésienne est fortement remise en cause par Friedman.

Dans les années 80 apparaît la nouvelle économie classique.

Dans les années 90 la nouvelle économie keynésienne.

Keynes a développé son analyse par une vision novatrice. En étudiant les équilibres, Keynes voit un problème quand à la vision

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