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Les étapes du développement de la macroéconomie

Commentaire de texte : Les étapes du développement de la macroéconomie. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  20 Mai 2014  •  Commentaire de texte  •  1 051 Mots (5 Pages)  •  468 Vues

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Macroéconomie

Introduction : Rappel

L’économie est une science sociale, c’est une science qui essaie de comprendre les phénomènes globaux. C’est la gestion des ressources rares.

La microéconomie a pour fondement l’analyse du consommateur et de l’entreprise face au marché, elle permet d’étudier le choix du consommateur et du producteur.

En macroéconomie, les objets (agrégats) d’études vont être liés à la microéconomie, donc la consommation et la production globale. On parlera de l’investissement de l’ensemble des entreprises. La politique économique c’est comme une ordonnance qui va diagnostiquer l’économie. Son objectif est d’atteindre des taux de croissance soit en agissant sur les quantités ou sur les prix.

1550-1750 : il n’y avait pas d’école de pensée. On a les mercantilistes qui concernent l’accumulation de richesse par des métaux précieux. Le capitaliste commence à se développer. En 1658, la première banque est créée en Suède. On commence à voir du progrès technique. Mais au niveau politique ce sont toujours les rois et ministres qui décident de la politique économique.

A partir du XVIII apparait le siècle des Lumières qui conduit en 1789 à la révolution industrielle. F. QUESNAY, un physiocrate (réformateur) dont SMITH s’est inspiré est l’auteur du tableau économique, la première représentation schématique de l’économie mais aussi l’un des premiers fondateurs de l’école en économie. Par ces faits apparait les libéralismes, pour que les rois aient moins de pouvoir. Les premières tentatives échouent mais le libéralisme a fini par réussir.

1776 : Adam SMITH : « recherche sur les causes et les sources de la richesse des nations » avec la division et organisation du travail et le principe de la « main invisible » (force de la concurrence qui permettent d’affecter l’économie) pour l’augmentation des gains, de productivité. C’est la naissance des classiques. Ils donnent des fondements au libéralisme. Pour SMTIH, le marché est une affaire économique.

1810 : David Ricardo va développer les « avantages comparatifs » mais aussi l’économie fiscale (les impôts).

1820 : On retrouve également Jean Baptise SAY qui est un économiste français. Il met en place une loi : la « loi des débouchés » : toute offre créée sa propre demande (c’est la naissance du libéralisme).

1850-1883 : Karl MARX. On connait donc le marxiste avec un système politique qui est le socialiste/communisme. « Le capital » écrit par lui décrit la démonstration que le capitalisme va s’effondrer. Il analyse les crises et analyse les inégalités (avec la plus-value) mais aussi le risque des crises et les limites du système libéral. Marx a repris les valeurs du courant classique. C’est le dernier auteur de ce courant. Pour MARX, l’Etat doit mettre en place des lois régaliennes pour réguler le marché.

1870 : Naissance des néoclassiques aussi appelé marginalistes. C’est le progrès réalisé sur les mathématiques (différentielles et dérivées). On assiste au premier développement économique sous forme mathématique. On calcul donc la satisfaction de la dernier unité consommée. Celle-ci peut être plus ou moins élevée. On retrouve plusieurs auteurs concernant ce courant dont deux principaux. Alfred MARSHALL se base sur l’étude de l’équilibre d’un individu (ou

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